• Nuit au Golgotha, 1869 | Vasili Vasilievich Vereshchagin

     

    Jean chapitre 10 v 1 à 9 

    enclos bergerie étable  la porte (MOI JE SUIS LA PORTE !) 

    1 我实实在在地告诉你们,人,不从 进去,倒从别处爬进去,那人就是贼,就是强盗。

    1 MOI JE  En vérité véritablement je vous dis, que celui qui n'entre point par la porte dans la bergerie des brebis, mais y monte par ailleurs, est un larron et un voleur.

     门 la porte, le moyen, le passage, l'accès

      brebis moutons chèvres

    2 从 门 进去 的,才是牧人pasteur, pâtre, berger 

    2 Mais celui qui entre par la porte  est le berger des brebis.

    认得 connaitre  声音 sa voix 

    3  门 的 就 给 他 开门也听他的 声音。他按着名叫自己的,把羊领出来。

    3 Le gardien de la porte lui ouvre la porte et les brebis entendent sa voix, et il appelle ses propres brebis par leur nom, et les mène dehors.

    4 既放出自己的来,就在前头走,也 跟着 他,因为 认得 他的 声音

    4 Et quand il a mis ses brebis dehors, devant elles il marche et les brebis le suivent, parce que elles connaissent sa voix.

    5 羊不跟着生人,因为不认得他的声音。必要逃跑。

    5 Mais elles ne suivront point un étranger (des étrangers) au contraire, elles le fuiront; parce qu'elles ne connaissent point la voix des étrangers.

    耶稣 Jésus Christ (yeshuwah mashyHa)    比喻 parabole 意思 la signification, le sens

    6 耶 稣 将这 比喻 告诉他们。但他们不明白所说的是什么 意思

    6 Jésus Christ  leur dit cette parabole, mais ils ne comprirent point ce qu'il leur disait.

    7 所以耶稣又对他们说,我实实在在地告诉你们,我就是羊的

    7 Jésus Christ donc leur dit encore: en vérité, en vérité je vous dis, que je suis la Porte par où entrent les brebis.

    8 凡在我以先来的,都是贼,是强盗。羊却不听他们。

    8 Tout autant qu'il en est venu avant moi, sont des larrons et des voleurs; mais les brebis ne les ont point écoutés.

    9 我就是。凡从我进来的,必然得救,并且出入得草吃。

    9 MOI Je suis la Porte: si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé, et il entrera et sortira, et il trouvera de la pâture.

     

    gardez vous / faites ATTENTION aux faux prophètes / aux faux messagers 

    c'est écrit plusieurs fois

    vous ne croyez pas Jean baptiste ni jésus, ni les apôtres

    c'est pas écrit que Muhammad  Mahomet est la PORTE !

     

    c'est pas écrit que Muhammad  Mahomet est le CHEMIN !

     

    c'est pas écrit que Muhammad  Mahomet est la VERITE !

                                                

    10 盗  无非偷窃 杀害 毁坏生命并且盛 

    10 le bandit rusé vient 偷窃 voleur 杀害 tuer massacrer assassiner  détruire ruiner

     

     

    Mahomet / Muhamamd était un pilleur : il pillait constamment les caravanes des tribus résidant en Arabie. 

    Mohammed / Muhamamd était un infidèle un adultère il a épousé Aisha quand elle avait  6 ans et a eu des relations sexuelles avec elle quand elle avait 9 ans. Il a également toléré la pédophilie l'adultère, les viols par ses compagnons 

    Mahomet / Muhamamd était intolérant, terroriste, meurtrier : il a attaqué des non-musulmans innocents résidant en Arabie qui ne se sont pas convertis à sa secte.

    vous en voulez encore du coran ? et de l'islam ?

    Sahih Boukhari/Musulman/Daoud

    Narré par Anas ibn Malik : Un groupe de huit hommes de la tribu de 'Ukil vint voir le Prophète et ils trouvèrent alors que le climat de Médine ne leur convenait pas. Alors, ils ont dit : "Ô Apôtre d'Allah ! Fournissez-nous du lait." L'Apôtre d'Allah a dit : "Je vous recommande de rejoindre mon troupeau de chameaux." Alors ils sont allés et ont bu l'urine et le lait des chameaux (comme médicament) jusqu'à ce qu'ils soient sentir mieux et réprimer des forces. Puis ils ont tué le berger et chassé les chameaux, et ils sont devenus mécréants après avoir été devenus musulmans. Lorsque le Prophète fut informé, il envoya des hommes à leur poursuite, et avant que le soleil ne se lève haut, ils furent capturés, et il eut les mains et les pieds coupés. Puis il a commandé des clous qui ont été chauffés et frottés sur leurs yeux puis ont été jetés sous le soleil ils ont été laissés dans la Harra (c'est-à-dire la terre rocheuse de Médine). Ils ont demandé de l'eau, et personne ne leur en a fourni jusqu'à leur mort Abu Qilaba, un des narrateur a dit : "Ils ont commis des meurtres et des vols et ont combattu Allah et Son Apôtre, et ont répandu le mal dans le pays."

    Narré par Anas : Le Prophète a coupé les mains et les pieds des hommes appartenant à la tribu des 'Uraina et n'a pas cautérisé (leurs membres saignants) jusqu'à leur mortSahih Boukhari 8:82:795 Sahih Muslim 16:4134

    vous en voulez encore du coran ? et de l'islam ?

    cette histoire est présente dans presque tous les recueils de hadith Sahih sans variation dans l'histoire, par soucis de lecture nous exposons uniquement l'une des versions présentes chez Boukhari (une dizaine) et de Muslim (deux)

    Ikrima a rapporté : Ali a brûlé certaines personnes et cette nouvelle est parvenue à Ibn 'Abbas, qui a dit : "Si j'avais été à sa place, je ne les aurais pas brûlés, comme le Prophète a dit : 'Ne punissez pas (personne ) avec le châtiment d'Allah.' Sans aucun doute, je les aurais tués, car le Prophète a dit : « Si quelqu'un (un musulman) abandonne sa religion, tuez-leSahih Boukhari 4:52:260

    vous en voulez encore du coran ? et de l'islam ?

    Al-Tabari

    Selon Ibn Humayd--Salamah--Ibn Ishaq : Quand le Messager de Dieu a vu Hamzah dans cet état (éventré avec son foi extrait et mangé par Hind), il a dit : "Si ce n'était pas que Safiyyah pleurerait, ou que cela deviendrait une sunnah (pratique standard) après moi, je le quitterais pour qu'il trouve son chemin dans le ventre des bêtes sauvages ou les récoltes des oiseaux. Si Dieu me donne la victoire sur Quraysh à tout moment, je vais mutiler trente. de leurs hommes !" Lorsque les musulmans virent la douleur et la rage du Messager de Dieu face à ce qui avait été fait à son oncle, ils dirent : « Par Dieu, si un jour nous sommes victorieux contre eux, nous les mutilons d'une manière qu'aucun des Arabes ne n'a jamais mutilé quelqu'un.

    al-Tabari (mort en 923), W. Montgomery Watt ; MV McDonald, éd., L'histoire d'al-Tabari [Ta'rikh al-rusul wa'l-muluk] , vol. VII , SUNY Press, p. 133, ISBN  0-88706-344-6 , 1987 أبو جعفر الطبري, تاريخ الرسل والملوك , vol. 2 , al-Maktabah al-Shamilah, pp. 528-529

    Voir aussi Ishaq : 387

    vous en voulez encore du coran ? et de l'islam ?

    Um qirfa était une veille femme respectée et puissante parmi les polythéistes, elle s'opposa au prophète puis fit prisonnière et écartelé à mort tandis que sa fille prise comme esclave sexuelle

    Um qirfa était une très vieille femme.) Il a également pris une des filles d'Umm Qirfah et 'Abdallah b. Prisonnier de Mas'adah. Zaïd b. Harithah a ordonné à Qays de tuer Umm Qirfah, et il l'a tuée cruellement. Il a attaché chacune de ses jambes avec une corde et a attaché les cordes à deux chames, et ils l'ont coupé en deux. Puis ils ont amené la fille d'Umm Qirfah et 'Abdallah b. Mas'adah au Messager de Dieu. La fille d'Umm Qirfah appartenait à Salamah b. 'Amr b. al-Akwa', qui l'avait prise, elle appartenait à une famille distinguée de son peuple : les Arabes avaient l'habitude de dire : « Si tu avais été plus puissant qu'Umm Qirfah, tu n'aurais pas pu faire plus . Le Messager de Dieu la demande à Salamah, et Salamah la lui donna. Il la donna ensuite à son oncle maternel, Hazn b. Abi Wahb, et elle lui enfanta 'Abd al-Rahman b. Hazn.

    al-Tabari (mort en 923), Michael Fishbein, éd., L'histoire d'al-Tabari [Ta'rikh al-rusul wa'l-muluk] , vol. VIII , SUNY Press, pp. 96-97, ISBN  0-7914-3149-5 , 1997 أبو جعفر الطبري, تاريخ الرسل والملوك , vol. 2 , al-Maktabah al-Shamilah, p. 643

    vous en voulez encore du coran ? et de l'islam ? 

    Ainsi Mohamed usa de torture par le feu pour que Kinana livre des informations fait rare Il usa de la torture par le feu alors interdite dans d'autres hadiths.

    bn Humayd--Salamah--Ibn Ishaq--Umayyah b. Abdallah b. 'Amr b. Othman b. 'Affan : [On m'a dit] que Malik b. 'Awf a envoyé des espions pour surveiller et obtenir des renseignements sur l'ennemi, mais qu'ils sont revenus avec leurs articulations disloquées. Lorsque Malik, exprimant sa détresse, a demandé ce qui leur était arrivé, ils ont dit : "Nous avons vu des hommes blancs sur des chevaux noirs et blancs, et, par Dieu, avant que nous puissions résister, nous avons été frappés comme vous". le voir." [Cette nouvelle], cependant, n'a pas dissuadé Malik de suivre la voie qu'il avait l'intention de suivre.

     

    al-Tabari (mort en 923), Ismail K. Poonawala, éd., L'histoire d'al-Tabari [Ta'rikh al-rusul wa'l-muluk] , vol. IX , SUNY Press, p. 6, ISBN  0-88706-691-7 , 1990 أبو جعفر الطبري, تاريخ الرسل والملوك , vol. 3 , al-Maktabah al-Shamilah, p. 72

    vous en voulez encore du coran ? et de l'islam ?

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    L'islam pratique le mensonge légal (takia) considéré comme légitime dès lors qu'il s'agit de protéger l'islam.

    On rencontre aussi le déni (refus de reconnaître l'évidence), le rideau de fumée (la fausse adhésion ou faux accord), l'évitement (le refus de la discussion au fond).

    FETE DU MOUTON-FETE DU SACRIFICE POUR L'AÏD - Mariage Franco Marocain

    Les tabous alimentaires d'origine juive propagés par l'islam ne concernent pas que la viande de porc.

    L'abattage rituel ("halal") est aussi pratiqué de plus en plus massivement en Occident, avec des inconvénients nombreux. Cruauté envers l'animal, risque sanitaire pour le consommateur, dissimulation au consommateur de la nature halal de la viande qu'il consomme

    "des taxes religieuses" particulièrement lucrative pour financer l'islam, voire des activités criminelles.

     

    ce que les Seigneur Yahwéh à dit par le prophète ESAIE à propos :

    des sacrifices ?

    des shabbats, ?

    des nouvelles lunes ?

    Esaïe 1

     13  Cessez d’apporter de vaines offrandes : J’ai (le Seigneur Dieu) en horreur l’encens, Les nouvelles lunes, les sabbats et les assemblées Je (le Seigneur Dieu) ne peut voir le crime s’associer aux solennités. (aux fêtes

    14  Mon âme hait vos nouvelles lunes et vos fêtes Elles me sont à charge ; Je suis las de les supporter.

    15  Quand vous étendez vos mains, je détourne de vous mes yeux ; Quand vous multipliez les prières, je n’écoute pas : Vos mains sont pleines de sang.

    16 Lavez-vous (au sens spirituel L'INTERIEUR  la repentance) purifiez-vous 

    Otez de devant mes yeux la méchanceté de vos actions Cessez de faire le mal.

    Stock Photo: Killing of sacred sheep called Qurbani for celebration Eid-e qorban in the house of Yazd in Iran. 

    celà s'adresse également aux ISLAMISTES avec leurs sacrifices et cette fête l'Aïd

    celà s'adresse également aux sacrificateurs JUDAISME 

    celà s'adresse également aux Hindouistes

    Esaïe 1

    11  "To what purpose is the multitude of your sacrifices unto Me?" saith the LORD. "I am full of the burnt offerings of rams and the fat of fed beasts; and I delight not in the blood of bullocks, or of lambs or of hegoats.

     

    11  К чему Мне множество жертв ваших? говорит Господь. Я пресыщен всесожжениями овнов и туком откормленного скота, и крови тельцов и агнцев и козлов не хочу.

     11  Que m’importent vos innombrables sacrifices dit Yahvéh. Je suis rassasié des holocaustes de béliers et de la graisse des veaux ; au sang des taureaux, des agneaux et des boucs, je ne prends pas plaisir.

     

     

     

    Si l'habit ne fait pas le moine, l'islam affectionne l'extériorité des apparences religieuses pour toute personne membre de la "communauté des croyants".

    L'appartenance ostensible à l'islam se répand y compris dans les pays occidentaux (voiles, barbes, gandouras et kamis

    effets de mode ? non ! autrefois il y avait les pharisiens et leurs phylactères

    Abbassides Dynastie de califes (750-1258) ayant triomphé de celle des Omeyyades (650-750), et choisi pour capitale non plus Damas mais Bagdad, pour lieu saint non plus Jérusalem mais La Mecque.

    Adda Principale fête musulmane rappelant l’offrande qu’Abraham aurait faite d’Ismaël, alors que la Genèse rapporte que ce sacrifice fut celui d’Isaac, remplacé par un bélier (Genèse 22.1-13), annonce du Sacrifice à venir du Christ mort et ressuscité.

    Alah : Contraction du mot arabe al-ilah, la divinité, pour désigner le Dieu unique, inconnu et donc idolâtré par l’islam.

    Alliance : Désigne l’histoire d’amour dans laquelle Dieu S’engage vis-à-vis de Son peuple et de Ses élus. La notion d’Alliance est caractéristique de la religion hébréo-chrétienne (Gen 6.18 ; Jér 31.31, 32.40 ; Bar 2.35 ; Ezéchiel 16.60 ; Luc 22.20 ; Mat 26.28 ; Heb 9.15).

    Almohades : Souverains berbères qui régnèrent sur la moitié de l’Espagne et la totalité du Maghreb de 1147 à 1269.

    Almoravides : Souverains berbères qui régnèrent sur l’ouest de l’Afrique du Nord et l’Espagne musulmane (fin XIe– milieu XIIe s).

    Ansar : Voir à nazaréen.

    Associateur/ Associationniste (moushrikoûn) : Croyant censé associer à l’unique divinité de pseudo-divinités, ce qui serait le péché propre des chrétiens (Coran 5.72-75,116 ; 6.100-102)

    le plus grand qui soit (Coran 4.48,116), en sorte qu’ils ne sont qu’impureté (Coran 9.28)

    les pires créatures (Coran 98.6)

    les plus viles des bêtes (Coran 8.55)

    et tous voués au feu de l’Enfer (Coran 9.17,113).

    Aya : Désigne un verset du Coran, synonyme de signe ou mir

    Bahã Allah : Surnom de Ali Nuri Mirzã Hoseyn (1817-1892), qui s’est prétendu le Mahdi attendu par les musulmans, les juifs, les chrétiens et les bouddhistes et fondateur en 1863 de la religion bahaïe, dont la mission est d’unir l’humanité dans un royaume religieux unique.

    Bid’ah : Se traduit par innovation, idée nouvelle, hérésie, et désigne comme péché tout ce qui s’écarte du modèle traditionnel, puisqu’Allah a dit : « Aujourd’hui, j’ai parachevé votre religion. Je vous ai accordé toute ma grâce en agréant l’islam pour vous comme religion ! (Coran 5.3) »

    Bonheur, Béatitude : À la différence du Dieu des chrétiens qui nous invite à partager Sa nature divine (2 P 1.4), et donc son bonheur même d’être Dieu, Allah étant inconnaissable (Coran 6.50,59,103 ; 7.188 ; 11.31 ; 20.110 ; 27.65 ; 42.4 ; 72.26 ; 112.2) et incommunicable, n’a à offrir au musulman dans l’au-delà point d’autre bonheur que des satisfactions sensuelles, y compris celles qui sont ici-bas des péchés.

    Califat : Le calife est le successeur ou lieutenant de Mahomet. Il est l’imam suprême, celui par qui advient l’ordre du monde. Il est donc chargé de mener le djihad afin de faire régner l’islam.

    Le califat a été aboli en 1924 par le fondateur de la République turque, Mustafa Kemal, qui tenait l’islam pour la théologie absurde d’un Bédouin immoral […] un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies (Jacques Benoist-Méchin, Mustafa Kemal ou la mort d’un empire, Albin Michel, 1954). Aujourd’hui, certains militent pour son rétablissement.

    Chahada (ou Shahada: Profession de foi musulmane qui associe Allah et Mahomet. À l’instar du Non serviam ! de Lucifer, elle est de forme négative, une négation de la foi chrétienne : J’atteste qu’il n’y a pas de divinité si ce n’est Allah [autrement dit : Non à la Sainte Trinité, à laquelle je préfère l’inconnaissable Allah (Coran 6.50,59,103 ; 7.188 ; 11.31 ; 20.110 ; 27.65 ; 42.4 ; 72.26 ; 112.2) !] et Mahomet est l’envoyé d’Allah [autrement dit : Non à Jésus-Christ, Fils de Dieu, Sauveur !]. Toute la dogmatique musulmane se résume dans l’affirmation de la foi en Mahomet et en Allah. L’islam, à la différence du christianisme, n’est pas une orthodoxie, mais une orthopraxie : vingt-cinq fois par jour la chahada est proclamée du haut des minarets et répétée par des musulmans soumis et sommés d’éradiquer l’impureté de la terre que sont tous les non-musulmans. Mais les musulmans n’ont pas réalisé que prononcer la chahada les maudit : N’invoquez personne avec Allah (Coran 72.18).

    Charia : Ensemble des lois et règlements dérivés du Coran et de la Sounna.

    Cheikh : Titre religieux signifiant ancien.

    Chiisme : Parti (chia) d’Ali, cousin et gendre de Mahomet, assassiné pour avoir disputé la succession à Muawiya, gouverneur de Syrie (premier des sunnites). Pour les chiites, le gouvernement appartient à Ali et à ses descendants : les imams. La lignée des imams septimains s’est éteinte au septième d’entre eux, et pour celle des duodécimains, au douzième, caché en 874. Il n’est plus visible, mais ses interprètes, les moujtahids, révèlent sa pensée et dirigent le peuple à sa place, grâce aux enseignements ésotériques reçus d’Ali. Le dernier imam, septième ou douzième, le Mahdi, doit revenir instaurer le règne d’Allah (Coran 9.33 ; 48.28 ; 61.9).

    Cette croyance les a conduits à accueillir celle de la métempsychose et celle de l’incarnation plus ou moins partielle de la divinité en la personne des imams descendants d’Ali. Les chiites prônent une grande rigueur dans la mise en pratique de l’islam et l’assimilation des populations conquises. Ils représentent environ 10 % des musulmans. Malgré les rivalités, chiisme et sunnisme siègent ensemble au sein de l’Organisation de la Coopération Islamique, tandis que les ayatollahs iraniens ont toujours soutenu les organisations terroristes telles que le Hamas, les Taliban, les Frères Musulmans … L’imam Ali Khamenei a lui-même traduit en perse l’idéologue des Frères Musulmans, Sayed Qotb.

    Coran : L’étymologie du mot Coran est encore incertaine.

    En arabe il signifie lecture ou récitation.

    En hébreu qara signifie appel (Coran 10.57 ; 13.18,41 ; 14.44).

    En syriaque qer’yana signifie récitation des Écritures, ou le lectionnaire utilisé pour cela.

    Les chrétiens d’Orient nomment leur lectionnaire en syro-araméen : qor’ôno ou qer’yana.

    Peut-être désignait-il le recueil de textes des nazaréens venus endoctriner les Bédouins

    Dawa : Devoir de répandre l’islam.

    Dhimmi : Statut réservé aux juifs et aux chrétiens ayant dû conclure en échange de leurs vies sauves un pacte de reddition (dhimma) les soumettant à un régime insupportable d’humiliation. Le mot dhimma (ou dhimma, néologisme judicieux forgé par Béchir Gémayel en 1982 pour désigner la soumission des chrétiens aux musulmans) signifie protection. Mais protection contre quoi ou contre qui ? Contre le droit de tout musulman à tuer librement un non-musulman. En échange de leurs vies sauves, chrétiens et juifs doivent endosser une condition sociale, juridique, culturelle, politique et religieuse avilie, rackettés par des impôts spéciaux : la jizyia et le kharaj (taxe foncière), payés dans l’humiliation (Coran 9.29).

    La dhimma est une condition de non-droit inséparable du djihad dont elle constitue à terme le soubassement économique et la fin : l’élimination plus rentable, parce que progressive, des non-musulmans. S’autorisant du Coran (9.29), elle est une réalité aussi sacrée qu’intangible. Elle fait l’objet, en Occident, d’une ignorance aussi vaste qu’incompréhensible, car elle a accompagné la présence de l’islam durant plus d’un millénaire partout où il s’est implanté.

    Diyya : Prix du sang payé en compensation d’un meurtre, dont le montant varie selon qu’il s’agit d’un homme, d’une femme, d’un esclave, d’un musulman ou d’un non-musulman.

    Djin(n)/ jin : Les jins, ou djins, sont des créatures invisibles, mi-mons/mi-génies, créées d’un feu sans fumée, prenant différentes formes et capables d’influencer le genre humain. Ils habitent les déserts, les points d’eau, les cimetières, les forêts, mais aussi parmi les hommes. Comme ces derniers, ils se reproduisent, sont organisés en royaumes, tribus, peuples, ayant lois et religions (Coran 51.56), mais contrairement aux anges ils peuvent désobéir à Dieu et pécher. La force surhumaine du djin donne un pouvoir immense à qui, par la magie, pactise avec lui. Des mariages entre humains et djins sont conclus. La Tradition chrétienne ne reconnaît pas l’existence de ces créatures mentionnées dans le Coran. La mythologie musulmane elle-même ne sait pas très bien les définir (Coran 2.32-34 ; 15:30-31 // 18.50)

    Émir : Désigne le potentat d’un territoire, ou le général d’une armée.

    Eschatologie : Doctrine des choses qui doivent advenir à la fin du monde et ensuite.

    Évangile : Se traduit littéralement du grec par Bonne Nouvelle. C’est la Bonne Nouvelle de la promesse faite jadis aux Pères enfin réalisée, celle du salut accordé par miséricorde à l’humanité en Jésus mort et ressuscité.*

    Fatalisme : Attitude résignée face au sort dépendant uniquement de la volonté d’Allah, reflétée par l’obéissance mécanique aux prescriptions coraniques.

    Fatiha C’est la première sourate du Coran (Coran 1.1-7), récitée au minimum dix-sept fois par jour. Elle ouvre toutes les prières rituelles (Salat). A la suite de la Birkat ha-minim, remontant à la charnière du 1er et du IIe siècle, qui est une formule rabbinique de malédiction demandant que « les nostrim [chrétiens] et les minim [hérétiques] soient détruits sur-le-champ, effacés du livre de vie », la Fatiha désigne comme objets de la colère d’Allah les juifs (Coran 2.61), et les égarés que sont les chrétiens (Coran 4.44). Elle est l’unique prière de supplication des musulmans … La prière du vendredi est encore plus vindicative : non seulement la Fatiha est récitée plusieurs fois, mais aussi les sourates 62 et 63, qui sont remplies de haine à l’égard des juifs et des chrétiens, et le prêche se conclut par une litanie de malédictions contre eux. Comment prétendre que l’islam est une religion de paix et d’amour ?

    Fatwa : Décision islamique d’ordre juridique en réponse à un problème donné, applicable à tous les cas analogues. Par exemple : celui qui apostasie l’islam sera nécessairement l’objet d’une fatwa le condamnant à mort, qui devra être exécutée par n’importe qui et n’importe où. Celui qui ne veut pas l’exécuter ira en enfer, mais celui qui l’exécutera ira au paradis jouir des soixante-douze vierges à lui promises en récompense (des fa&bles.

    Fiqh Droit musulman. Il régente sans distinction les ordres juridique, religieux, culturel et cultuel. Tous les faits et gestes humains doivent correspondre aux modèles de comportements préétablis. La singularité des personnes et des situations en est donc nécessairement absente et pourchassée. C’est la négation même de l’interprétation de la Loi apportée par le Christ (Jn 8.1-11).

    Le sunnisme a quatre écoles juridiques 

    le hanbalisme (la plus rigoriste)

    le malikisme

    le hanafisme

    le chaféisme.

    Le chiisme en a trois

    le jafarisme

    le zaydisme

    l’ismaélisme

    le kharidjisme en a quatre : l’ibadisme, l’azraqisme, le soufrisme, le nekkarisme.

    Foi : Mouvement de confiance par lequel est accueilli pour vrai ce qui est dit en raison de la véracité de celui qui le dit. Dieu ne peut ni Se tromper ni nous tromper, c’est la raison pour laquelle nous devons avoir foi en Sa parole.

    Géhenne Autre terme pour désigner l’Enfer.

    Gnose : Du grec gnôsis, connaissance. 1- Terme utilisé par les Pères de l’Église pour désigner la connaissance de Dieu et des mystères de la foi nécessaire au salut et obtenue par la prière, l’étude et l’ascèse. 2- Système philosophico-religieux prétendant donner une connaissance complète de Dieu et du monde, concilier toutes les religions en expliquant leur sens profond et commun, au moyen d’une initiation secrète, ésotérique. Pour la gnose devenue gnosticisme, la matière est mauvaise et il s’agit de s’en abstraire. Ainsi le catharisme enseignait-il à renoncer au mariage, à la famille, à la propriété privée, et à considérer le suicide, l’endura, comme libération. Puisque la matière est mauvaise, le Dieu créateur l’est aussi et l’Incarnation pas plus que la Rédemption n’ont de sens. La Franc-maçonnerie ou le Nouvel Âge sont des gnoses.

    Grâce : Don immérité, par excellence la vie de communion avec le Dieu de Jésus-Christ, donnée dans le baptême et renouvelée ou accrue par excellence dans la célébration des sacrements et la pratique des commandements divins.

    Hadith : Recueil de paroles, faits et gestes attribués à Mahomet et censément rapportés par des chaînes de transmetteurs : un tel a dit à un tel qu’un tel avait dit à un tel que Mahomet avait dit... Les hadiths n’ont pas cessé, au long des siècles, d’augmenter en nombre (plus d’un million et demi rien qu’en Iran) et en détails parfois nombreux.

    Les principaux recueils sont ceux de Al-Boukhari (810-870) et de Al-Mouslim ibn al-Hajjaj (821-875), réputés authentiques, sachant que le plus ancien recueil attribué à Boukhari remonte à plus deux cents ans après sa mort et que celle-ci est survenue plus de deux siècles après celle de Mahomet… Certains hadiths sont tellement absurdes ou grotesques que même les musulmans arrivent à douter de leur authenticité… Les hadiths saints sont par contre reçus comme étant de réelles paroles d’Allah, bien qu’absentes du Coran. Le hadith n’est pas sans rappeler le Talmud, qui est une continuelle racionisation de commentaires de commentaires.

    Hadj ou hajj : Le mot arabe est issu d’une racine sémitique signifiant tourner autour, que l’on retrouve en hébreu et en araméen : hag (fête). Pèlerinage au sanctuaire de La Mecque, interdit à tout mécréant sous peine de mort, suite à une révélation (Coran 9.1,28).

    On y retrouve tous les rituels d’un précédent pèlerinage païen, justifiés par des légendes nommant des personnages bibliques. Maints usages sont juifs : l’importance du pèlerinage, le rôle des pierres sacrées (Gen 28,18-22 ; 31.45 ; Josué 24.26-27 ; 1 Samuel 7.12)

    l’obligation d’être en état de pureté rituelle, la frontière spéciale délimitant le pur du profane, l’interdit des relations sexuelles, le sacrifice d’animaux…

    Au cours de leur pèlerinage les pèlerins tournent sept fois autour de la Kaaba, l’édifice censé avoir contenu autrefois quantité d’idoles et contenant aujourd’hui encore la fameuse Pierre Noire, une météorite autrefois divinisée.

    Le trajet de Safaa à Marwa (environ 400 m) que les pèlerins font sept fois de suite en souvenir d’Agar cherchant de l’eau, est la reprise d’un rite des païens du lieu vénérant la source de Zamzam. Aussi le Coran a t-il cru devoir rassurer la conscience de ceux à qui l’on avait d’abord enseigné que pratiquer la religion traditionnelle était péché : Safaa et Merwa sont des monuments d’Allah ; celui qui fait le pèlerinage de La Mecque ou qui visitera la maison sainte ne commet aucun péché (Coran 2.153).

    Les pèlerins doivent lapider Satan représenté par trois stèles en béton 

    Par ce rituel typique des sacrifices antiques où une personne déclarée coupable servait de bouc émissaire et était lapidée, non seulement les musulmans sont invités à poser un geste aussi absurde qu’inefficace, mais sont encore entretenus dans l’extériorisation de la haine comme devoir sacré.

    Halal : Qualité de ce qui est permis par la loi islamique. Accepter le halal implique : de graves risques sanitaires à la consommation (vigilancehallal.com), le non-respect de la législation interdisant la souffrance animale lors de l’abattage, le non-respect de la législation du travail interdisant la discrimination à l’embauche (seuls des musulmans sont habilités), le financement de l’islamisation par le versement de la taxe de certification halal…

    Harki : Militaire indigène d’Afrique du Nord ayant servi dans l’Armée française durant la guerre d’Algérie de 1957 à 1962. Par extension, le terme désigne tous les Algériens musulmans ayant soutenu le rattachement de l’Algérie à la République française, laquelle les abandonna à la haine sans nom de leurs compatriotes ennemis de la France, et relégua dans une honteuse situation de parias ceux qui purent franchir la Méditerranée.

    Hégire : Début de l’ère islamique marquée par la fuite (hijra : immigration) de Mahomet à Yathrib devenue Médine.

    Houris : Jeunes et belles filles à la virginité sans cesse reconstituée, préposées à l’assouvissement des désirs sexuels du musulman au paradis d’Allah, à raison de soixante-douze pour chacun.

    N. B. : Pour les musulmans, rien n’est prévu. des fables et des mensonges

    Ijaz : Prétendue inimitabilité du Coran présentée comme preuve de son origine divine.

    Ijma : Consensus des savants musulmans sur une question n’ayant pas trouvé de réponse dans le Coran ou les hadiths. C’est la règle de l’unanimité des croyants fondée sur un hadith faisant dire à Mahomet : Ma communauté ne se réunira pas sur une erreur. (Celle du Diable non plus !)

    Ijtihâd : Effort d’interprétation des textes fondateurs de l’islam. Pour les uns, c’est le calife Al-Moutawakkil qui interdit définitivement en 847 toute discussion sur la nature du Coran, pour les autres, c’est le calife Hakim en 1029. Toujours est-il que les portes de l’ijtihâd ont été fermées et qu’aucune interprétation des prescriptions coraniques ne peut aujourd’hui s’écarter de la jurisprudence d’alors (maddhab). Toute interprétation non conforme à celle-ci est une innovation illégitime (bid’ah). C’est pourquoi, ceux qui rêvent de moderniser ou d’adapter l’islam, que ce soit à l’aune de valeurs maçonniques et républicaines ou d’intérêts nationaux et particuliers, fussent-ils ceux de l’Arabie saoudite, sont soit de dangereux ignorants, soit des maîtres es-taqiya.

    Imam : Les sunnites désignent ainsi celui qui, placé devant la communauté réunie, dirige sa prière rituelle, tandis que les chiites donnent ce titre aux califes, successeurs d’Ali, incarnations de l’esprit d’Allah et donc responsables de l’interprétation de la révélation.

    Injil : Traduction en arabe du mot Évangile. L’islam ignore les Évangiles.

    Islam : Signifie soumission, à Allah et à Mahomet.

    Ismaélisme : La scission entre chiites duodécimains et chiites ismaéliens a lieu à la mort de Jafar as-Sâdiq en l’an 765, lequel laisse son fils aîné, Ismaël, comme son successeur.

    Isnad : Chaîne de transmetteurs de gestes et paroles de Mahomet.

    Issa : Nom donné à Jésus dans le Coran, n’ayant aucune signification en arabe, alors que le nom de Jésus en hébreu (Yéshoua) et en arabe (Yasoua) signifie Dieu sauve ! L’islam ne veut pas que Jésus soit le Sauveur des hommes

    Jahiliyya : Littéralement, état d’ignorance caractérisant toute société non-musulmane.

    Jihad ou Djihad : Principe de destruction de tout ce qui n’est pas musulman. Guerre perpétuelle et universelle, jamais déclarée ni achevée, pour imposer l’islam. Dans le djihad, tout est butin : pas seulement les biens de toute nature, mais aussi les personnes, réduites en esclavage lorsqu’elles ne sont pas tuées.

    Janissaire : Pour se doter d’un redoutable corps d’infanterie, l’Empire ottoman institua sur les populations vaincues la terrible loi du Devchirmé (du turc : récolte, ramassage) : prélèvement quinquennal de garçons sélectionnés et arrachés à leurs familles chrétiennes pour être islamisés et cyniquement formés à combattre, y compris leurs parents et anciens concitoyens. Si le quota officiel était d’un enfant sur cinq par famille (jusqu’à 10 000 par an dans les Balkans), les agents recruteurs ne se privaient pas toujours de prendre davantage d’enfants pour les revendre à leur profit. Entièrement consacrés à la vie militaire, soumis à une discipline de fer, apostats sans racine, n’ayant pas le droit de se marier, ils avaient le statut d’esclaves et point d’autre choix que celui de rester attachés à la Sublime Porte. Ils constituèrent le terrible corps d’armée des Janissaires, utilisé jusqu’au XIXe siècle, qui permit à l’Empire ottoman de s’étendre jusqu’à Vienne. La conversion à l’islam de nombreuses familles du Proche-Orient, des Balkans, d’Égypte ou d’Anatolie, a-t-elle vraiment quelque chose d’étonnant ?

    Jizyia : Racket institutionnalisé des dhimmis (Coran 9.29).

    Kaaba Cube en arabe. D’anciens chroniqueurs rapportent qu’avant l’avènement de l’islam, il y avait dans la péninsule arabique vingt-quatre kaabas, consacrées chacune à une divinité, auxquelles les fidèles se rendaient certains jours déterminés pour procéder à des rites comprenant entre autres une déambulation circulaire et des sacrifices. Les plus importantes semblent avoir été les kaabas des déesses 1 Allât à Taif, 2 Uzza à Nakhlah 3 Manat près de Qoudayd.

    À La Mecque, il s’agit du sanctuaire principal de la religion musulmane. Cubique comme le Saint des saints du Temple de Jérusalem, il renferme la fameuse Pierre Noire à l’angle irakien. Recouvert d’un voile noir, le kiswa, il rappelle la tente sous laquelle était abritée l’Arche de l’Alliance (Ex 26.7-36). Orienté sur l’axe des points cardinaux vers Jérusalem, il est pareillement flanqué d’un parvis rectangulaire bordé de galeries. Non loin se situe la source sacrée de Zamzam, avec une zone sacrée (le haram) et un déambulatoire (le matâf).

    Kâfir (pluriel : Koufar: Tout non-musulman, réputé de ce fait mécréant, impie et maudit.

    Kharaj Impôt foncier dont sont redevables les seuls non-musulmans.

    Kharidjisme : Mouvement politico-religieux s’opposant aussi bien au sunnisme qu’au chiisme au sujet du calife, que les kharidjites considèrent devoir être élu démocratiquement. Les kharidjites sont réputés pour leur lecture littérale du Coran, leur puritanisme et leur fanatisme..

    Mahdi : De nombreux hadiths parlent du Mahdi, attendu pour la fin des temps

    Le Mahdi est un de mes descendants, il a le front large et le nez aquilin. Il emplira la terre d’équité et de justice après que la tyrannie et l’injustice auront régné sur elle. Il règnera sept ans (Rapporté par Abou Sa‘id al-Khudri, cité par Abou Dawoud).

    Les chrétiens qui se seront repentis et auront accepté l’islam, seront épargnés des persécutions et des massacres. Les autres, qui auront choisi la mécréance (qui seront restés fidèles au Christ), seront mis à mort. Après cet événement, le monde entier sera gouverné par les musulmans.

    Mahr : Prix payé par un homme pour l’usage du corps de celle qui devient ainsi épouse légitime.

    Messie (hébreu le mashyHa) ou Christ (grec) : Le mot Massih dans le Coran reproduit l’hébreu Machiah qui littéralement signifie 

    Celui qui est oint, en tant que roi, prêtre,prophète.

    L’Oint par excellence est le Sauveur Yeshua > JESUS (que les juifs attendent toujours).

    Dans le Coran, le mot Massih n’a pas de sens, mais la tradition islamique lui donne celui de : essuyé du péché. Le Coran ne parle jamais du Sauveur. Accoler Christ au nom de Jésus est un acte de foi reconnaissant Jésus comme le Messie promis.

    Mihrab : Niche dans une mosquée indiquant la direction de La Mecque.

    Minbar : Chaire de la mosquée où se fait le sermon.

    Miséricorde Du latin misereri (avoir pitié) et cor (cœur)Attribut de Dieu expliquant Son dessein de salut pour l’humanité. On nomme ainsi l’attitude profonde de l’être caractérisée par la disposition au pardon, la sensibilité à la misère et à la souffrance d’autrui.

    Morale : En islam, est bien ou mal ce que la norme coranique dit être tel. La raison n’est nullement sollicitée dans l’acte moral : il s’agit seulement que la volonté humaine se soumette totalement à l’impératif de la charia.

    Moudjahidplmoudjahidîn : Combattant du djihad.

    Mozarabe : Chrétiens d’Espagne arabisés lors de la domination de celle-ci par les musulmans.

    Muezzin : Celui qui appelle à la prière musulmane du haut d’un minaret, aujourd’hui à l’aide de puissants haut-parleurs.

    Mufti : Magistrat qui émet une fatwa.

    Musulman : Signifie Soumis.

    Mutazilisme : Mouvement théologique né au VIIIsiècle qui, en considérant la raison comme une source de connaissance religieuse, s’opposait aux fondamentalistes, majoritaires.

    Nazir Nazaréen  : Personne qui dans l’Ancienne Alliance se consacre à Dieu pendant une période de temps déterminée, s’engageant à rester en état de pureté, ne buvant pas de vin ni ne se coupant les cheveux. La période de vœu accomplie, le nazir le nazaréen  devait apporter une brebis en offrande au Temple, se raser le crâne et brûler ses cheveux sur l’autel ; il peut alors boire du vin et retourner à la vie normale (Nombres 6,2-21 ; Juges 13,5-7 ; 16,17 ; Amos 2,11-12).

    Nazaréen le surnom donné à Jésus-Christ (Mat 2.23 ; Jean 18.5,7)

    Nikah  Un même mot pour nommer l’acte sexuel et le mariage en islam.

    Omeyyades Cf. Abbassides.

    Ontologie : Étude de l’être en tant qu’être, sans tenir compte de ses déterminations particulières.

    Ouléma : Savant musulman chargé de dire la charia.

    Oumma (encore appelée jamaa sous un aspect juridique) : La communauté formée par l’ensemble des musulmans indépendamment de leurs nationalités et appartenances diverses. Ainsi l’article 34 du Code de Droit algérien relatif à la bi-nationalité stipule : Les Arabes, qu’ils revendiquent ou non leur appartenance à la race arabe, avant toute autre nationalité, doivent faire allégeance à l’islam. L’islam ignore les nations

    Paraclet : Mot grec signifiant avocat, dérivant d’un verbe signifiant : demander, prier, encourager, consoler, exhorter, défendre. Toutes choses que l’Esprit-Saint a mission de réaliser pour les chrétiens après le retour du Christ au Ciel.

    Polythéisme : Croyance en l’existence de plusieurs dieux.

    Qibla : Nom donné à la direction de La Mecque, indiquée dans les mosquées par le mihrab.

    Razzia (pl. rezzou) : Attaque surprise en territoire étranger pour en rapporter biens, esclaves, otages … Le vol n’est infâme que contre un membre de l’Oumma.

    Râwî Le rapporteur d’un hadith.

    Salat : Prière rituelle de l’islam, communautaire ou individuelle, pratiquée cinq fois par jour (aube, midi, après-midi, crépuscule, nuit avancée), en état de pureté légale.

    Shahîd (ou Shahid) : Assassin musulman auréolé de la gloire des martyrs pour s’être suicidé dans le meurtre d’un maximum de personnes

    Salafisme : De Salaf, Ancien. Mouvement sunnite préconisant par l’abandon des innovations (voir Bid’ah) le retour à l’islam des origines.

    Seldjoukides : Dynastie turque qui domina l’Orient musulman du xiau xiiie s.

    Shirk : Mot se traduisant par associationnisme et désignant le péché des chrétiens, le seul impardonnable aux yeux d’Allah (Coran 4.48,116), les vouant tous à l’Enfer, et qui consisterait à associer à l’unique divinité de pseudo-divinités que seraient Jésus et Marie (Coran 5.116 ; 6.100-102).

    Sira : Biographie de Mahomet, écrite par Ibn Ishâq (mort vers 768) et remaniée ensuite par Ibn Hicham (mort en 833). Son but est de donner une cohérence narrative au Coran. Ainsi, alors que la Sira d’Ibn Ishâq ne fait qu’évoquer une des nombreuses razzias de Mahomet, celle d’Al-Waqidi (mort en 823) mentionne, cinquante ans plus tard, la date exacte, l’endroit, les personnes impliquées, le montant du butin récolté, et les raisons pour lesquelles Mahomet l’a ordonnée. Mais il n’est pas toujours facile de faire coïncider les différents récits, comme le montre, par exemple, le fait que les rédacteurs de la Sira n’ont pas trouvé de meilleur moyen d’accorder leurs dates relatives à la naissance de Mahomet que de le faire demeurer quatre ans dans le sein de sa mère, Âmina, avant de naître… car « le fœtus s’était endormi pour une longue période dans la matrice de sa mère. (Al-Tabari, Târîkh, vol. II, p. 253 ; Ibn Kathir, Al-Târîkh al-kâmil, vol. II, p. 13) » C’est ainsi que la très savante université d’Al-Azar enseigne aujourd’hui que « la femme ne peut maintenir sa grossesse que quatre ans seulement. (Mansour Al-Bahouri, Le pré carré dans l’explication de la nourriture du marécage, Le Caire 2008, p.389 ; Voir également sur ce sujet : Joël Colin, L’enfant endormi dans le ventre de sa mère ; étude ethnologique et juridique d’une croyance au Maghreb, Presses Universitaires de Perpignan, 1998).

    Soufisme : Mouvement spirituel et ascétique de l’islam né au contact de la mystique et du monachisme chrétiens au VIIIe siècle en Irak. Sa doctrine est à la fois exotérique, celle de tous les musulmans, et ésotérique, reçue seulement par ses initiés, dans une relation de maître à disciple censée remonter à Mahomet. Elle se résume en neuf points

    1) Allah seul existe. Il est dans tout, tout est en lui et tout est lui-même.

    2) Tous les êtres en sont donc une émanation.

    3) Les soufis ne sont pas assujettis à la loi extérieure. Tous les dogmes sont des allégories.

    4) Les religions sont indifférentes, mais la religion musulmane est la plus avantageuse pour arriver à la réalité.

    5) Il n’y a pas de différence entre le bien et le mal.

    6) C’est Allah qui détermine la volonté de l’homme, lequel n’est donc pas libre.

    7) L’âme préexiste au corps et y est enfermée comme dans une prison.

    8) La mort est le vœu des soufis, puisqu’elle permet de rentrer dans le sein de la divinité.

    9) C’est par la réincarnation que les âmes sont purifiées. Les soufis souhaitent s’unir à Dieu, ce dont auraient le pouvoir la position accroupie, la rotation sur place ou les hurlements inhumains des derviches tourneurs. Attitudes qui n’ont rien à voir avec la spiritualisation du corps et la prière chrétiennes, mais en sont une contrefaçon diabolique.

    Sourate : Chapitre du Coran

    Sultan : Titre donné au souverain de l’ancien Empire turc et à certains souverains musulmans.

    Sounna : Désigne la Tradition constituée des siyar (pluriel de sira) et des hadiths (les plus célèbres sont ceux de Mouslim et de Boukhari). Les faits et gestes de Mahomet étant, d’après le Coran, pratiques normatives et sources d’imitation pour les musulmans. Vous avez dans l’Apôtre d’Allah un bon exemple, pour celui qui espère en Allah et croit au Jour dernier et qui se souvient souvent d’Allah (Coran 33.21). La Sounna est devenue aussi sacrée que le Coran lui-même, au point que la parole d’Allah peut être invalidée par un hadith. Dans la terminologie du fiqh, Sounna désigne tout ce qui est établi et recommandé sur la base d’une preuve légale et dont l’abandon constitue un péché méritant châtiment.

    Sunnisme (vient de Sounna) : Mouvement des partisans de Muawiya, gouverneur de Damas et successeur du quatrième calife, Ali, qu’il fit assassiner. Le sunnisme se divise en quatre écoles : les hanafites, les malékites, les shaféites et les hanbalites.

    Tafsir : Terme arabe désignant une interprétation du Coran, à l’aide des hadiths, par un moufassir. Le principal tafsir est celui d’Al Tabarî.

    Tâghoût : Le Tâghoût est tout ce qui est adoré en dehors d’Allah (Imam Malik, 711-795). Désigne donc une transgression absolument haïssable, mais jamais vraiment définie… en sorte que tout et tous peuvent être réputés Tâghoût !

    Taqiya : Art de mentir au profit de l’islam. La taqiya permet aux musulmans de dissimuler jusqu’à leur croyance, voire de la renier et d’en pratiquer même publiquement une autre, s’ils estiment la chose nécessaire à la sauvegarde de leurs intérêts (Coran 3.28,54 ; 16.106).

    Elle est la tactique infaillible permettant d’instaurer le califat sur la terre entière. Elle est donc plus importante que la pratique des cinq piliers de l’islam. Sa connaissance est par définition insaisissable. C’est en soi une religion impliquant une pratique dans tous les domaines de la vie. Cet art du mensonge procède par étapes en vue d’infiltrer les esprits progressivement et de les soumettre en douceur, en s’adaptant à chaque situation. Il existe essentiellement deux formes de taqiya, défensive et offensive

    L’origine de la taqiya remonte au projet d’Allah de démasquer Satan, qui était si expert en taqiya qu’Allah lui-même ne pouvait le distinguer des anges fidèles… Allah résolut alors de créer Adam pour tendre un piège à Satan, celui de devenir le calife de la Création (Coran 2.30).

    Et pour qu’Adam pût rivaliser avec Satan, il fallut qu’Allah lui enseignât la taqiya (qu’Allah ne possédait cependant pas, puisque c’est justement son défaut qui l’empêchait de reconnaître les agissements de Satan…). C’est là une contradiction qui a manifestement échappé à l’auteur du mythe. Adam transmit ensuite cette technique, qui est aujourd’hui enseignée chez les musulmans et les juifs. Sauf que les juifs la pratiquent au service de Satan, et les musulmans au service d’Allah. Ce qui évidemment change tout ! Pour en revenir à l’histoire : Adam n’a pas mangé du fruit défendu, mais, selon le plan convenu avec Allah, il a fait semblant, et cela afin de montrer aux anges fidèles la nature perverse de Satan l’ayant invité à pécher… Certes, la pauvre Ève, innocente et ignorante, a été impliquée dans cette comédie, mais elle a précisément été créée faible pour remplir cet office. Et voici la première règle de la taqiya : profiter de la faiblesse et de l’ignorance d’autrui. La Bible est réinterprétée selon cette loi du mensonge : l’histoire de Joseph (Gn 37-50) est une application de la taqiya par Jacob et son fils préféré pour entrer en Égypte et y conquérir le pouvoir (Coran 12.4-10) ; la tante maternelle de Moïse put le sauver de la mort décrétée par Pharaon pour tous les nouveau-nés mâles hébreux, parce qu’elle était devenue son épouse en vue de faciliter le départ d’Égypte des Hébreux devenus nombreux et riches. Etc.

    Le même principe a présidé à la Shoah pour la création de l’État d’Israël.

    Mahomet a pratiqué la taqiya jusque dans le Coran, par les versets dits tolérants et le principe de l’abrogation (Coran 2.106 ; 5.15 ; 16.101).

    Ce devoir du mensonge, pratiqué aussi bien par les chiites que par les sunnites, se décline sous quatre formes : la taqiya, qui est la plus connue, la tawriya, le kitman le mourouna.

    La tawriya peut être définie comme l’inventivité dans l’art du mensonge

    le kitman consiste à ne dire qu’une partie de la vérité afin de la déformer entièrement

    le mourouna signifie faire preuve de souplesse, savoir s’adapter, c’est l’arme suprême pour s’infiltrer chez l’ennemi.

    Takfir : Terme signifiant excommunication et justifiant la mise à mort.

    Les takfiri sont les adeptes de l’islam radical pour qui tout musulman ne partageant pas leur point de vue, déclaré apostat, mérite la mort. Ils sont nés d’une scission des Frères musulmans.

    Talmud : Ensemble de commentaires juifs des Écritures remontant pour le plus ancien, la Mishna, à la fin du IIe ou au début du IIIe siècle.

    Tawil : Interprétation du Coran donnée par les chiites.

    Tawhid : Unicité divine, confession de celle-ci (Coran 14.52 ; 23.32).

    Torah Les musulmans ne savent pas si ce terme désigne les cinq premiers livres de la Bible ou tout l’Ancien Testament.

    Wahhabisme Mouvement musulman fondamentaliste saoudien fondé au xviiie siècle, visant au rétablissement de l’islam originel, en s’opposant notamment à toute forme populaire de religiosité et à tous les autres courants de l’islam. Il prône une pratique religieuse purement ritualiste.

    Zakat : Aumône légale, un des cinq piliers de l’islam, destinée à l’aide des seuls nécessiteux musulmans (Coran 16.71).

     


    votre commentaire
  • Ils disent: "la burqa est un vêtement" tout au plus un déguisement on ne va pas légiférer sur les vêtements et les déguisements"... Erreur. La burqa n'est pas un vêtement, c'est un message. Et

    c'est un message qui dit l'assujettissement, l'asservissement, l'écrasement, la défaite des femmes.

    Ils disent: "c'est peut-être un assujettissement, mais c'est consensuel; sortez de votre tête l'idée d'une burqa imposée par des maris méchants, des pères abusifs, des caïds, à des femmes qui n'en voudraient pas"…

    Soit. Sauf que la servitude volontaire n'a jamais été un argument!

    on ne le dira jamais assez. >> Le port de la burqa n'est pas une prescription coranique!.

    Il n'y a aucun verset, ni aucun texte de la sunna, obligeant les femmes à vivre dans cette prison de ferraille et de tissu qu'est un voile intégral.

    They say: "the burqa is a garment "at most a disguise we are not going to legislate on clothes and disguises"... Mistake. The burqa is not a garment, it is a message. And

    it is a message that says the subjugation, enslavement, crushing, defeat of women.

    They say: "it may be subjugation, but it is consensual; get out of your head the idea of a burqa imposed by evil husbands, abusive fathers, bigots, on women who would not want it"…

    Either. Except that voluntary servitude has never been an argument!

    we can never say it enough.

    > > Wearing the burqa is not a Quranic prescription!.

    There is no verse, nor any text of the sunnah, forcing women to live in this prison of scrap metal and fabric that is a full veil.

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Et en plus l'étoile de David bien imprimée sur la KIPPA 

    Le gouvernement québécois pourrait interdire la kippa à ses fonctionnaires  - The Times of Israël

     

    Typiquement, l’une des différences classiques entre les lieux de cultes chrétiens et juifs, est que les hommes chrétiens y découvrent leur tête, tandis que les juifs y portent un chapeau.

    Mais contrairement au tallit et aux tefillin, tous deux mentionnés dans la Torah

    la kippah n’est fondée sur aucune loi biblique ou rabbinique.

    Il s’agit d’une coutume > tradition rapportée originellement dans le Talmud par un rabbin qui affirmait n’avoir jamais marché plus de quatre cubites (quelques mètres) sans un couvre-chef.

    Or, la kippah ne devint normative qu’à partir du 17e siècle, lorsqu’un érudit, David Halevy, originaire d’Ostrog en Russie, déclara que les hommes juifs devaient se couvrir la tête pendant la prière, afin de différencier la prière juive du culte chrétien. – Ari L. Goldman, Being Jewish : The Spiritual and Cultural Practice of Judaism Today, p. 218

    Les rabbins talmudiques ont imposé des lois vestimentaires dans leurs communautés pour une raison bien précise : rejeter le monde non juif, considéré comme maudit dans le judaïsme talmudique 

    Les Juifs devraient s’habiller de telle manière à rejeter le monde non juif.

    « Nous résidons, écrit le Rabbi Israel dans la Moravie du 15e siècle, parmi les nations qui vont tête nue » (Woolf 2000-1 : 55).

    Pour s’en tenir à l’écart, les Juifs doivent donc porter des chapeaux et cherchent à ancrer cette pratique dans la Torah

    A partir de la culture, pour citer Lauterbach, les rabbins justifient les couvre chefs dans la défiance, puis dans la Loi (1928).

    Toutefois, les rabbins ne firent pas encore tourner les yarmulkes.

    Les manuscrits hébraïques enluminés du moyen âge tardif montrent que les Juifs portaient une grande variété de chapeaux (Metzger and Metzger, 1982).

    Or, de nombreux Juifs, notamment en France et en Allemagne, continuaient à aller tête nue, y compris pendant la prière.

    Au 14e siècle, le rabbi David ben Judah le pieux, condamna durement tout juif qui irait prier avec une tête non couverte, déclarant : « malheur à son âme…ceci est une pratique propre aux nations maudites au sein desquelles ils se sont assimilés…ils se conduisent d’une façon dégradante, en se présentant tête nue, hautement et avec orgueil, devant Dieu tout puissant » (Zimmer 1992 : 333).

    Mais, en dépit de la sévérité de cette condamnation, les Juifs ne percevaient pas unanimement la pratique de se couvrir la tête, comme une obligation masculine. Pas avant la publication, au 16e siècle, du Shulchan Aruch, la codification de la loi juive par le rabbin Joseph ben Ephraim Caro. Malgré cela, beaucoup d’hommes ashkénazes continuèrent à prier tête nue. Même le rabbin Solomon Luria, un contemporain du rabbin Caro, admit : « Je ne connais aucune interdiction contre le fait de prier avec une tête non couverte » (Lauterbach 1928 : 236).

    Au 18e siècle encore, le rabbin Elijah ben Shlomo Zalman, le célèbre Gaon de Vilna, ne put justifier les couvre-chefs dévotionnels que sur la base des « bonnes manières » (Zimmer 1992 : 335).

    Dans ce cas, comment et quand est-ce que le yarmulke est-il devenu un attribut vestimentaire incontournable de la masculinité juive ? –  Eric Silverman, A Cultural History of Jewish Dress, p. 162

    Le judaïsme talmudique est intrinsèquement anti-biblique > anti Chrétien !

    L’intention antichrétienne du port de la kippa est confirmée également par l’Assemblée Rabbinique des Rabbins Conservateurs :

    Les raisons du port de la kippa sont doubles : Premièrement, c’était la façon juive de montrer de la révérence et du respect (B. Qid. 31a ; Maimonides, Hil. De’or 5 : 6).

    Deuxièmement, se découvrir la tête était la coutume des goyim. De là, cette pratique doit être évitée par les juifs (Encyclopedia Talmudit, 6 :117).

    Se couvrir la tête servait ainsi à la fois comme moyen d’identification et de barrière contre l’assimilation. Rabbinical Assembly, « Non Jews and Kippah in the Synagogue »

    les kippas, ou yarmulke, n’ont aucun fondement biblique.

    Elles n’étaient ni portées au temps des Patriarches, ni au temps des saints prophètes, ni au temps de Notre Seigneur Jésus Christ.

    Ce sont de pures inventions talmudiques, dont la pratique remonte au mieux à la Renaissance

     


    votre commentaire
  • L’aveuglement 

    Sévérité de Dieu manifestée par la destruction du peuple juif.

    Sa bonté dans la vocation des gentils.

    L’aveuglement des juifs condamné par les textes de l’ancien testament.

    Le bienheureux apôtre Paul, docteur des Gentils dans la foi et la vérité, nous exhorte à demeurer stables et fermes dans une même croyance, dans la croyance dont il s’est montré le fidèle ministre: en cela, il nous donne un précepte qu’il confirme par un exemple capable de nous effrayer. «Tu vois», nous dit-il, «la sévérité et la bonté de Dieu: sa sévérité envers ceux qui sont tombés; et sa bonté envers toi, si toutefois tu demeures ferme dans cette même bonté».

    Il est sûr, qu’en s’exprimant ainsi, il a voulu parler des Juifs pareils aux branches d’olivier, violemment arrachées d’une souche fertile, ils ont été séparés de leurs saints patriarches en raison de leur infidélité : afin que les Gentils fussent, à cause de leur foi, comme un olivier sauvage, greffé sur un olivier fertile, et devinssent participants de la sève à la place des branches naturelles qui en ont été privées. «Mais», dit-il encore, «garde-toi de t’élever par présomption, contre les branches naturelles car, si tu penses t’élever au-dessus d’elles, considère que ce n’est pas toi qui portes la racine, n mais que c’est la racine qui te porte». Et parce que quelques-uns d’entre les Juifs arrivent au salut, il ajoute: «Autrement, tu seras toi-même retranché comme eux: pour eux, s’ils ne demeurent pas dans leur infidélité, ils seront greffés sur la tige, car Dieu est tout-puissant pour les y enter de nouveau» (Romains 11,18-23).

    A ceux, au contraire, qui persévèrent dans le mal, s’adresse cette sentence prononcée par l’Eternel: «Les enfants de ce royaume seront jetés dans les ténèbres extérieures ; là sera le pleur et le grincement de dents». Mais aux nations qui persévèrent dans le bien, s’applique ce qui est dit auparavant: «Plusieurs viendront d’orient et d’occident, et prendront place dans le royaume des cieux avec Abraham, Isaac et Jacob (Matthieu 8,11-12)».

    Ainsi, par une juste sévérité de la part de Dieu, l’orgueilleuse infidélité des branches naturelles leur a-t-elle mérité d’être séparés de leur racine, c’est-à-dire des patriarches, tandis que la grâce divine a greffé l’olivier sauvage sur cette racine en récompense de son humble fidélité.

    Quand on cite aux Juifs ces passages, ils méprisent à la fois l’Evangile et l’Apôtre : ce que nous leur disons, ils ne l’entendent pas, parce qu’ils ne comprennent point ce qu’ils lisent ; car, évidemment, s’ils savaient de qui le Prophète a voulu parler en ce passage: «Je l’ai établi pour être la lumière des nations et le salut que j’envoie jusqu’aux extrémités de la terre (Isaie 62,6)»

    ils ne seraient ni assez aveugles, ni assez malades pour ne pas reconnaître, dans le Seigneur Jésus, la lumière et le salut.

    Si encore ils comprenaient à quels hommes s’applique ce verset prophétique qu’ils chantent inutilement et sans profit pour eux: «Leur voix a éclaté dans toute la terre, et leurs paroles se font entendre jusqu’aux extrémités du monde (Psaumes 18,5)

    ils s’éveilleraient à la voix des apôtres et verraient que leur parole vient de Dieu.

    Invoquons donc le témoignage des saintes Ecritures, car elles jouissent, aussi chez eux, d’une grande autorité, et si nous ne pouvons les guérir de leur infidélité en leur offrant ce moyen de salut, nous les convaincrons du moins d’erreur par l’évidence de la vérité.

    A quoi vous sert la lecture de la Loi et des Prophètes, puisque vous ne voulez point en observer les préceptes ?

    Voilà ce qu’ils nous disent, parce que nous ne pratiquons pas la circoncision du prépuce sur les enfants mâles ; parce que nous mangeons des viandes déclarées immondes par la Loi ; parce que nous n’observons point, d’une manière charnelle, leurs sabbats, leurs néoménies, et leurs jours de fête s; parce que nous n’immolons à Dieu aucune victime tirée de nos troupeaux, et que nous ne célébrons point la Pâque avec un agneau et des pains azymes ; parce qu’enfin nous négligeons d’autres anciens rites, que l’Apôtre désigne sous le nom générique d’ombres des choses futures

     

    Résultat de recherche d'images pour "saint augustine of hippo"

     

    Ceux d’entre les enfants de Jacob ou d’Israël qui ont écouté la voix qui les appelait, sont donc adhérents à la pierre angulaire, et marchent dans la lumière du Seigneur; mais ceux qui édifient des ruines et rejettent la pierre angulaire, sont ceux dont le Prophète a prédit l’abandon.

    Saint Augustin, Contre les juifs, Œuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome 14, p. 23-32. Traduction de l’abbé Aubert. *

    la lecture du chapitre 53 du livre d’Isaïe est généralement purement et simplement évitée par les rabbins orthodoxes depuis le XVIIe siècle, parce que ce passage évoque si nettement la façon dont le Messie sera mis à mort par les traîtres et les apostats d’Israël. (Remarquons que ce passage d’Isaïe 53 évoque le Bras de Yahweh) :

    Qui a cru ce que nous avons entendu, et à qui le bras de Yahweh a-t-il été révélé? Il s’est élevé devant lui comme un frêle arbrisseau; comme un rejeton gui sort d’une terre desséchée; il n’avait ni forme ni beauté pour attirer nos regards, ni apparence pour exciter notre amour. Il était méprisé et abandonné des hommes, homme de douleurs et familier de la souffrance, comme un objet devant lequel on se voile la face; en butte au mépris, nous n’en faisions aucun cas. Vraiment c’était nos maladies qu’il portait, et nos douleurs dont il s’était chargé; et nous, nous le regardions comme un puni, frappé de Dieu et humilié. Mais lui, il a été transpercé à cause de nos péchés, broyé à cause de nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix a été sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, chacun de nous suivait sa propre voie; et Yahweh a fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous. On le maltraite, et lui se soumet et n’ouvre pas la bouche, semblable à l’agneau qu’on mène à la tuerie, et à la brebis muette devant ceux qui la tondent; il n’ouvre point la bouche. Il a été enlevé par l’oppression et le jugement, et, parmi ses contemporains, qui a pensé qu’il était retranché de la terre des vivants, que la plaie le frappait à cause des péchés de mon peuple? On lui a donné son sépulcre avec les méchants, et dans sa mort il est avec le riche, alors qu’il n’a pas commis d’injustice, et qu’il n’y a pas de fraude dans sa bouche. Il a plu à Yahweh de le briser par la souffrance; mais quand son âme aura offert le sacrifice expiatoire, il verra une postérité, il prolongera ses jours, et le dessein de Yahweh prospérera dans ses mains. A cause des souffrances de son âme, il verra et se rassasiera. Par sa connaissance le juste, mon Serviteur, justifiera beaucoup d’hommes, et lui-même se chargera de leurs iniquités. C’est pourquoi je lui donnerai sa part parmi les grands; il partagera le butin avec les forts. Parce qu’il a livré son âme à la mort et qu’il a été compté parmi les malfaiteurs; et lui-même a porté la faute de beaucoup, et il intercédera pour les pécheurs.

    C’est le fameux talmudiste médiéval Rachi, qui fut l’un des premiers à avoir enseigné qu’Isaïe 53 ne désignait pas le Messie en tant qu’homme, mais en tant que peuple d’Israël, une idée puisée au moyen de la casuistique de la kabbale et qui illustre le mysticisme (pour ne pas dire l’illuminisme) d’où émane originellement l’idée sioniste. *

    Or, Notre Seigneur Jésus-Christ a caractérisé le parti pharisien apostat selon les mots du même prophète dans Isaïe 8 ; 13-15 :

    C’est l’Eternel des armées que vous devez sanctifier, c’est lui que vous devez craindre et redouter. Et il sera un sanctuaire, mais aussi une pierre d’achoppement, un rocher de scandale pour les deux maisons d’Israël, un filet et un piège pour les habitants de Jérusalem. Plusieurs trébucheront; Ils tomberont et se briseront, Ils seront enlacés et pris.

     Ainsi parle le Seigneur Dieu, confondant publiquement les pharisiens infidèles, dans Matthieu 21;42-46 :

    Jésus leur dit: N’avez-vous jamais lu dans les Ecritures: La pierre qu’ont rejetée ceux qui bâtissaient est devenue la principale de l’angle ; C’est du Seigneur que cela est venu, et c’est un prodige à nos yeux? C’est pourquoi, je vous le dis, le royaume de Dieu vous sera enlevé, et sera donné à une nation qui en rendra les fruits. Celui qui tombera sur cette pierre s’y brisera, et celui sur qui elle tombera sera écrasé. Après avoir entendu Ses paraboles, les principaux sacrificateurs et les pharisiens comprirent que c’était d’eux que Jésus parlait, et ils cherchaient à se saisir de Lui; mais ils craignaient la foule, parce qu’elle Le tenait pour un prophète.

    C’est ainsi que prophétisait aussi le saint Siméon, témoin remarquable dans l’Evangile des restants de la vraie orthodoxie mosaïque, s’adressant à la Sainte Famille en Luc 2 ; 34 :

    Siméon les bénit, et dit à Marie, sa mère: Voici, cet enfant est destiné à amener la chute et le relèvement de plusieurs en Israël, et à devenir un signe en butte à la contradiction, et à toi-même une épée te transpercera l’âme, afin que les pensées de beaucoup de cœurs soient dévoilées.

    Ainsi parle encore l’Apôtre dans Romains 9 ; 32-33 :

     

    Pourquoi? Parce qu’Israël l’a cherchée, non par la foi, mais comme provenant des œuvres. Ils se sont heurtés contre la pierre d’achoppement, selon qu’il est écrit: Voici, je mets en Sion une pierre d’achoppement et un rocher de scandale, et celui qui croit en Lui ne sera point confus.

     


    votre commentaire
  • Le bâtiment a été totalement reconstruit des siècles plus tard par Hérode le Grand. 

    Temple Hérode

     

    Les travaux ont commencé dans les années 20 avant notre ère et n’ont été totalement terminés qu’en 64 ap. J.-C., soit à peine quelques années avant sa destruction, en 70. 

    Le Temple dont parlent les Évangiles de Matthieu (chapitre 24 &, Luc), était un édifice imposant. 

    Il mesure mille cinq cents mètres de périphérie et occupe une quinzaine d’hectares. 

    Il est construit avec des blocs de pierre de plusieurs tonnes.

    Pourtant il à était détruit entièrement (prophétie annoncée par JESUS)

    Matthew 24

    1 - Comme Jésus s'en allait, au sortir du temple (ܗܰܝܟ݁ܠܳ haykélā) ses disciples s'approchèrent pour lui en faire remarquer les constructions

    2 Mais il (JESUS) leur dit: Voyez-vous tout cela? Je vous le dis en vérité, il ne restera pas ici pierre sur pierre qui ne soit renversée

    the one who destroyed the Temple and burned up the Sanctuary

    The destruction of the Jewish Temple by the Romans in 70 A.D. was recorded by the first century historian Josephus, who witnessed the events first hand.

    Josephus writes in his history entitled the 'Jewish War': "In the morning Titus commanded that the fires should be put out and that a road should be built to the gates to allow entry for his troops. His generals then came together to discuss what should be done with the temple. Some wanted to destroy it, because it would give the Jews a reason for uprising. Others argued that if the Jews would clear out of the temple it should be allowed to stand, but if they were to use it as a fortress, it should be destroyed. Titus then gave the command that no matter what happened, the temple should be spared, because it would always be a great tribute to the empire. Three of his chief generals agreed, and the meeting was disbanded.

    . . . Titus then went into Antonia, intending the next morning to attack and overwhelm the temple with his entire force. But on that day, the tenth of Lous [August 30, 70 A.D.], the same day on which Solomons temple had been destroyed by the king of Babylon, the structure was doomed. The rebels again attacked the Romans after Titus retreated, and a battle took place between the temple guards and the Roman troops who were trying to put out the flames in the inner court. The Romans scattered the Jews and pursued them into the sanctuary. At the same time, a soldier recklessly grabbed a torch. He hurled the fire-stick through the doors made of gold, on the north side, which allowed entry to the chambers around the sanctuary. On seeing the flames, a cry went up from the Jews, and caring nothing for their lives, they rushed forward to put out the fire. A messenger rushed to the tent of Titus to inform him of the fire. Immediately, Titus ran to the temple to put out the flames. But because of the battle that raged on, the soldiers either could not or would not hear his commands. The wrath of his troops could not be stopped, and at the doorway many soldiers were trampled by their own forces. There among the burning ruins they fell, sharing the same fate as their enemies.

    Pretending not to hear the commands of their general, and filled with hatred, the soldiers rushed on, hurling their torches into the temple.

    The helpless rebels made no attempt at defense. Fleeing for their lives, with bloodshed all around, many civilians were caught in the battle. Even the steps of the altar were stained with the blood of the dead.

    When Caesar could not hold back his troops, he and his generals entered the temple and viewed for the last time the Most Holy Place.

    Since the fire had not yet reached the inside, but was still feeding the outside chambers, Titus made one last effort to save the structure.

    Ordering a centurion to club anyone if they disobeyed his commands, he rushed forward and pleaded with his soldiers to put out the flames.

    But because of their hatred of the Jews and their desire for riches, the soldiers disregarded the orders of their general.

    Seeing that all the surroundings were made of gold, they assumed that there would be great treasures inside.

    Titus then ran out to hold back his troops, but one of those who had entered with him thrust a torch into the hinges of the temple gate, and a mighty fire shot up inside.

    Caesar and his generals fled for safety, and thus, against his wishes, the sanctuary was burned. . . . The city and the temple was then leveled to the ground by the command of Caesar.

    Only the highest towers and part of the western wall remained to show all mankind how the Romans overpowered such a strong fortress.

    Thus by the command of Caesar the following prophecy of Jesus came true:

    "O Jerusalem, Jerusalem, the one who kills the prophets and stones those who are sent to her! How often I wanted to gather your children together, as a hen gathers her chicks under her wings, but you were not willing! "See! Your house is left to you desolate; "for I say to you, you shall see Me no more till you say, 'Blessed is He who comes in the name of the LORD !'

    Then Jesus went out and departed from the temple, and His disciples came up to show Him the buildings of the temple.

    And Jesus said to them, "Do you not see all these things? Assuredly, I say to you, not one stone shall be left here upon another, that shall not be thrown down." Matthew 23:37-24:2

     


    votre commentaire
  • conclusion 1 

    le coran n'a rien de neuf à annoncer

    des fables talmudiques, des légendes, des histoires 

    conclusion 2

    mieux vaut mille fois la bible (le texte seul)

     

     


    votre commentaire
  •  PDF 

    le coran démasqué

    PDF

    l'origine TALMUDIQUE DU CORAN

     

     

     


    votre commentaire
  • 1) Muhammad est mort empoisonné 

    La façon dont est mort Mohammed est extrêmement bien sourcée dans les hadiths.

    Tout musulman minimalement instruit sait que Mohammed est mort des suites d’une maladie.

    Et pas de n’importe quelle maladie.En effet, selon le consensus général des hadiths, c’est Mohammed lui-même qui a témoigné avec précision de l’origine exacte de la maladie qui causa sa mort.

    Raconté par Aicha : Le prophète disait à propos de cet aliment qui causa sa mort : « O Aicha ! Je sens encore la douleur causée par la nourriture que j’ai mangée à Khaibar, et à ce moment même, il me semble comme si mon aorte eut été tranchée à cause de ce poison. – Sahih Boukhari, volume 5, livre 59, n°713

    Narrated `Aisha: The Prophet (ﷺ) in his ailment in which he died, used to say, "O `Aisha! I still feel the pain caused by the food I ate at Khaibar, and at this time, I feel as if my aorta is being cut from that poison."

    وَقَالَ يُونُسُ عَنِ الزُّهْرِيِّ، قَالَ عُرْوَةُ قَالَتْ عَائِشَةُ ـ رضى الله عنها ـ كَانَ النَّبِيُّ صلى الله عليه وسلم يَقُولُ فِي مَرَضِهِ الَّذِي مَاتَ فِيهِ ‏

    "‏ يَا عَائِشَةُ مَا أَزَالُ أَجِدُ أَلَمَ الطَّعَامِ الَّذِي أَكَلْتُ بِخَيْبَرَ، فَهَذَا أَوَانُ وَجَدْتُ انْقِطَاعَ أَبْهَرِي مِنْ ذَلِكَ السَّمِّ ‏"

    Tout ceci devrait stupéfaire tout musulman honnête

    Comment se peut-il que le prophète de l’islam meure exactement du genre de mort qui, selon la Sourate 69, devait frapper Mohammed si celui-ci « avait inventé des paroles qu’il avait attribuées » à Dieu ?

    Avant de continuer, il faut préciser le contexte général : L’empoisonnement auquel fait référence Mohammed dans ce hadith, a eu lieu au cours d’un repas de noce à Khaybar, en Arabie.

    En effet, à la suite d’une bataille dans cette ville, contre la tribu des Banu Nadir, les troupes de Mohammed ont vaincu et soumis la population locale. À cette occasion, Mohammed et ses hommes capturent un grand nombre d’individus, en particulier de belles jeunes femmes qu’ils réduisent en esclavage sexuel.

    L’une d’entre elles s’appelle Safiya Bint Huyay. Parce qu’elle est très belle et qu’elle appartient à une famille importante, Mohammed s’eprend d’elle. Après avoir tué son mari, Mohammed capture donc Safiya et la prend pour femme.

    Parmi les autres femmes captives se trouve également Zaynab Bint Hurith, originaire de Khaybar elle aussi, et dont toute la famille vient d’être tuée par les troupes de Mohammed.

    Le repas dont il est question ici est donc le repas de noces que Mohammed et les siens donnent à l’occasion de ce mariage pour le moins forcé.

    Mohammed empoisonné lors d’un repas à Khaybar

    Nous avons vu que Mohammed lui-même témoigne que la maladie qui le tua fut causée par l’ingurgitation d’un poison au cours de ce repas de noces et que l’absorbtion de ce plat empoisonné, toujours selon ses propres mots, provoqua en lui un tel sentiment que ce fut « comme si mon aorte eut été tranchée ».

    Ce ne fut pas là qu’une simple impression, ni une figure de style employée par Mohammed.

    Dans de nombreux autres hadiths, Mohammed est formel : c’est bien l’ingurgitation de ce plat qui causa directement la rupture de son aorte.

    Oum Bishr dit au prophète durant la maladie de laquelle il mourut : Que penses-tu de ta maladie, apôtre d’Allah ? Je ne pense jamais à la maladie de mon fils, sinon pour me souvenir du mouton empoisonné qu’il mangea avec toi à Khaybar. Le prophète répondit : Et je ne pense pas à ma maladie, sinon à cause de cet événement. Ce fut à cette occasion que mon aorte fut coupée. – Sunan Abou Dawoud, n°4449

    Mohammed lui-même confirme donc une nouvelle fois que la cause de sa mort fût que son aorte fût littéralement coupée à la suite de cet empoisonnement. Il ne parlait donc pas en utilisant une figure de style.

    On peut même être extrêmement surpris de voir Mohammed insister à ce point sur la rupture de son aôrte.

    En effet, ni lui, ni les gens de son entourage, ne devaient ignorer que la sourate 69 annonçait précisément que les faux prophètes devaient mourir de cette maladie en particulier.

    Rappellons encore une fois que les versets de Coran 69 ; 38-47 sont extrêmement précis en ce qui concerne la façon dont Mohammed serait tué s’il « inventait des paroles qu’il aurait attribuées à Dieu ».

    On lit effectivement dans ces versets : « nous l’aurions saisi de la main droite, ensuite, Nous lui aurions tranché l’aorte ».

    Ce détail, « nous l’aurions saisi de la main droite » a une grande importance dans la mesure où Mohammed, selon son propre témoignage, a eu l’aorte tranchée en mangeant un plat empoisonné. Ou du moins, c’est en mangeant ce plat empoisonné qu’il a contracté une maladie qui causa ensuite une rupture de l’aorte.

    Or, il faut savoir que Mohammed enseignait qu’il n’était pas bon de manger de la main gauche, sous prétexte que c’était la façon de manger du diable. (quelle fable !) 

    D’après ‘Abdallah Ibn ‘Omar (qu’Allah les agrée), le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Qu’aucun d’entre vous ne mange ni ne boive avec sa main gauche car certes Chaytan (satan) mange et boit avec sa main gauche. – Sahih Muslim, n°2020  sunnah 2020 a

    Ibn 'Umar reported Allah's Messenger (ﷺ) as saying: When any one of you intends to eat (meal), he should eat with his right hand. and when he (intends) to drink he should drink with his right hand, for the Satan eats with his left hand and drinks with his left hand.

    Ibn 'Umar reported Allah's Messenger (ﷺ) as saying: When any one of you intends to eat (meal), he should eat with his right hand. and when he (intends) to drink he should drink with his right hand, for the Satan eats with his left hand and drinks with his left hand.

    On peut donc avoir la certitude que Mohammed mangeait avec la main droite lorsqu’il se tenait au repas de Khaybar.

    Un grand nombre d’autres hadiths authentiques confirment que Mohammed considérait que sa mort fut causée par le poison ingéré à Khaybar et que ce poison lui causa une rupture de l’aorte.

    Dans le hadith d’Ibn Sa’d, on découvre comment Bishr Ibn Al Bara (le fils d’Oum Bishr dont il a été question plus haut dans la Sunnan Abou Dawoud) mourrut à l’occasion de ce repas.

    Ayant pleine confiance dans les supposées vertus surnaturelles de Mohammed, Bishr Ibn Al Bara n’avait pas hésité à manger du plat en question.

    Ce n’est que parce qu’il vit Mohammed manger de ce plat qu’il se figurât qu’il n’y avait aucun risque.

    On lit son témoignage chez Ibn Sa’d : L’apôtre d’Allah prit la cuisse, qu’il porta dans sa bouche. Bishr Ibn al Bara pris une autre partie et la mit dans sa bouche. Au moment où le prophète d’Allah mangea un morceau, Bishr mangea le sien et les autres personnes en prirent aussi. C’est à ce moment que l’apôtre d’Allah dit : Retirez vos mains! Car j’ai senti dans cette cuisse que (la nourriture) est empoisonnée. Sur ceci, Bishr dit : Par celui qui t’a fait grand ! Je l’avais senti par le morceau que j’ai pris. Rien ne m’empêchait de le recracher, sauf l’idée de croire que je n’eus pas aimé la saveur de ta nourriture. Lorsque tu mangeas ce qui était dans ta bouche, je n’aimais pas le fait de sauver ma vie après la tienne et je pensais d’ailleurs que tu n’en aurais pas mangé, s’il y avait eu quelque problème. Bishr ne se leva pas de son siège, mais la couleur (de son visage) changea à la manière de celle d’un taylsan (un vêtement vert). – Hadith Ibn Sa’d, volume 2, p. 253

    Voir aussi Tabari, page 124, qui confirme encore la même tradition.

    Maintenant, voyons qui est responsable de l’empoisonnement de Mohammed.

    Qui a empoisonné le plat de Mohammed et pour quelle raison ?

    Les hadiths nous rapportent clairement et de façon concordante que la personne qui a empoisonné le plat de Mohammed fut une jeune femme du nom de Zaynab Bint Hurith.

    Comme nous l’avons mentionné précédemment, Zaynab, tout comme Safiya, est une jeune femme juive originaire de Khaybar.

    Après l’attaque de la ville par les troupes de Mohammed, les deux jeunes femmes n’ont plus de famille : tous leurs parents, en particulier les hommes, ont été tués ou réduits à l’esclavage. Zaynab a donc été capturée comme esclave.

    Peut-être à cause d’un excès de confiance ou d’un sentiment de toute-puissance, Mohamed et ses lieutenants ne semblent pas s’imaginer que cette jeune femme, Zaynab, qui vient de voir toute sa famille se faire massacrer quelques heures auparavant, puisse entretenir quelque compréhensible ressentiment à l’égard de ses bourreaux.

    C’est donc sans se méfier qu’ils acceptent la nourriture qu’elle vient leur apporter. Toutefois, comme nous allons le voir, le mobile de Zaynab n’est pas seulement motivé par un pur désir de vengeance.

    De façon presque providentielle, elle cherche également à montrer à tous que Mohammed est un faux prophète et qu’il n’est rien d’autre que le chef d’une bande de pillards.

    Tel est son témoignage dans la Sunan d’Abou Dawoud : À Khaybar une juive [Zaynab Bint Hurith] présenta à Muhammed un mouton rôti qu’elle avait empoisonné. L’apôtre de Dieu mangea, ainsi que les autres personnes. Puis il dit : retirez vos mains, car j’ai senti que cette nourriture est empoisonnée. Bishr bin al Bara bin Ma’rur al Ansari mourut (immédiatement). Ainsi, le prophète envoya chercher la juive et lui dit : « Qu’est ce qui t’a incité à faire cela ? Elle répondit : « Si tu étais un prophète, cela ne te ferait aucun mal ; mais si tu n’étais qu’un roi, je débarrasserais ainsi le peuple de toi. » L’apôtre d’Allah donna alors des ordres la concernant et elle fut tuée. Il parlait (par la suite) de la douleur de laquelle il mourut de la façon suivante  : J’ai continué de sentir la douleur de ce morceau de viande que j’ai mangé à Khaybar. C’est de là que vint que mon aôrte fut coupée. – Sunan Abou Dawoud, n°4498

    Narrated AbuHurayrah: A man was killed in the lifetime of the Prophet (ﷺ). The matter was brought to the Prophet (ﷺ). He entrusted him to the legal guardian of the slain. The slayer said: Messenger of Allah, I swear by Allah, I did not intend to kill him. The Messenger of Allah (ﷺ) said to the legal guardian: Now if he is true and you kill him, you will enter Hell-fire. So he let him go. His hands were tied with a strap. He came out pulling his strap. Hence he was called Dhu an-Nis'ah (possessor of strap).

    Nous lisons donc ici un remarquable témoignage de l’acte de Zaynab, mais aussi une nouvelle confirmation de l’origine de la maladie qui causa la mort de Mohammed.

    L’acte de Zaynab révèle providentiellement l’imposture de Mohammed

    Ainsi donc, de manière providentielle et tout à fait extraordinaire, l’acte de Zaynab a révélé aux yeux de tous, du moins à ceux qui avaient des yeux pour voir, que Mohammed était un faux prophète.

    Enivré peut-être par ses victoires, il n’a pas été capable de comprendre que le plat était empoisonné.

    De même, lui qui était coutumier des révélations soudaines et opportunes, Mohammed n’a reçu ici aucune révélation divine qui aurait pu l’avertir de la menace.

    Cet épisode de la vie de Mohammed est copieusement attesté dans les traditions les plus antiques et les plus authentiques de l’islam :

    Le Messager d’Allah fit amener Zaynab Bint Al Harith (celle qui l’empoisonna) et lui dit : « Qu’est ce qui t’a incité à faire ce que tu as fait? » Elle répondit : « Tu as fait à mon peuple ce que tu as fait. Tu as tué mon père, mon oncle et mon mari, et donc je me suis dit en moi-même ‘Si tu es un prophète, tu l’aurais su (l’empoisonnement)’ et d’autres rapportèrent : ‘Si tu n’es qu’un roi, nous nous débarrasserons de toi. – Ibn Sa’d, page 252

    «L’Apôtre d’Allah fit venir Zainab Bint al-Harith et lui dit: Qu’est-ce qui t’a conduit à faire ce que tu as fait? Elle répondit: Tu as fait à mon peuple ce que tu as fait. Tu as tué mon père, mon oncle et mon mari, alors je me suis dit: Si tu es un prophète, le morceau de viande va t’informer; et d’autres ont dit: Si tu es un roi, nous nous débarrasserons de toi.» ( Ibn Sa’d p. 252)

    Il est donc vraiment stupéfiant de voir que le Coran 69 ; 38-47 décrive avec une pareille précision la façon exacte dont est mort Mohammed.

    Mohammed piégé par le Coran

    En effet, nous voyons ici une annulation mutuelle des prétentions du Coran à être une révélation divine, ainsi qu’une annulation des prétentions prophétiques de Mohammed.

    si le Coran est la révélation divine et si Mohammed est le prophète de Dieu, comment se fait-il qu’il soit mort exactement de la façon dont meurent les faux prophètes selon le même Coran ?

    Or, si Mohammed est un faux prophète, il faut donc nécessairement conclure que le Coran lui-même est une fausse révélation.

    Dans de précédentes études, nous avons clairement pu vérifier que, toujours selon les mêmes sources islamiques, antiques et orthodoxes, Mohammed était loin d’être un mystique fiable :

    Mohammed fut trompé par de fausses révélations apportées par un démon déguisé sous l’apparence de « l’ange Gabriel ». 

    C’est le cas notoire du contexte de la révélation des « versets sataniques » de la Sourate 53 que nous allons examiner plus loin.

    À d’autres occasions, Mohammed reçut des révélations soudaines qui lui permettaient opportunément de justifier ou de débloquer une situation à l’instant T.

    C’est un peu ce qu’on observe dans l’étrange histoire du divorce de Zaynab et Zayd dans la Sourate 33 ou encore dans le contexte de la révélation des versets sur le voile islamique, dans la même sourate.

    2) Les Versets Sataniques

    Le cas des fameux versets sataniques, à savoir les versets 19 à 23 de la sourate 53, apportent la preuve définitive, à la fois contre le Coran, ainsi que contre Mohammed.

    Dans ces versets, on lit la chose suivante : Que vous en semble [des divinités], Lât et Uuzzâ ainsi que Manât, cette troisième autre ? Sera-ce à vous le garçon et à Lui la fille ? Que voilà donc un partage injuste ! Ce ne sont que des noms que vous avez inventés, vous et vos ancêtres. Allah n’a fait descendre aucune preuve à leur sujet. Ils ne suivent que la conjecture et les passions de leurs âmes, alors que la guidée leur est venue de leur Seigneur. – Coran 53 ; 19-2

    Lus ainsi, on pourrait croire que ces versets sont une condamnation ferme des divinités païennes bien connues dans l’Arabie du temps de Mohammed.

    En réalité, on consultant les sources les plus authentiques de la Tradition islamique, on apprend que ces versets ne sont pas les versets originaux du Coran. Ils sont venus en remplacer d’autres, à savoir les fameux versets sataniques.

    Tout ceci est confirmé par une chaîne de transmission tout à fait authentique, puisqu’elle remonte à Ibn Abbas, qui était l’un des plus proches fidèles de Mohammed : Ibn Abbas a dit : Un diable nommé « le blanc » (Al Abiyad) vint auprès du messager d’Allah (Mohammed) sous l’apparence de Gabriel et il plaça dans sa récitation (c’est-à-dire sa récitation du Coran) : « En effet, ces idoles sont d’illustres divinités, dont l’intercession doit être espérée » et le prophète les récita. – Al-Qurtubi, Shams al-Din, al-Jami‘ li-Ahkam al-Qur’an, Le Caire, Dar al-Kutab al-Misriyya, 1964, Volume 12, p.84

    Ainsi donc, selon Ibn Abbas, en au moins une occasion, Mohammed fut trompé par un démon qui lui affirma qu’il était bon de prier et d’espérer en l’intercession de divinités païennes.

    (in his recitation (of the revelation).) "When he spoke, the Shaytan threw (some falsehood) into his speech, but Allah abolished that which the Shaytan threw in.''

    ثُمَّ يُحْكِمُ اللَّهُ ءَايَـتِ

     

    L’authenticité de cet évènement de fait aucun doute, puisqu’il est rapporté par les plus grands biographes de Mohammed, à savoir Ibn Hisham, Ibn Ishaq, Ibn Sa’d, Al-Waqidi, Al-Tabari. (5 sources fiables)

    Pire encore, après avoir reçu cette révélation, Mohammed la récita et se prosterna, juste après avoir affirmé qu’on pouvait espérer dans l’intercession de ces idoles païennes :

    Satan lui fit répéter ces deux phrases : « ces idoles sont d’illustres divinités, dont l’intercession doit être espérée ».

    L’apôtre d’Allah les répéta, puis il récita la sourate complète et se prosterna, et les gens qui étaient là se prosternèrent avec lui. – Ibn Sa’d’s « Kitab al Tabaqat al Kabir » (Book of the Major Classes), Volume 1, parts 1 and 2, pp. 236 – 239, translated by S. Moinul Haq, published by the Pakistan Historical Society

    Il faut savoir qu’à cette occasion, se prostèrent aussi bien des partisans de Mohammed que des païens qui étaient présents et qui se rejouirent d’ailleurs de la proposition syncrétiste que Mohammed venait de leur faire, par les paroles et par les actes.

    https://quranx.com/Tafsir/Kathir/22.52

    Cependant, une fois rentré chez lui, Mohammed reçut la visite de « l’ange Gabriel ».

    On lit ainsi, toujours chez Ibn Sa’d : Il était assis dans sa maison et, au soir, Gabriel vint à lui et révisa la sourate.

    C’est alors que Gabriel lui dit : « Ai-je apporté ces deux versets ? »

    L’apôtre d’Allah dit : « J’ai attribué à Allah, ce qu’il n’a pas dit ». C’est alors qu’Allah lui révéla les versets suivants (Sourate 17, versets 73 à 75) :  Ils ont failli te détourner de ce que Nous t’avions révélé, [dans l’espoir] qu’à la place de ceci, tu inventes quelque chose d’autre et (l’imputes) à Nous. Et alors, ils t’auraient pris pour ami intime. Et si Nous ne t’avions pas raffermi, tu aurais bien failli t’incliner quelque peu vers eux. Alors, Nous t’aurions certes fait goûter le double [supplice] de la vie et le double [supplice] de la mort; et ensuite tu n’aurais pas trouvé de secoureur contre Nous. – Ibid

     

    TEACHING: The Prophet Possessed by A Jinn "Al Abyad" (The White One) -  YouTube

     

    Le démon al'-malik al'abyad « le roi blanc » associé au lundi, à la Lune, et à l'argent.

    قال ابن عباس رضي الله عنهما في رواية عطاء إن شيطانا يقال له الأبيض أتاه على صورة جبريل عليه السلام وألقى عليه هذه الكلمة فقرأها فلما سمع المشركون ذلك أعجبهم فجاء جبريل عليه السلام فاستعرضه فقرأها فلما بلغ إلى تلك الكلمة قال جبريل عليه السلام أنا ما جئتك بهذه قال رسول الله صلى الله عليه وسلم إنه أتاني آت على صورتك فألقاها على لساني

     

    It is reported from ‘Ata’ that Ibn ‘Abbas said: A devil called al-Abyad came to the Prophet (ﷺ) in the form of Jibril (Gabriel) and cast these words (i.e. the Satanic verses) upon him, and the Prophet recited them.

    When the pagans heard that it pleased them. Thereupon,

    Jibril came and asked him to rehears the revelation to him.

    When he reached those words Jibril said: I did not bring you these words.

    Someone came to me in your form and cast these words on my tongue.

    Mehmed ibn Emir Hasan al-Su’ûdî, Matâli’ al-su‘âda wa yanâbi‘ al-siyâda, Istanbul (Turquie), 1582. Bn

    Lorsqu’on lit ces versets tout en ayant connaissance de tout ce qui s’est passé auparavant, il me semble qu’on peut affirmer avec certitude que le prétendu ange Gabriel et le démon Al-Abiyad ne sont qu’une seule et même entité démoniaque. (un djinn)  

    https://sunnah.com/bukhari:4862

    Narrated Ibn `Abbas : The Prophet (ﷺ) performed a prostration when he finished reciting Surat-an-Najm, and all the Muslims and pagans and Jinns and human beings prostrated along with him.

    Chez Boukhari, par exemple, on lit le rapport suivant : Rapporté par Ibn Abbas : Le Prophète se prosterna après avoir fini de réciter la sourate An-Najm (Sourate 53) et tous les musulmans et les Mushrikun (polythéistes, païens, idolâtres et mécréants) ainsi que les djinns (des démons ! )  et les êtres humains se prosternèrent avec lui. – Sahih Boukhari, n°4862

    liens : 

    Translation of Sahih Bukhari
    Translation of Sahih Muslim
    Translation of Malik's Muwatta
    Partial Translation of Sunan Abu Dawood Under Construction for completion!
    Translation of Hadith Qudsi
    Translation of Al Nawawi's Forty Hadith

     

    Je m’étonne que si vite vous vous laissiez détourner de celui qui vous a appelés en la grâce de Jésus-Christ, pour passer à un autre Evangile : non pas qu’il y ait un autre Evangile ; mais il y a des gens qui vous troublent et qui veulent changer l’Evangile du Christ. Mais si nous-mêmes, si un ange venu du ciel vous annoncerait un autre Evangile que celui que nous vous avons annoncé, qu’il soit anathème  ! – Galates 1 ; 8

    Mohammed fut la victime d’un démon qui se présenta à lui comme étant l’ange Gabriel. 

    Si Mohammed avait eu l’occasion de lire la Sainte Bible en son temps, il aurait médité sur les fameuses paroles de Saint Paul dans 2 Corinthiens 11.

    Cela lui aurait peut-être évité de devenir un ministre de l’erreur : Ces gens-là sont de faux apôtres, des ouvriers astucieux, qui se déguisent en apôtres du Christ. Et ne vous en étonnez pas; car Satan lui-même se déguise en ange de lumière. Il n’est donc pas étrange que ses ministres aussi se déguisent en ministres de justice. Leur fin sera selon leurs œuvres. – 2 Corinthiens 11 ; 13-15

    Le grand érudit shiite médiéval Ibn Al Nadim, dans son Kitab Al Fihrust mentionne un livre (il s’agit en l’occurrence du livre kabbalistique pseudobiblique dit « Testament de Salomon », daté du 1e siècle de notre ère) dans lequel apparaissent 70 jinns, dont « sept rois jinns » qui sont chacun attachés à un jour de la semaine.

    *Or, le démon « Al Abiyad », celui qui aurait trompé Mohammed, est le jinn associé au lundi.*

    L’érudit soufi Mohammed Al Tabasi, par exemple, a rédigé au 11e siècle un traité sur les méthodes pour contrôler ces démons au moyen d’incantations, de charmes, de combinaisons de lettres et de formules, en vue d’obtenir des pouvoirs surnaturels.

    Comme nous l’avons dit, il apparaît, selon la démonologie islamique, que le démon « Al Abiyad » est constamment associé avec le lundi.

    Or, selon le très éminent savant sunnite contemporain Ar-Raheeq Al-Makhtum, dans sa célèbre biographie de Mohammed, c’est précisément un lundi que Mohammed reçut la première révélation coranique de « l’ange Gabriel ». 

    Au mois de Ramadan, au cours de sa troisième année de solitude dans la grotte de Hira, la volonté d’Allah a désiré que sa miséricorde abonde sur terre et Mohammed fut honoré en tant que prophète, et c’est ainsi que la lumière de la révélation éclata sur lui par quelques verses du noble Coran.

    En ce qui concerne la date exacte de cet événement, un examen attentif des circonstances et des indices pertinents indique le lundi, 21e jour du mois de Ramadan, pendant la nuit, c’est-à-dire le 10 aout de l’année 610, c’est-à-dire au moment où Mohammed était exactement âgé de 40 ans, 6 mois et 12 jours, c’est-à-dire 39 ans, 3 mois et 22 jours selon le calendrier grégorien. – Ar Raheeq Al Makhtum, The Seal of Nectar, p. 68  PDF 

    Pour finir, laissons encore parler Mohammed, puisqu’il a lui-même explicitement admis avoir inventé ou du moins relayé des fausses révélations 

    *J’ai fabriqué des paroles contre Dieu et je lui ai prêté des paroles qu’il n’a pas prononcées. – Al Tabari, Histoire, Volume 6, p.111

     


    votre commentaire
  • Les sources les plus fiables de l'islam affirment qu'Aisha n'avait en effet que 9 ans lorsque son mariage a été consommé avec Muhammad.

    YouTube

    Certains musulmans  menteurs et disent qu'Aisha était vraiment plus âgée que cela lorsque le mariage était consommé pour mettre à l'aise les esprits musulmans modernes

    mais les sources musulmanes la déclarent à plusieurs reprises à l'âge de 9 ans, juste une petite fille.

    Même les érudits musulmans modernes affirment ces faits.

    Muhammed is an Idolater

    Regardez Al Fadi et le Dr David Wood examinent plusieurs sources islamiques qui détaillent les circonstances et le moment du mariage d'Aisha avec Muhammad.

    Muhammed is an Idolater

    https://sunnah.com/nasai:3380

    It was narrated that 'Aishah said: "The Messenger of Allah married me when I was six, and consummated the marriage with me when I was nine."

    Grade:  Hasan (Darussalam)    

     

    Reference  : Sunan an-Nasa'i 3379
    In-book reference  : Book 26, Hadith 184
    English translation  : Vol. 4, Book 26, Hadith 3381

     

     

     

    Mahomet a épousé une enfant de six ans

    Aisha, fille d'Abu-Bakr était une belle petite fille.

    Muhammad l'a épousée quand il avait cinquante-trois ans

    elle n'avait que six ans.

    Il a eu des relations sexuelles avec elle quand elle avait neuf ans.

    Épouses du Prophète, pages 57-61 ) Sunan an-Nasa'i 3378

    It was narrated that 'Aishah said: "The Messenger of Allah married me when I was six, and consummated the marriage with me when I was nine, and I used to play with dolls.

    Il s’agit d’un cas flagrant de maltraitance d’enfants par le prophète de l’Islam.

    Lorsque Mahomet épousa Aïcha, il donna l’exemple aux musulmans.

    Aujourd’hui encore, des hommes musulmans plus âgés épousent des filles beaucoup plus jeunes, suivant l’exemple de Mahomet.

    L'hebdomadaire égyptien Almussawar a publié une lettre envoyée à Ameenah Al-Saaeed, l'une de ses rédactrices, par une femme qui était professeur de langues en Égypte.

    La lettre a été publiée dans le numéro du 6 septembre 1991.

    Voici une partie de cette lettre : Chère mère Ameenah Al-Saaeed : Mon problème est. . . mon mari est rentré à la maison avec un ami qui a à peu près son âge. Il a demandé que notre fille « Marwa », âgée de neuf ans, apporte du thé à son ami. Le soir, il m'a dit avec une grande joie que son ami avait accepté d'épouser « Marwa ». Son ami a cinquante ans, "Marwa" a neuf ans. Lorsque je me suis opposé, il m'a dit qu'il suivait l'exemple du prophète Mahomet lorsqu'il avait engagé Aïcha lorsqu'elle avait six ans et avait eu des relations sexuelles avec elle lorsqu'elle avait neuf ans, comme il est écrit dans Sahih Al-Bukhary.

    Muhammad Sobhi Alantabli, un officier de police de haut rang, a envoyé une lettre au même rédacteur en chef, qui a été publiée dans le magazine Almussawar dans le numéro du 20 décembre 1991.

    Voici une partie de cette lettre : Le chef d'une tribu m'a invité à assister à son mariage. Il avait huit quatre ans et son épouse quatorze ans. "Pourquoi épouses-tu une fille beaucoup plus jeune que toi?" J'ai demandé. "Parce que mes trois autres femmes sont devenues vieilles, et quand la femme vieillira, elle sera comme une voiture rouillée. Je veux dire une voiture couverte de rouille", a-t-il répondu. Le père de la jeune mariée était très heureux de ce mariage.

     

     

     


    votre commentaire
  • https://cirainternational.com/

    À propos de CIRA International

    La mission et l'objectif de CIRA sont les suivants : sensibiliser à l'Islam en tant que religion et mouvement politique ; informer et défier l'Église en matière de sensibilisation et d'évangélisation auprès des musulmans, équiper les croyants d'outils de sensibilisation efficaces et faire progresser le message de l'Évangile parmi nos voisins et communautés musulmans afin que la grande majorité des musulmans entament une conversation évangélique avec un disciple du Christ.

    CIRA existe pour mobiliser le Corps du Christ à travers l'Amérique du Nord et dans le monde, afin d'atteindre plus efficacement les musulmans avec l'Évangile, en formant des disciples et en équipant les croyants, et en donnant aux dirigeants d'églises et de communautés les moyens d'influencer le monde musulman pour le Christ.

     

     

    Действительно ли ислам является мирной религией или чем-то совершенно другим ?

    Является ли Коран книгой ужаса или книгой мира ?

    Как мы можем обратиться к мусульманам в нашей общине с посланием Иисуса Христа ?

    Is Islam really a peaceful religion or something entirely different?

    Is the Quran a book of terror or a book of peace?

    How can we reach Muslims in our community with the message of Jesus Christ?

    Al Fadi, former Wahabbi Muslim from Saudi Arabia and the founder of CIRA International

    L’Islam est-il vraiment une religion pacifique ou quelque chose de complètement différent ?

    Le Coran est-il un livre de terreur ou un livre de paix ?

    Comment pouvons-nous atteindre les musulmans de notre communauté avec le message de Jésus-Christ ?

    https://cirainternational.com/podcast/

    The Center for Islamic Research and Awareness, is on a mission to introduce Muslims to the Gospel of Jesus Christ.

    https://www.youtube.com/c/CIRAInternational

    Did Muhammad Even Exist

    ... the origins of Muhammad

    …what modern and traditional Muslim teachings and beliefs say about Muhammad’s life writings, and travels

    ... where, when, and how traditional beliefs and teachings about Muhammad came into existence, and...*

    ...how new historical insights reveal not everything is as it would seem.

      https://youtu.be/cD178PXa68M

     

     


    votre commentaire
  • Muhammad is trying to make himself equal to Allah by claiming this title.

    Muhammad’s real name was Qutham, ibn, Abd Al-LAT (Qutham - son of the slave and pagan Al-LAT).

    Muslims were embarrassed about these humble origins so fixed and polished their prophet into a new, respectable person with a different name.

    Watch as Al Fadi and Brother Rob reveal the truth about Muhammad from reliable Islamic source

    Le vrai nom de Muhammad était Qutham, Ibn, Abd al-Lat (Qutham fils de l'esclave et païen al-lat).

    Les musulmans ont été gênés par ces humbles origines si fixées et polis leur prophète en une nouvelle personne respectable avec un nom différent.

    Regardez Al Fadi et son frère Rob révéle

    la vérité sur Muhammad à partir de sources islamiques fiables.

    c'est clair une fois pour toute 


    votre commentaire
  • talmud > coran même sources et fables

    le talmud aux juifs talmudistes et kabbalistes

    le coran aux islamistes

    la bible aux Christians 

     

    Dans la Vie d’Adam et Eve, un apocryphe Juif daté entre le 1er et le 3e siècle de notre ère, on lit la chose suivante. Notez bien que l’auteur de ce texte fait ici parler le diable : Lorsque Dieu souffla en toi le souffle de vie et que ton enveloppe et ton apparence fût faite à l’image de Dieu, l’ange Michel te fit venir et nous fit (nous, les anges) t’adorer devant Dieu. – in Life of Adam and Eve, 13 ; 3

    Plus loin, toujours dans le même texte, c’est encore une fois le diable qui s’exprime :

    Et Michel vint et appela tous les anges en disant : « Adorez l’image de Dieu comme le Seigneur Dieu l’a ordonné ». Et Michel lui-même adora en premier, puis il m’appela et dit : « Adore l’image de Dieu ». Et parce que Michel me pressait d’adorer, je lui dis ceci : « Pourquoi me presses-tu ? Je n’adorerais pas un être inférieur et plus jeune que moi. Je suis son aîné dans la Création, j’étais déjà créé avant qu’il ne soit créé. C’est à lui de m’adorer ». – in Life Of Adam and Eve, 14 ; 1-3

    On retrouve également le même récit dans le texte pseudo-biblique connu sous le titre de La Caverne des Trésors, un apocryphe écrit en Syriaque au cours du 6e siècle par un auteur inconnu, mais vraisemblablement d’origine mésopotamienne.

    Ce texte était très répandu en Orient, aussi bien en Ethiopie qu’en Arabie. Il était particulièrement diffusé dans les sectes nestoriennes, ce qui n’est pas surprenant si l’on considère que plusieurs individus issus de ces milieux hérétiques ont clairement eu une influence sur Mohammed et les premiers musulmans.

    On retrouve enfin une autre source du récit coranique dans le pseudo-évangile de Bartholomé, un apocryphe condamné par le pape Gélase Ier dans son Decretum Gelasianum au 5e siècle

    On lit dans le 4e chapitre de ce pseudo-évangile de Bartholomé : Et lorsque je vins depuis les confins de la terre, Michel dit : Adore l’image de Dieu, qu’Il a créé selon Sa ressemblance. Mais je répondis : Je suis feu issu du feu, j’ai été le premier ange à être formé, et je devrais adorer de la boue et de la matière ? – Pseudo-évangile de Bartholomé, 4 ; 54

    On retrouve dans le Coran essentiellement le même discours que dans cet apocryphe, à savoir que Satan affirme être créé à partir du feu et qu’il refuse de se prosterner devant Adam car ce dernier est inférieur et il a été créé à partir de l’argile. On lit par exemple dans le verset 76 de la sourate 38 : «Je suis meilleur que lui, dit [Iblîs,] Tu m’as créé de feu et tu l’as créé d’argile». Coran 38 ; 76

    Nous voyons donc ici qu’il est absolument évident que le récit coranique prend source dans ces récits pseudo-bibliques datés entre le 3e et le 6e siècle de notre ère.

    Dans le Coran, comme dans ces apocryphes, on retrouve le même schéma narratif, à savoir la rébellion du diable motivée par un refus d’adorer ou de se prosterner devant Adam.

    Dans les deux cas, on constate aussi que le diable est donc précipité dans les enfers à cause de ce refus.

    On ne trouve rien de tel dans la Sainte Bible.

    Il faut donc conclure que le Coran prend directement source dans des récits non-révélés.

    Abraham et la fournaise

    L’histoire d’Abraham sauvé de la fournaise est un récit pseudo-biblique dont les origines ne se trouvent nulle part ailleurs que dans le Talmud.

    Or, tandis que cette légende est totalement absente de la Sainte Bible

    on la retrouve à de très nombreuses reprises dans le Coran, ainsi que dans les Hadiths.

    Dans ce récit, Abraham s’oppose à son entourage païen. Après avoir brisé des idoles païennes, Abraham se voit condamné par les idolâtres à être jeté dans une fournaise. Cependant, Abraham est miraculeusement sauvé par la providence divine qui refroidit le feu ardent, ce qui lui permet de survivre aux flammes.

    On retrouve cette légende dans différents livres du Talmud de Babylone, en particulier dans les Pesachim (Pesah 10 ; 7,  II. 14.C), ainsi que dans le midrash talmudique qu’on appelle le Bereshit Rabbah qui est un commentaire talmudique sur le Livre de la Genèse.

    Or, comme nous le savons, les textes du Talmud ne sont évidemment pas d’origine révélée et leur composition remonte aux alentours du 4e siècle de notre ère comme l’admettent les historiens Juifs.

    Le célèbre historien Juif Jacob Neusner affirme ainsi  Le Bereshit Rabbah dans sa forme finale se diffuse au moment où l’empire romain passe de la domination païenne à la domination chrétienne, vers l’an 360. – Jacob Neusner, Introduction to Rabbinic Literature, Yale University Press, 1994, p. 357

    Généralement considéré comme ayant été clos (ou rédigé) entre l’an 400 et l’an 450 de notre ère, peu de temps après la rédaction du Talmud de Jérusalem, le Bereshit Rabbah transforme le Livre de la Genèse en le faisant passer d’une généalogie de la famille d’Abraham, d’Isaac, de Jacob et de Joseph, en un livre de lois historiques et de règles pour le salut d’Israel. – Ibid, p. 356

    Ainsi, on retrouve la légende de la fournaise d’Abraham en de très nombreux endroits du Coran, en particulier dans les versets 51 à 71 de la sourate 21. On y retrouve donc Abraham défiant le paganisme de ses compatriotes.

    En effet, Nous avons mis auparavant Abraham sur le droit chemin. Et Nous en avions bonne connaissance. Quand il dit à son père et à son peuple: «Que sont ces statues auxquelles vous vous attachez?» ils dirent: «Nous avons trouvé nos ancêtres les adorant». – Coran 21 ; 51-53

    Dans la même sourate, au verset 58, on retrouve Abraham brisant les idoles païennes, à l’exception de la plus grande d’entre elles.

    Il (Abraham) les mit en pièces, hormis [la statue] la plus grande. Peut-être qu’ils reviendraient vers elle

    Dans les versets suivants, les païens demandent qui est le responsable de la destruction des idoles.

    Ils dirent: «Qui a fait cela à nos divinités? Il est certes parmi les injustes». – Coran 21 ; 59

    Abraham est accusé, il se défend d’abord par un mensonge.

    (Certains) dirent: «Nous avons entendu un jeune homme médire d’elles; il s’appelle Abraham». 

    Ils dirent : «Amenez-le sous les yeux des gens afin qu’ils puissent témoigner. (Alors) ils dirent: «Est-ce toi qui as fait cela à nos divinités, Abraham?» Il dit: «C’est la plus grande d’entre elles que voici, qui l’a fait. Demandez-leur donc, si elles peuvent parler». – Coran 21 ; 60-63

    Après s’être accusés mutuellement, les païens accusent à nouveau Abraham et celui-ci est livré aux flammes.

    Se ravisant alors, ils se dirent entre eux: «C’est vous qui êtes les vrais injustes».

    Puis ils firent volte-face et dirent : «Tu sais bien que celles-ci ne parlent pas». Il dit: «Adorez-vous donc, en dehors d’Allah, ce qui ne saurait en rien vous être utile ni vous nuire non plus. Fi de vous et de ce que vous adorez en dehors d’Allah! Ne raisonnez-vous pas ?»  Ils dirent : «Brûlez-le. Secourez vos divinités si vous voulez faire quelque chose (pour elles)». – Coran 21 ; 64-68

    Dans les versets 69 et 71, Abraham est alors protégé du feu par une intervention divine, puis il est récompensé de son zèle et de sa foi, lui et ses descendants :

    Nous dîmes: « O feu, sois pour Abraham une fraîcheur salutaire». Ils voulaient ruser contre lui, mais ce sont eux que Nous rendîmes les plus grands perdants. Et Nous le sauvâmes, ainsi que Lot, vers une terre que Nous avions bénie pour tout l’univers. Et Nous lui donnâmes Isaac et, de surcroît Jacob, desquels Nous fîmes des gens de bien. – Coran 21 ; 69-71

    Nous retrouvons exactement la même histoire dans les légendes talmudiques.

    Nous lisons ainsi dans le 38e chapitre de Bereishit Rabbah le récit d’Abraham brisant les idoles, à l’exception de la plus grande :

    Abraham prit un gourdin dans ses mains et brisa toutes les idoles, puis plaça le gourdin dans les mains de la plus grande des idoles. – Bereshit Rabbah, 38

    Toujours dans le chapitre 38 de Bereshit Rabbah, on retrouve le mensonge d’Abraham, affirmant que c’est la plus grande idole qui a brisé les autres : Lorsque son père fut de retour, il demanda : Qui a fait tout cela ? Abraham répondit : Je ne peux te le cacher. La plus grande des idoles se leva, prit un gourdin et brisa les autres idoles. Terah (le père d’Abraham) dit : Penses-tu pouvoir te jouer de moi ? Ces idoles ne peuvent se mouvoir. – Bereshit Rabbah, ibid.

    Dans les Pesachim, on retrouve le récit du sauvetage miraculeux d’Abraham par un refroidissement des flammes : Laissez-moi (Gabriel) descendre et refroidir ce feu, afin de sauver cet homme juste de la fournaise ardente. – Pesahim 10 ; 7, II. 14.C, in Jacob Neusner, The Babylonian Talmud : A Translation and Commentary, Peabody, 2011, Volume 4, p. 547

    Toujours dans les Pesachim, on voit également Abraham être récompensé de son zèle et de sa foi, lui, ainsi que ses descendants :

    Et puisque le Très Saint, béni soit-Il, ne retient pas la récompense d’une créature, Il lui dit (à Abraham) : Tu auras le mérite de sauver trois de tes descendants (Isaac, Jacob, Joseph). – Ibid

    Nous voyons donc de façon très nette que le récit coranique s’est directement inspiré des légendes talmudiques.

    La Fortune de Koré

    On retrouve dans le Coran une allusion curieuse à ce personnage biblique.

    On lit en effet dans le verset 76 de la sourate 28 

    En vérité, Coré [Karoûn] était du peuple de Moïse mais il était empli de violence envers eux. Nous lui avions donné des trésors dont les clefs pesaient lourd à toute une bande de gens forts. Son peuple lui dit: «Ne te réjouis point. Car Allah n’aime pas les arrogants. – Coran 28 ; 76

    Le Coran présente ici Koré comme un homme riche, possédant un trésor dont les clefs sont si lourdes qu’un groupe d’hommes nombreux aurait du mal à les porter.

    L’allusion au récit biblique de la rebellion de Koré est difficile à établir, bien qu’on nous le présente comme un persécuteur et un homme arrogant.

    Cependant, tout démontre que l’auteur du Coran n’est pas allé chercher cette histoire dans la Sainte Bible

    mais plutôt dans le Talmud de Babylone qui cite le rabbin Levi, qui vécut au 3e siècle de notre ère.

    On lit en effet dans le traité Sanhedrin, au chapitre 110 :

    Rabbi Elazar a dit : Ceci (Deutérome 11 ; 6) se réfère aux biens d’une personne, qui se trouvent à ses pieds. Et Rabbi Levi a dit : Les seules clefs du trésor de Koré étaient un fardeau (si lourd) qu’il fallait 300 mules blanches pour les transporter, et de plus, toutes ces clefs et toutes les serrures étaient faites de cuir. Ceci illustre l’immensité de la richesse de Koré. – Sanhédrin 110a

    nous venons donc de prouver de façon incontestable qu’une très grande quantité d’histoires apparemment bibliques présentes dans le Coran, sont en réalité des légendes pseudo-bibliques provenant de sources profanes.

    Les prétentions du Coran à être la suite et la confirmation de la Bible sont donc absolument irrecevables, puisque le Coran est rempli d’histoires qui ne se trouvent nulle part dans la Sainte Ecriture.

    D’ailleurs, tout ce que nous venons de montrer ici condamne non seulement les prétentions du Coran

    mais démontre également à quel point le Judaïsme talmudique est profondément corrompu

    Jamais aucun évangéliste ou théologien digne de ce nom n’a considéré que le Talmud ou la Kabbale pouvaient contenir des textes révélés

    Il y a 776 ans, vingt quatre charretées d’exemplaires du Talmud étaient brûlés en place de Grève à Paris.

    Cet événement tragique était la conséquence d’une hostilité croissante du christianisme envers le judaïsme qui a connu une recrudescence au 13e siècle.

    Le 20 juin 1242, 13 Tamouz, la sentence a été appliquée et les volumes de la Michna et du Midrash ont été brûlés


    votre commentaire
  • Thanks for checking out our YouTube channel. https://www.youtube.com/c/CIRAInternational

    Rob partage 5 noms d'Allah qui le révèlent en fait être le diable déguisé, se faisant passer pour Dieu.

    Le Coran lui-même décrit Allah comme arrogant, trompeur et humiliant.

    Comment sont-ils des qualités et des identifiants d'un Dieu vrai et pur?

    Regardez cet épisode captivant démasquant Allah comme Satan lui-même.

    sous titres Fr / Eng / ++++ paramêtres 

    Rob Christian  

    L'Islam n'est qu'un MENSONGE

    https://www.facebook.com/cirainternational

    Al Fadi and his guest, a Christian Apologist

    Rob Christian are starting off a new series spanning from Allah to Muhammed to the Qur'an itself. In this episode,

    Brother Rob shares 5 names of Allah that actually reveal him to be the devil in disguise, masquerading as God.

    The Qur'an itself describes Allah as arrogant, deceiving, and a humiliator.

    How can these be qualities and identifiers of a true and pure God? Watch this gripping episode unmasking Allah as Satan himself.

     


    votre commentaire
  •  

     

     

    MUSULMAN, IL VOIT JÉSUS ET SE CONVERTIT

    Musulman irakien, descendant direct de Mahomet par ses origines, il voit Jésus en songe et se convertit…

    Par la suite, il va connaître de nombreuses persécutions (emprisonnement, blessé par balle, etc) mais Jésus le sauvera miraculeusement !

     

     

    Al Fadi, former Salafi Muslim from Saudi Arabia and the founder of CIRA International: The Center for Islamic Research and Awareness. He is the researcher, editor, writer, and translator for numerous ministries, including "Answering Islam" and runs an outreach ministry designed for non-Muslim and Christians.

    https://www.youtube.com/c/CIRAInternational

    liens : 

    Facebook

     


    votre commentaire
  •  门  gate; door; entrance; opening; portal 

     

    10章

    1「はっきり言っておく。羊の囲いに入るのに、を通らないでほかの所を乗り越えて来る者は、盗人であり、強盗である。

    から入る者が羊飼いである。

    番は羊飼いにはき、羊はその声を聞き分ける。羊飼いは自分の羊の名を呼んで連れ出す。

    自分の羊をすべて連れ出すと、先頭に立って行く。羊はその声を知っているので、ついて行く。

    5しかし、ほかの者には決してついて行かず、逃げ去る。ほかの者たちの声を知らないからである。」

    6イエスは、このたとえをファリサイ派の人々に話されたが、彼らはその話が何のことか分からなかった。

    7イエスはまた言われた。「はっきり言っておく。わたしは羊のである。

    わたしより前に来た者は皆、盗人であり、強盗である。しかし、羊は彼らの言うことを聞かなかった。

    わたしはである。わたしを通って入る者は救われる。その人は、を出入りして牧草を見つける。
    Jean 10:9 C'est moi qui suis la porte.Si quelqu'un entre par moi, il sera  sauvé: il entrera et sortira, et il trouver… | I am the door, Kjv, King  james bible verses
     

    10:7     la porte 

    この故にイエス復いひ給ふ『まことに誠に汝らに告ぐ、我は羊のなり

    イエスはまた言われた。「はっきり言っておく。わたしは羊のである


    votre commentaire
  • Rendu 3D ancien soldat grec sur blanc image libre de droit par PhotosVac ©  #120111306

     

     

    主の3つの警告

     

    創世記の警告

    >あなたは人間のアダムの血を流すことはありません

    それは書かれているため

     

    創世記9

    5これも知っている

    私は再びあなたの魂の血を求めます

    私は任意の動物に再びそれをお願いしますと

    私は男から再び男の魂を求めます

    彼女の兄弟である男に。

    6だれでも人の血を流すならば、その血は人によって流されるであろう。神は人を彼のかたちに造られたからである。

    質問;この「私」は誰ですか? 主よ、もちろん!

    第二の警告はマタイの福音書にあります

    マタイ26-52それからイエスは彼に言われました(シモン・ペテロに)

    その場所に戻ってあなたの剣(machaira)を入れてください

    剣を取るすべての人のために剣によって滅びるでしょう。

    *y行うには、nc人の血を流したすべての人のために主からの判断

    第三の警告は啓示(啓示)にあります。

    ヨハネの黙示録第13章10節

    誰かが捕われの身でリードしている場合、彼は捕われの身に入ります

    誰かが剣で殺した場合、彼は剣で殺されなければなりません

    これが聖人の忍耐力と信仰です。

    10もし誰かが捕虜にされるならば、(鎖)彼は捕虜にされるでしょう

     

    そして最後に使徒パウロは答えます

    ローマ人への手紙第12章19節

    最愛の人、自分に復讐しないでください,

    しかし、怒りの行為をしましょう

    それは書かれているために:私は復讐であり、私は報復である、主は言われる。

     

    ヘブル人への手紙第10章30節わたしたちは、"わたしは復讐であり、わたしは報復である"と言った人を知っているからです。 そして再び:主は彼の民を裁かれます。

     

    2コリント5:10私たちは皆、キリストのさばきの座の前に現れなければならないので、誰もが彼がした善または悪に従って受け取ることができます。....

     

    1テサロニケ5:15誰も悪のために悪をレンダリングしないように注意してください

     

    イエス・キリストはすべてを前もって言われました

    それは殺す、または傷つけるために武器を取るのはあなた次第です

    メッセージは、神の御座から出てくる水のように、非常に明確で透明です。.

     

     

    the 3 warnings of the Lord

    the warning in Genesis

    > you will not shed the blood of man the Adam

    for it is written

     

    Genesis 9

    5 Know this too

    I will ask for the blood of your souls again

    I will ask it again to any animal and

    I will ask for the soul of man again from man

    to the man who is her brother.

    6 If anyone sheds the blood of man, his blood will be shed by man; for God made man in his image.

    QUESTION; who is this "I"? the Lord, of course!

     

    the second warning is in the gospel of Matthew

    Matthew 26-52 Then Jesus said to him (to Simon Peter)

    Put your sword (machaira) back in its place

    for all who take the sword will perish by the sword.

    * y to do,nc a judgment from the Lord for all those who shed the blood of man

     

    the third warning is in revelation (revelations)

    Revelation 13:10

    If someone leads in captivity he will go into captivity

    if someone kills by the sword, he must be killed by the sword

    This is the perseverance and faith of the saints.

    10 If anyone is to be taken prisoner, (chain) he will be taken prisoner

     

    And finally the Apostle Paul answers

    Romans 12:19

    Do not take revenge on yourselves, beloved,

    but let the anger act

    for it is written: Mine is the vengeance, mine is the retribution, saith the Lord.

     

    Hebrews 10:30 For we know the one who said, Mine is the vengeance, mine is the retribution! and again: The Lord will judge his people.

    2 Corinthians 5:10 For we must all appear before the judgment seat of Christ, that everyone may receive according to the good or the evil that he has done.....

    1 Thessalonians 5:15 Take care that no one renders evil for evil

    Jesus Christ has said EVERYTHING in advance

    it's up to you to take up arms to kill, or injure

    the message is very clear and limpid like the water that comes out of the throne of God..

     

     

     

     


    votre commentaire
  • genèse 1 (remarque)

    il n'est pas écrit D.ieu, Dieu, Deus, Dios,  God 

    il est écrit Alaha

    (et pas le Théos grec ni le Deus Romain ni l'adonaï )

    27 ܘܲ ܒ݂ܪܵܐ ܐܲܠܵܗܵܐ ܠܐܵܕ݂ܵܡ ܒܨܲܠܡܹܗ ܒܲܨܠܸܡ ܐܲܠܵܗܵܐ ܒܪܵܝܗܝ ܕܟܲܪ ܘ ܢܸܩܒ݂ܵܐ ܒܪܵܐ ܐܸܢܘܿܢ

    27 Et créa alaha l'adam à l'image lui, à l'image alaha.....( )  mâle et femelle il créa eux ênown 

    27 wa bara alaha l'adam b-salam-éh b-salém alaha b-rayéh'ay d'kar wa nékéba bara énown

    Syriaque b-yadh : Littéralement par la main de

    Romains 1:23)Et ils ont échangé la Gloire du Dieu incorruptible en la forme de

    l'image (Salmà) d'un fils d'homme corruptible et en la forme de volatiles et de quadrupèdes et d'animaux grouillants et rampants de la terre5

    Syriaque Salmà : références en Matthieu 22:20 (l'effigie de César, Marc 12:16, Luc 20:24)

    Actes 19:35 (statue de Diane >> le culte marial)

    La première forme humaine qui vient à l'esprit est celle de la "Marie" catholique qui n'est

    pas Maryam la mère de Yéshua mais (entre autres) la "reine du ciel" (Jérémie 44) 

    puis la Diane d'Éphèse (Actes 19:35)

    C'est à Éphèse que se tint en 431 après JC le concile validant le titre déjà fréquemment utilisé de "Mère de Dieu" (theotokos = qui a porté/enfanté Dieu)

    En 1854 fut proclamé le dogme catholique de l'immaculée conception (= sans péché originel)

    alors que seul Yéshua est sans péchés > Immaculé Conception.

    En 1950 fut proclamé le dogme catholique de l'assomption de Marie (= élévation corps & âme au ciel)

    En imitation d'une autre assomption, celle de Yéshoua.

    Mais cette première image mariale n'est complète que quand elle est représentée portant son "fils".

    Quelle est donc la forme humaine contemporaine de ce fils ?

    • Allusion très claire à Exode .20:4 (Segond) : Tu ne te feras pas de statue ni de représentation quelconque de ce qui est en haut dans le ciel (les volatiles), de ce qui est en bas sur la terre (les quadrupèdes), et de ce qui est dans les eaux plus bas que la terre (cf. raHshà désigne aussi bien les reptiles, les insectes, les choses rampantes, y compris les poissons et les souris

    Genèse 1:27 Dieu créa l'homme à Son image (b-Salm-eh), Il le créa à l'image de Dieu (ba-Slem

     

    âlahà), mâle dkhar et femelle wa neqébà Il les créa.

    Rom.1:23 (Salmà)

    Le nom yéhuwdhayà (Judahite, Judéen, Juif) correspond à l'hébreu yehudah, que l'on décompose en yeh = YHWH (le Nom de Dieu), et udah, qui vient du verbe hébreu yadah racine syriaque yud^

    Gen.29:35  zabnà hanà âwdé l'maryà meTul hanà qarath sham-eh yéhuwdhà

    Cette fois-ci, je louerai le Seigneur  A cause de ceci, elle appela son nom Yéhuwda.

    D'où la traduction ici : Judahite.

    Psaumes 14:1-3 : maryà âdhyq men shamayà °al bénay-nashà d'neHazé ên ŷth d'sakuwltan wa va°é l'âlahà

    YHWH scrute/se montre depuis les Cieux les fils d'homme pour voir s'il en est qui comprend (avec intelligence) et qui cherche Dieu.

    kul-hown sTaw âkhHdhà wa êstlyw wa layt d°abedh Tabthà âphlà Hadh

    tous se sont détournés comme un seul [homme] et sont rejetés, et il n'en est pas un qui mette en œuvre le bien, pas même un seul.

    Psaumes .5:10

    âyakh qabré péthyHé gagrath-hown wa eshanay-hown méhapkhyn

    comme des tombes ouvertes [sont] leurs gorges et leurs langues [sont] perverties.

    Romains 3 13 Leurs gorges sont des tombeaux ouverts, et leurs langues sont trompeuses14, et du venin d'aspic est sous leurs

     

    Ps.140:4 : Hemthà dêspes tHoth sphwathhon = le venin d'aspic [est] sous leurs lèvres.

    16 Ps.10:7 : lawTthà mlé pumeh, tukà wnekhlà tHoth leshneh °awlà w°ethà = sa bouche [est]

    remplie de malédiction, d'oppression et de tromperie, sous sa langue [sont] l'iniquité et la fraude.

    17 Es.59:7-8.

    18 Ps.36:2 : layt deHltheh dâlahà luqbal °aynawhy = il n'y a pas de crainte de Dieu en vis-à-vis

    de leurs yeux.

    19 Paul s'adresse donc encore ici aux Judéens (un vieux mot ce terme JUIFS)

    Le patriarche s'appelait d'abord Abram (ab-ram) qui vient des deux mots ânà = père, et d'une racine sémitique dont la version syro-araméenne est ram = s'élever ; être élevé

    En Genèse 17:5, Abram devient Abraham, avec le suffixe hébreu hamon = multitude

    °am signifiant peuple (syriaque °am) et non pas : race, nations

    Genèse 17:5 dit

    5 ܘ ܠܵܐ ܢܸܬܼܩܪܸܐ ܬܘܼܒ݂ ܫܡܵܟ݂ ܐܲܒ݂ܪܵܡ ܐܸܠܵܐ ܢܸܗܘܸܐ ܫܡܵܟ݂ ܐܲܒ݂ܪܵܗܵܡ

    ܡܸܛܠ ܕܐܲܒ݂ܵܐ ܠܣܘܿܓܼܐܵܐ ܕܥܲܡܡܹ̈ܐ ܝܲܗ̄ܒ݂ܬܵܟ

    nehawé shém-akh âbraham meTul d'âbà l sawghä d°am yahéb-t'akh 

    Et pas appeler ton nom Abram

    mais sera ton nom Abraham parce que je te donne [comme] père pour beaucoup de peuples

     

    (hébreu : hayah shimkha avraham ky av-hamon goyim nethatykha)

    Abraham le croyant est le père d'un grand nombre de peuples ܕܥܲܡܡܹ̈ܐ  ammé 

     de tous les croyants 

     


    votre commentaire
  • Matthieu 17:12 Mais je vous dis qu’Elie est déjà venu, qu’ils ne l’ont pas reconnu, et qu’ils l’ont traité comme ils ont voulu. De même le Fils de l’homme souffrira de leur part.

    Elie ? est-ce bien ça avec un " i "? non !

    Matthew 17:12  But I say unto you that Elijah  

    Elijah . est-ce bien ça ? avec un "J" non !

    Ely'Yah > Yah > mon Dieu est "l’Eternel

    l’Eternel » Mar'Yah > Seigneur Yah

     

    Marc 9:5 Pierre, prenant la parole, dit à Jésus : Rabbi, Raby  il est bon que nous soyons ici ; dressons trois tentes, une pour toi, une pour Moïse, et une pour Elie

    qu'est-ce que les 3 disciples : Pierre, Jacques, Jean ont vu en réalité ?

    2 êtres blanc de lumineux c'est pas écrit, mais c'est la seule hypothèse : 2 chérubins > 2 anges

    Réponse : aucun d'eux des 3 disciples n'ont vu MOISE et l'Elie

    Alors qui était donc ces 2 êtres en blanc apparus sur la montagne et qui dialoguait avec JESUS ?

    vous ne savez pas ?

    j'ai ma petite idée même si c'est pas écrit ..

    L'épée flamboyante en franc-maçonnerie

     

    ces 2 êtres blancs de lumière qui parlait avec JESUS était ces 2 anges (représentés par les 2 chérubins) qui gardait l'arbre de VIE

    revoir en genèse : les 2 gardiens de l'arbre de VIE du paradis qui agitait une épée flamboyante 

    autre rermarque

    Luc 9

    18 Un jour que Jésus priait à l’écart, ayant avec lui ses disciples, il leur posa cette question

    Qui dit-on que "JE SUIS MOI"  ?

    19 Ils répondirent : Jean Baptiste, les autres, Elie ; les autres, un des anciens prophètes qui est ressuscité.

    20 Et vous, leur demanda-t-il, qui dites-vous que "JE SUIS MOI" ? 

    Simon Pierre répondit : Le Christ de Dieu. > (l'OINT de Dieu) le mashyHa

    21 Jésus leur recommanda sévèrement de ne pas le dire à perslonne.

    Alors qui était véritablement Jésus pour que ce mystère (soit passer sur SILENCE )

    évidement Jésus faisait allusion : aux grands prêtres, le sanhédrin, et à certains Juifs moqueurs

    aux INCREDULES 

    n'a il pas déclarer :  avant que soit Abraham MOI JE SUIS > MOI J'ETAIT > MOI J'EXISTAIT

     

    Jean 8

    57  Les Juifs lui dirent : Tu n’as pas encore cinquante ans, et tu as vu Abraham !

     

    58  Jésus leur dit : AMEN En vérité, AMEN en vérité JE DIS MOI à vous dis : Avant que ’Abraham fût MOI JETAIS 

     


    votre commentaire
  • Genèse 1 (bible LS1910 version septante Grec et KJV

    évidement la bible Louis segond 1910 n'est pas exacte

    ces noms Deus D.ieu  DIEU n'existent pas

    26 Puis Dieu dit : Faisons l’homme à l'image nous ressemblance comme nous

    et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre l'aréa  et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. aréa

    26 ܘ ܐܸܡܲܪ݂ ܐܲܠܵܗܵܐ ܢܸܥܒܸܿܕ ܐ̄ܢܵܫܵܐ ܒܨܲܠܡܲܢ ܐܲܝܟ݂ ܕܡܘܼܬܲܢ

    wa amar alaha nébad anasha humain b-salam'an ayak d-muwth'an

    ܘ ܢܸܫܠܛܘܼܢ ܒܢ̈ܘܼܢܲܝ ܝܲܡܵܐ

    wa néshalath-own b-nawnay yama

    ܘܲ ܒ݂ ܦܵܪܲܚܬܼܵܐ ܕܲܫܡܲܝܵܐ

    ܘ ܒܲ ܒ݂ܥܝܼܪܵܐ

    ܘܲ ܒ݂ ܟ݂ܠܵܗ ܚܲܝܘ̱ܬܼܵܐ ܕܐܲܪܥܵܐ

    ܘܲ ܒ݂ܟ݂ܠܹܗ ܪ̈ܲܚܫܵܐ ܕܪܵܚܹ̇ܫ ܥܲܠ ܐܲܪܥܵܐ

    27  Et créa alaha  l’homme l'Adam à l'image LUI, alaha brayhéy néquéba femelle il créa eux

    27 ܘܲ ܒ݂ܪܵܐ ܐܲܠܵܗܵܐ ܠܐܵܕ݂ܵܡ ܒܨܲܠܡܹܗ ܒܲܨܠܸܡ ܐܲܠܵܗܵܐ ܒܪܵܝܗܝ ܕܟܲܪ ܘ ܢܸܩܒ݂ܵܐ ܒܪܵܐ ܐܸܢܘܿܢ.

     

    Eastern Syriac : ܩܕ݂ܝܼܡ
       
    Eastern phonetic : ' qédhim
     
    Category : adjective
     
     
    French : 1) premier ; 2) antérieur , précédent ;
       

    ܩܕܡܩܕܵܡܐܩܲܕܡܵܐܝܼܬܩܲܕܡܵܝܵܐ ܩܲܕ݇ܡܩܘܼܕܡܹܐܩܲܕ݇ܡܵܐܩܕ݂ܝܼܡܵܐܩܲܕ݇ܡܬ݂ܵܐ

    qédem qédma qédymaya 

     

    Genèse chapitre 2 évidement ce verset contient des fautes

    pourquoi le nom de alaha devient l'Eternel ?

    depuis le 1er chapitre son nom est alaha

    8 Et planra l’Eternemarya alaha un jardin dans le paradis en Eden en avant

    et il y mit l’homme l'Adam  qu’il avait formé.

    8 ܘܲ ܢ̣ܨܲܒ݂ ܡܵܪܝܵܐ ܐܲܠܵܗܵܐ ܦܲܪܕܲܝܣܵܐ ܒܲ-ܥܕܸܢ ܡ̣ܢ ܩܕ݂ܝܼܡ

    ܘ ܣܵܡ݂ ܬܲܡܲܢ ܠܐܵܕ݂ܵܡ ܕܲܓܼܒܲܠ̣

    10  ET Un fleuve sortait de Eden pour arroser le jardin le paradis

    et de là il se divisait en quatre bras. quatre têtes

    10 ܘ ܢܲܗܪܵܐ ܢܵܦܸܩ݁ ܗ̄ܘܵܐ ܡ̣ܢ ܥܕܸܢ ܠ ܡܲܫܩܵܝܘܼܬܹܗ ܠ'ܦܲܪܕܲܝܣܵܐ

    wa néhra népaq hawa men éden l'mashaqayawt'éh l'paradysa

     

    ܘ ܡ̣ܢ ܬܲܡܵܢ ܦܵܪܸܫ݁ ܘ ܗܵܘܹ̇ܐ ܠܐܲܪܒܿܥܵܐ ܪܹ̈ܫܝܼܢ

     

     

     


    votre commentaire
  • One of the most famous Japanese folk songs “Sakura”, also known as “Sakura Sakura”, is well known by everyone in Japan.

    Not only is the writer of the song unknown, but some lines such as “Yayoi no Sora” and “Izaya” in the lyrics of the song are actually not common expressions in Japanese.

    All children learn to sing “Sakura” in elementary school and belt out “Izaya, Izaya” in loud voices. “Izaya” particularly doesn’t have a meaning in Japanese and it sounds similar to the word “Iza”, which is a phrase warriors and fighters say when running out into battle.

    itturns out that the nonsensical word in Japanese is in fact the name of the famous prophet Isaiah from the Old Testament and the Hebrew pronunciation is exactly the same as it is in Japanese.

    What’s even more interesting about this shared word is that “Isaiah” carries an even deeper meaning in Hebrew, which means “God’s salvation”.

    It’s interesting to think that people have been singing “Sakura Sakura” for years without ever stopping to think about the meaning in a religious context.

    Since Izaya holds an important meaning in Hebrew, the possibility emerges that not only does the title “Sakura Sakura” come from Hebrew, but the entire song can also be sung completely in Hebrew.

    By just examining each word from the lyrics, it turns out that the nonsensical word in Japanese is in fact the famous prophet Isaiah from the Old Testament, and the adoration for God jumps off the page.

    Traditional Japanese song “Sakura”

    sakura sakura
    yayoi no sora wa
    miwatasu kagiri
    kasumi ka kumo ka
    nioi zo izuru
    izaya izaya
    mini yukan

    Deciphering “Sakura Sakura”

    In order to be able to read and understand “Sakura Sakura” in Hebrew, one must find Hebrew words that sound similar to the Japanese words with consistent meaning. Let’s first note that Hebrew pronunciation combines consonants with open vowel sounds “a e i o u”, which is very similar to Japanese pronunciation. Written Biblical Hebrew explicitly leaves out the vowels; Back when Hebrew script was written in ancient times, the consonants alone were read with the presence of the vowels implicitly understood.

    Likewise, in order to know which Hebrew consonant vowel matches with each consonant to create a word from theHebrew alphabet, one must first be sure that the word exists and is understandable in Hebrew. Sometimes multiple selections of consonants have similar pronunciations with different meanings. In such cases, one must find the word that best matches the meaning in context.

     

    Also, since Hebrew is read from right to left, the yod is written twice before the four letters of Yahweh.

    In Japanese, the repeated yod or ya is described as 八重, and it is pronounced as “yae.”

    This is the same as the sacred word that is known as the name of God in Hebrew.

    The repeated yod together with Yahweh emphasizes the existence of God.

    https://www.historyjp.com/en/article/38886/

    שקר שקר יהוה נה שרה ו מיותש כך יחי 

    Hide, lie, God endured, died, but lives

    קסם כך קום כך ניאוהי זו יצר 

    Prophecies Fulfilled and Great Things Created 

    ישעיה ישעיה מינה יכהן 

    God’s salvation, call forth God’s salvation, serve as a priest

    ש sh > in aramaya > $ > sh  > Sha, Shy, Shu, Sho

     

    Sakura (SKR) שקר lie, hide
      (SKR) סקר survey, examine
      (SKR) סקרה Vermilion dyed
    Yayoi (YYH)  יהוה God  
        קסם prophecy
    Kumoka (KMK) קום כך accomplish, stand up
    Nihohi (NOH) נאה wonderful
      (NOH) ניאוהי precise
    Izuru (YZR) יצר create
    Izaya (YSY) ישעיה God’s Salvation Yéshuwah 
    Mini (MNH) מינה summon, appoint
    Ikan (YKN) יכהן serving as a priest

     

    https://www.historyjp.com/ depuis Noé ? ou depuis ESAIE ?

     

    Les paroles de "Kimigayo" commencent par "Kimigayoha". 

    Le mot hébreu similaire à ce mot est « kumbaya ». 

    Même aujourd'hui, lorsque les Israéliens disent « Kumbayah » ils comprennent que cela signifie une prière: « Lève-toi, Dieu ! »

    « Kumbayah » en hébreu significationLève-toi, allezIl s'écrit ( kum-ba-yh ). 

    "Kum" est le mot hébreuViens

    (Kum, kumu) qui signifie « se lever »

    "Ba" signifie "viens" ou "viens", un synonyme de "viens" en français

    Par consentement, « Kumbha » signifiant « Lève-toi ! »

    ou « lève-toi et viens ! »

     

    「クンバ」という言葉の後に「神」を意味する「ヤ―」の語尾をつけると、「クンバヤー」となります。イスラエル人ならば誰でも、「ヤ」と言えば「ヤ―ウェーの神」を指す言葉であることを知っています。「ヤ」はヘブライ語で、וה(yh、ヤ)と書き、יהוה(yhwh、ヤハウェ)の略です。また、その頭文字となるヘブライ語の子音ヨッド(י)一文字だけでも「神」を象徴する尊い言葉とされています。יהוה(yhwh)は神聖なる神の名であることから、実際には人間が発音することのないよう、古代からyhwhという4つの子音に母音が付けられることはありませんでした。つまり神の名前を発音することが禁じられていたのです。よって長年にわたりイスラエル人は、この4文字を読む際には「ハシェム」と発音する当て字を用いて「神」の代名詞としてきたのです。それ故、קום בא יהוה(kum-ba-yhwh)は「クンバ・ハシェム」と読まれます。もし、このYHWHという子音4文字にあえて母音を付けて読むとするならば、おそらく「ヤハウェ」「ヤ―ウェー」と発音されたであろうというのが定説です。よって本来「神」は、「ヤ」の神であることから、「クンバ・ヤハウェ」と読むべきところを略して、「クンバ・ヤ―」と発音したのです

     

     Après le mot "kumba", ajoutez la fin de "Ya", qui signifie "Dieu", ce sera "Kumbaya".

    Tous les Israélites savent que "Ya" est un mot qui fait référence au "Dieu Yaway"

    "Ya" est un mot hébreu, qui est écrit comme וה (yh, yh), signifie יהוה (yhwh, yahweh).

    De plus, les consonnes hébraïques initiales (י) seule sont une parole précieuse qui symbolise "Dieu".

    Puisque יהוה (YHWH) est le nom du Dieu sacré

    les quatre consonnes de YHWH n'ont pas reçu de voyelle depuis les temps anciens pour que les humains ne prononcent pas réellement.

    En d'autres termes, la prononciation du nom de Dieu était interdite.

    Ainsi, pendant de nombreuses années, les Israélites sont synonymes du "Dieu" en utilisant la prononciation de "Hachem" lors de la lecture de ces quatre lettres.

    Par conséquent, קום קום יהוה (kum-ba-yhwh) est lu comme "Kumba Hashem".

    Si vous osez lire cette voyelle des quatre consonnes appelées YHWH, elle aurait probablement été prononcée comme "Yahweh" et "Yaway".

    Par conséquent, puisque "Dieu" est à l'origine le dieu de "Ya", il a été prononcé "Kumba Ya", qui est abrégé comme "Kumba Yahweh". 

     

     


    votre commentaire
  • Ces psaumes sont attribués à David. Ils ont été retrouvés dans les Psautiers de Qumram.

    Le Psaume 151 figure dans la version grecque de l’Ancien Testament.

    Les psaumes 154 et 155 furent conservés par les chrétiens de Syrie.

    Les autres sont véritablement nouveaux et ne figurent pas dans le canon officiel des 150 psaumes.

    Psaume 151

    Alléluia ! Psaume de David, Fils de Jessé

    J’étais plus petit que mes frères,

    le plus jeune des fils de mon père.

    Aussi fit-il de moi un berger pour ses moutons,

    le gardien de ses chèvres.

    Mes mains façonnèrent un pipeau,

    mes doigts une lire, et je glorifiais le Seigneur

    Je me disais à moi-même :

    « Les montagnes ne Lui rendent point hommage, et les collines ne proclament point sa gloire. »

    Alors, faites écho à mes paroles,

    O arbres, ô moutons, faites écho à mes œuvres 

    Ah !mais qui peut proclamer, qui peut célébrer les œuvres du Seigneur ?

    Dieu a tout vu, tout entendu et tout préparé.

    Il envoya on prophète pour me consacrer,

    Samuel lui-même, pour m’élever

    Mes frères partirent à sa rencontre :

    Biens faits, merveilleusement distingués, ils étaient de haute taille

    et leur chevelure était belle.

    Pourtant, Dieu, l’Eternel, ne les choisit point

    Non, Il m’envoya chercher, moi qui suivait le troupeau,

    et me consacra avec l’huile sainte.

    Il fit de moi le prince de Son peuple,

    le maître des fils de Son alliance.

     

    Psaume 154

    Elevez la voix et glorifiez Dieu,

    Quand toute l’assemblée se trouve réunie, proclamez Sa gloire.

    Dans la multitude des justes, glorifiez Son nom,

    et rappelez Sa grandeur aux fidèles.

     

     

     

    Attachez vos âmes à ceux qui sont bons, aux innocents, afin de louer le Très-Haut.

    Rassemblez vous pour proclamer Sa victoire,et ne tardez pas à vanter Sa puissance.

    Sa gloire aux esprits simples.

    Car c’est pour vanter la gloire de Dieu que fut donnée la sagesse ;

    c’est pour qu’il rapporte Ses nombreuses actions qu’elle fut prodiguée à l’homme 

    pour qu’il révèle Sa gloire aux sots,

    à ceux qui ne voient pas ses portes, qui errent loin de ses portails.

    Car le très haut est le Dieu de Jacob, et sa majesté plane sur toutes Ses œuvres.

    Assurément, celui qui glorifie le Très-Haut trouve grâce auprès de lui comme s’il offrait un sacrifice ;

    comme s’il offrait des boucs et des veaux, comme s’il engraissait l’hôtel de myriades d’holocaustes,

    odeur agréable aux mains des justes.

    Depuis les portes des justes, la Sagesse fait entendre sa voie,depuis la pieuse assemblée, son chant.

    Quand ils mangent et sont rassasiés, ils la citent,

    quand ils boivent et ne forment plus qu’un :

    le sujet de leur entretien, c’est la Loi du Très Haut,

    leurs paroles ne servent qu’à vanter sa puissance.

    Comme Sa parole est loin des impies !

    Comment le fier pourrait-il la connaître !

    Vois, les yeux du Seigneur se posent miséricordieusement sur les bons.

    Sa grâce augmente pour ceux qui chantent Sa gloire, du malheur Il sauvera leur âme.

    Béni soit le Seigneur qui soustrait le pauvre au pouvoir de ses ennemis,

    qui délivre les innocents de l’oppression des impes.

    Il fait surgir une corne de Jacob, d’Israël, le juge des nations ;à Sion,

     Il choisira d’établir Sa résidence, jetant son dévolu sur Jérusalem pour l’éternité

     

    Psaume 155

    O Seigneur, je crie vers Toi, écoute-moi.

    Je tends mes mains vers Ta sainte résidence,

    prête l’oreille et accède à ma requête 

    ne me refuse pas ta faveur.

    Eclaire mon âme, ne la plonge pas dans le désarroi ;

    qu’elle ne se retrouve pas seule en face des impies.

    Que le Juge de vérité détourne de moi le salaire du péché ;

    ô Seigneur, ne me juge pas comme l’exige mon péché, car aucun vivant ne peut se justifier devant Toi.

    Fais, ô Seigneur, que je comprenne Ta Loi, et apprends moi Tes statuts.

    afin qu’un grand nombre entende parler de Tes actes, et que les peuples célèbrent Ta gloire.

    Souviens-Toi de moi, ne m’oublie pas ;

    ne me plonge pas dans d’insupportables tourments.

    Ecarte au loin les péchés de ma jeunesse,

    et fait que mes péchés ne soient pas retenus contre moi.

    Libère moi de l’affliction du mal et fais que jamais plus elle ne revienne.

    Que ses racines en moi se dessèchent, que ses feuilles ne trouvent pas en moi leur sève.

    Seigneur, Tu es la gloire même,

    que par elle ma prière s’accomplisse en Ta présence.

    Qui d’autre puis-je implorer pour la voire exaucée ?

    Les hommes ? Leur force a reculée, ma confiance, ô seigneur, est en Toi.

    J’ai crié « O Seigneur ! » Et Il m’a répondu.

    Il a guéri mon cœur brisé.

    Je me suis assoupi et j’ai dormi,

    j’ai rêvé, puis me suis éveillé

    C’est Toi, ô Seigneur, qui m’a soutenu, quand je fus frappé au cœur ;

    car je criai : « O Seigneur, mon Sauveur ! »

    A présent, je verrai leur honte ; mais caché en Toi, je ne serais pas honteux.

    Rachète, ô Seigneur, Israël, Tes fidèles, la maison même de Jacob, Tes élus.


    votre commentaire
  • Epître de Bar-nabé

    1. Salut à vous, fils et filles dans la paix, par le nom du Seigneur qui nous a aimés.

    2. Devant la grandeur et la splendeur des desseins de Dieu à votre égard, ce qui plus que toute autre chose me cause une excessive joie ce sont vos âmes bénies et glorieuses, tant la grâce du don spirituel que vous avez reçu s'est implantée en elles.

    3. C'est ce qui augmente encore la joie que j'éprouve en moi-même, pat l'espérance que j'ai d'être sauvé, quand je vois qu'en toute vérité l'Esprit s'est répandu sur vous, jaillissant de l'intarissable source qu'est le Seigneur.

    C'est à ce point que m'a frappé votre vue si ardemment souhaitée.

    4. Je suis intimement persuadé qu'après avoir causé avec vous, j'ai encore beaucoup à dire, car le Seigneur s'est fait mon compagnon dans le chemin de la justice; et je suis moi aussi tout à fait contraint de vous aimer plus que mon âme, car une grande foi et une grande charité habitent en vous, " avec l'espérance de sa vie "

    5. J'ai donc réfléchi que, si je prenais soin de vous faire part de ce que j'ai reçu, l'aide que j'aurais accordée à des âmes telles que les vôtres ne serait pas sans récompense, et je m'empresse de vous écrire brièvement afin qu'avec la foi vous ayez une connaissance parfaite.

    6. Les maximes du Seigneur sont au nombre de trois :

    * " L'espérance de la vie ", commencement et fin de notre foi ;

    * La justice, commencement et fin du jugement ;

    * L'amour oeuvrant dans la joie et l'allégresse, qui témoigne de cette justice.

    7. Le Maître, en effet, nous a révélé par les prophètes les choses passées et présentes, et nous a donné de goûter par avance aux choses futures. Voyant donc celles-ci s'accomplir, chacune à leur tour, comme il nous l'avait dit, nous devons progresser dans la crainte de Dieu, nous donner davantage et monter plus haut.

    8. Pour moi, ce n'est pas comme maître, mais comme l'un d'entre vous que je veux vous donner quelques enseignements, qui vous apporteront de la joie dans ce temps où nous vivons.

    chap 2

    1. Puisque les jours sont mauvais, que l'ennemi est à l'oeuvre et qu'il en a reçu le pouvoir, il nous faut veiller sur nous-mêmes et rechercher les commandements du Seigneur.

    2. Or, la foi est secourue par la crainte et la patience, nos alliées sont la longanimité et la tempérance.

    3. Lorsque ces vertus demeurent sans atteinte devant Dieu, la sagesse, l'intelligence, la science, la connaissance viennent leur tenir compagnie dans la joie.

    4. Il nous a dit clairement par tous les Prophètes qu'il n'a que faire des sacrifices, des holocaustes ou des offrandes. Il dit, par exemple

    5. " Que m'importent vos innombrables sacrifices? dit le Seigneur.

    Je suis rassasié des holocaustes ; La graisse des agneaux, le sang des taureaux et des boucs, je n'en veux point ; Pas davantage quand vous venez vous présenter devant moi. Qui donc vous a invités à m'offrir ces dons de vos mains ? N'allez pas fouler de nouveau mes parvis. Si vous m'offrez de la fleur de farine, c'est en vain; l'encens m'est en horreur. Vos nouvelles lunes et vos sabbats, je ne les supporte plus ".

    6. Il a donc abrogé tout cela afin que la nouvelle loi de notre Seigneur Jésus-Christ soit libre du joug de la nécessité; qu'elle ne connaisse pas l'offrande faite de main d'homme.

    7. Il leur dit encore: " Est-ce que j'ai prescrit à vos pères, quand ils sortirent d'Égypte, de m'offrir des holocaustes et des sacrifices?

    8. Non, mais voici la prescription que je leur ai faite: Ne méditez pas en vos coeurs du mal l'un contre l'autre, chacun contre son prochain. N'aimez pas le faux serment ".

    9. Nous devons donc comprendre, si nous ne sommes pas sans intelligence, l'intention toute de bonté de notre Père, et que, s'il nous parle, c'est qu'il veut nous voir rechercher, sans nous égarer comme ceux-là, le vrai moyen de nous approcher de lui.

    10. Il nous dit donc: " Le sacrifice pour le Seigneur, c'est un coeur brisé; le parfum de bonne odeur pour le Seigneur, c'est un coeur qui rend gloire à son Créateur ".

    Nous devons donc, frères, nous appliquer avec beaucoup de soin à notre salut, pour empêcher l'ennemi d'insinuer en nous l'égarement et de nous précipiter hors de notre vie

    chap 3

    1. Le Seigneur dit également aux Juifs, à ce sujet :

    " A quoi bon, votre jeûne, dit le Seigneur. Pourquoi ne faire entendre aujourd'hui que des cris ?

    Ce n'est pas le jeûne que j'avais choisi, dit le Seigneur. Ce n'est pas ainsi que je désire que l'homme humilie son âme.

    2. Courber la tête comme un anneau, revêtir le sac et coucher sur la cendre, n'appelez plus cela un jeûne agréable au Seigneur ".

    3. Quant à nous, il nous dit :

    " Voici le jeûne qui me plaît, oracle du Seigneur.

    Romps les chaînes injustes, délie les liens du joug de la violence, renvoie libre les opprimés, et déchire tout contrat inique.

    Partage ton pain aux affamés, vêts celui que tu vois nu, héberge les sans-abri sous ton toit.

    Si tu vois un misérable ne le méprise pas et ne te dérobe pas aux parents qui sont de ton sang.

    4. Alors, ta lumière poindra comme l'aurore, et tes vêtements ne tarderont pas à resplendir

    La justice marchera devant toi, et la gloire du Seigneur t'environnera.

    5. Alors, si tu cries, le Seigneur répondra ;tu parleras encore, qu'il te dira: me voici ;si tu exclus de chez toi le joug, le geste menaçant et les propos impie, si tu donnes de tout coeur ton pain à l'affamé, si tu traites avec la miséricorde l'âme humiliée ".

    6. Frères, le Seigneur longanime a voulu que la foi de son peuple soit sans mélange, de ce peuple qu'il s'est acquis en son bien-aimé, et c'est pour cela qu'il nous avertit à l'avance de toutes choses, de peur que, nouveaux venus en Israël, nous ne nous brisions contre sa loi.

    IV

    1. Il nous faut donc examiner à fond les circonstances présentes et chercher ce qui peut nous sauver. Fuyons absolument toutes les oeuvres de l'iniquité; sinon, ce sont elles qui se saisiront de nous. Haïssons l'égarement du temps présent, afin d'être aimé dans le temps à venir.

    2. Ne relâchons pas à ce point nos âmes qu'elles se croient permis de courir en compagnie des pécheurs et des méchants; sinon, nous finirons par leur ressembler

    3. Le scandale de la fin s'est approché, comme dit l'Écriture par la bouche d'Énoch. Le Seigneur a réduit les temps et les jours afin que se hâtât son bien-aimé, et qu'il entrât en possession de son héritage.

    4. Le prophète aussi s'exprime ainsi: " Dix royaumes se lèveront sur la terre; après eux se lèvera un petit roi la qui soumettra à la fois trois des rois.

    5. Et Daniel dit encore à ce propos: " Je vis la quatrième bête féroce, puissante, et terrible plus que tous les monstres marins; il lui poussa dix cornes, d'où sortit une petite corne qui abaissa d'un coup trois des grandes cornes ".

    6. Vous devez comprendre.

    Je vous en prie, une fois encore, moi qui suis l'un d'entre vous, et qui vous chéris tous et chacun plus que ma vie, veillez sur vous-mêmes et ne ressemblez pas à certaines personnes, n'accumulez pas les fautes en disant que l'Alliance est aux Juifs comme à nous.

    7. Elle est à nous assurément. Mais eux l'ont perdue définitivement, lors même que Moïse venait de la recevoir. L'Écriture dit en effet: " Moïse demeura sur la montagne quarante jours et quarante nuits sans manger et sans boire et il reçut du Seigneur l'Alliance: les Tables de pierre écrites du doigt de la main du Seigneur " .

    8. Mais pour s'être tournés vers les idoles, ils ont réduit à néant cette alliance. Voici, en effet, ce que dit le Seigneur: " Moïse, Moïse, descends vite, car ton peuple a péché, ce peuple que tu as fait sortir d'Égypte ". Moïse comprit et jeta les deux Tables de ses mains et leur alliance se brisa afin que celle du bien aimé Jésus fût scellée dans notre coeur par l'espérance de notre foi en lui.

    9. Tout ce que je désire vous écrire, ce n'est pas en maître, mais en ami qui ne réserve rien de ce qu'il possède, moi qui ne suis qu'un rebut à votre service.

    Faisons bien attention puisque voici les derniers jours, car tout le temps de notre vie et de notre foi nous serait inutile, si maintenant, dans le temps du péché et au milieu des scandales à venir, nous ne tenions pas bon comme il convient à des fils de Dieu.

    10. Pour que le Ténébreux ne puisse s'infiltrer parmi nous, fuyons toute vanité, haïssons sans biaiser les oeuvres de la mauvaise voie. Ne vivez pas dans l'isolement comme si vous étiez déjà justifiés, mais rassemblez-vous et étudiez ensemble ce qui concerne l'intérêt commun.

    11. Car l'Écriture dit: " Malheur à ceux qui se croient sages et s'estiment très avisés ".

    Soyons des hommes spirituels, des temples parfaits pour Dieu. Autant qu'il est en nous, a " exerçons-nous à la crainte "  de Dieu et luttons pour garder ses commandements, afin que ses saintes volontés nous réjouissent.

    12. Le Seigneur jugera le monde " sans acception de personnes ". Chacun obtiendra le prix de ses oeuvres. Qui aura fait le bien sera précédé de sa justice; qui aura mal agi verra venir à lui le salaire de son iniquité.

     

    13. Ne nous reposons jamais sur notre qualité d'élus, nous nous endormirions dans nos péchés, et le mauvais prince prendrait pouvoir sur nous et nous repousserait du Royaume du Seigneur.

    14. Une chose encore, frères, à quoi il vous faut penser, lorsque vous voyez, après de tels signes et de tels miracles accomplis en Israël, ce peuple se trouver néanmoins abandonné: tâchons qu'il ne se trouve pas chez nous aussi, comme dit l'Écriture, " beaucoup d'appelés et peu d'élus ".

    V

    1 Si le Seigneur a souffert de livrer sa chair à la destruction, c'était pour nous purifier par la rémission des péchés qui s'opère par l'aspersion de son sang. 2 L'Écriture parle de lui à ce sujet, tantôt pour Israël, tantôt pour nous:

    " Il a été frappé à cause de nos péchés, écrasé à cause de nos crimes, et c'est grâce a ses plaies que nous sommes guéris. On l'avait conduit comme un agneau à la boucherie, comme devant les tondeurs, une brebis muette "

    3 C'est pourquoi nous devons rendre au Seigneur les plus grandes actions de grâces, de nous avoir révélé le passé et le présent; et même l'avenir ne nous est pas tout à fait obscur. 4 Or, l'Écriture dit: " Ce n'est pas en vain qu'on tend les filets pour les oiseaux ". C'est-à-dire: on mérite de périr si, connaissant la voie de la justice, on s'en tient éloigné pour aller dans celle des ténèbres.

    5 Autre chose, frères: Le Seigneur a enduré de souffrir pour nos âmes, lui le Seigneur du monde entier à qui Dieu avait dit dès l'origine du monde: " Faisons l'homme à notre image et ressemblance ". Eh bien, comment a-t-il enduré de souffrir de la main des hommes? Apprenez-le:

    6 " Les prophètes ont reçu de lui la grâce de prophétiser à son sujet. Eh bien ! comme pour anéantir la mort et prouver sa résurrection il devait se manifester dans la chair, il a enduré de souffrir,

    7 afin d'accomplir la promesse faite à nos pères, de s'acquérir pour lui- même le peuple nouveau en montrant durant son séjour sur cette terre que c'est lui qui ressuscite les morts, lui qui juge.

    8 Enfin, en enseignant Israël et en lui montrant tous les miracles et les signes que vous savez, il proclama son message et lui montra son excessif amour.

    9 Puis il choisit pour ses propres Apôtres, pour ceux qui devaient être plus tard les hérauts de l'Évangile, des hommes plus que pécheurs afin de montrer " qu'il n'était pas venu appeler les justes, mais les pécheurs "  et c'est à cette occasion qu'il fit bien connaître qu'il était le fils de Dieu.

    10 S'il n'était pas venu dans la chair, comment les hommes auraient-ils pu, sans mourir, soutenir sa vue, alors que le soleil, oeuvre périssable qu'il a façonnée de ses mains, ils ne peuvent le regarder en face et soutenir ses rayons? *

    11 Si le Fils de Dieu est venu dans la chair, c'est donc pour mettre le comble aux iniquités de ceux qui ont persécuté à mort les prophètes.

    12 C'est pour cela qu'il a enduré de venir. Dieu dit en effet que la meurtrissure de sa chair, c'est à eux qu'il la doit: e " Ils frapperont le berger et les brebis du troupeau périront ".

    13 Mais c'est lui qui a voulu souffrir de la manière qu'il a souffert. Il fallait, en effet, qu'il souffrît sur le bois.

    Car le prophète dit de lui: " Délivre de l'épée mon âme "; et: " Transperce mes chairs car une bande de vauriens m'assaille ".

    14 Et ailleurs: " Voici: j'ai tendu mon dos aux fouets et mes joues aux soufflets. J'ai rendu mon visage dur comme la pierre " .

    6 1 Sur le temps où il aura accompli sa mission, que dit-il ?

    " Qui oserait m'intenter un procès ?

    Qu'alors nous comparaissions ensemble!

    Qui estime avoir un droit contre moi ?

    Qu'il s'approche de moi.

    2 Malheur à vous! Tous, vous vous en irez en loques comme un vêtement

    Et la teigne vous rongera "

    Le prophète parle encore du temps où il sera placé comme une solide pierre à moudre: " Voici que je pose pour assises de Sion une pierre précieuse, de choix, une pierre d'angle de grande valeur " .

    3 Et aussitôt il ajoute: " Celui qui croira en lui vivra éternellement " . C'est donc sur une pierre que repose notre espérance? A Dieu ne plaise; mais il veut dire que le Seigneur a durci sa chair: " J'ai rendu mon visage dur comme pierre ".

    4 Ailleurs le prophète dit: " La pierre qu'ont rejetée les bâtisseurs est devenue la tête de l'angle "; et encore: " Voici le jour que le Seigneur a fait; jour de grandes merveilles ".

     

    5 Je vous écris tout simplement pour que vous compreniez, moi, pauvre rebut aux pieds de votre charité.

    6 Que dit encore le prophète?: " Une bande de vauriens m'assaillent "; " Ils m'ont environné comme les abeilles un rayon de miel " ; et: " Ils ont tiré mes vêtements au sort " .

    7 Ainsi comme il devait se révéler dans la chair et y souffrir, sa passion a été prédite d'avance. Le prophète, en effet, dit au sujet d'Israël: " Malheur à leur âme: car le complot qu'ils complotent c'est à eux qu'il nuira lorsqu'ils disent: Lions le juste, car il nous gêne ".

    8 Et que leur dit Moïse, un autre prophète: " Entrez dans le pays que j'ai promis par serment à Abraham, Isaac et Jacob. Prenez-en possession, c'est votre héritage, une terre où coulent le lait et le miel "

    9 Mais apprenez ce que dit la gnose: " Espérez en Jésus qui se manifestera à vous dans la chair. " Or l'homme est une terre de souffrance puisque Adam fut modelé avec de la terre.

    10 Pourquoi donc est-il dit " Allez dans une terre excellente où coulent le lait et le miel " (Ex 33,3 ).

    Loué soit notre Seigneur, frères, qui nous a donné la sagesse et l'intelligence de ses secrets. Le prophète nous trace bien une allégorie du Christ. Qui saura le comprendre, si ce n'est celui qui est sage et instruit et aimé du Christ ?

    11 Lorsqu'il nous a renouvelés par la rémission des péchés, il nous a donne une forme nouvelle, nous donnant une âme d'enfant comme s'il nous créait à nouveau.

    12 Car c'est de nous que parle l'Écriture lorsque Dieu parle ainsi au Fils: " Faisons l'homme à notre image et ressemblance, et qu'il domine sur les oiseaux du ciel et le poissons de la mer " (Gn 1,26 ).

    Et le Seigneur, voyant l'oeuvre merveilleuse que nous étions, dit encore: " Croissez, multipliez, remplissez la terre ! (Gn 1,28 ).

    Ces paroles sont donc à l'adresse du Fils.

    13 Mais je vais vous montrer encore comment il affirme avoir fait, dans les derniers temps, une deuxième création. Le Seigneur dit en effet: " Voici, je vais faire les dernières choses comme les premières " (cf. Mt 19,30 Mt 20,16 ).

    *C'est à cela que se réfère la parole du prophète: " Entrez dans le pays où coulent le lait et le miel et rendez-vous en les maîtres " (Ex 33,3 Gn 1,28 ).

    14 Or, remarquez-le, nous avons été créés à nouveau comme on peut le lire dans un autre prophète: " Quant à ceux-là, dit le Seigneur, -- c'est-à-dire ceux que l'Esprit du Seigneur voyait d'avance-- je leur ôterai leur coeur de pierre et je leur donnerai un coeur de chair " (Ez 11,19 Ez 36,26 ). C'est que lui-même devait se manifester dans la chair et habiter chez nous. 15 Oui, c'est un temple saint pour le Seigneur, frères, que l'habitation de nos coeurs. 16 Car il dit encore: " Où me présenter devant le Seigneur mon Dieu pour être glorifié? " (cf. Ps 61,3 ); et il répond: " Je te confesserai dans l'assemblée de mes frères, je te chanterai au milieu de l'assemblée des saints " (cf. Ps 21,23 ).

    C'est donc bien nous qu'il a conduits dans cette terre excellente. 17 Pourquoi donc le lait et le miel? Parce que l'enfant est nourri d'abord de miel, puis de lait. C'est pourquoi nous aussi, nourris par la foi en la promesse et par la parole, nous vivrons et serons les maîtres de la terre. 18 Le Seigneur avait prophétisé comme nous disions plus haut: " Qu'ils croissent et se multiplient et dominent sur les poissons " (Gn 1,28 ). Or, qui donc peut maintenant commander aux bêtes, aux poissons, aux oiseaux du ciel? Car il nous faut remarquer que commander, c'est avoir le pouvoir d'imposer l'ordre donné. 19 Or ceci n'est pas encore réalisé; le Seigneur nous a dit quand il en serait ainsi: lorsque nous serons entrés pleinement dans l'héritage du testament du Seigneur.

     

    7 1 Mettez-vous donc dans l'esprit, enfants de l'allégresse, que notre excellent Seigneur nous a tout révélé d'avance afin que nous sachions à qui doivent aller toujours nos actions de grâces et nos louanges. 2 Or, si le Fils de Dieu, lui, le Seigneur, " qui doit juger les vivants et les morts " (2Tm 4,1 ) a souffert pour que ses meurtrissures nous donnent la vie, croyons aussi que le Fils de Dieu n'a pu souffrir qu'à cause de nous .

     

    3 Mais, sur la croix, " il fut abreuvé de vinaigre et de fiel " (cf. Mt 27,34-48 ). Écoutez comment les prêtres du Temple l'avaient indiqué. Il y avait, dans l'Écriture, ce précepte: " Celui qui ne jeûnera pas le jour du jeûne sera mis à mort " (cf. Lc 23,29 ) parce que le Seigneur devait, pour nos péchés, offrir en sacrifice le vase renfermant son esprit, pour accomplir ce que figurait le sacrifice d'Isaac sur l'autel. 4 Or, qu'est-il dit dans le prophète? " Qu'ils mangent du bouc offert au jour du jeûne pour tous les péchés. "Et, faites-y bien attention, " les prêtres seuls mangèrent les viscères non lavés avec du vinaigre " (Aut. inconnu). 5 Pourquoi? Parce que, moi qui vais offrir ma chair en sacrifice pour les péchés de mon nouveau peuple, " vous m'abreuverez de vinaigre et de fiel " (Mt 27,34 ). Vous me mangerez, vous seuls, pendant que le peuple jeûnera et se frappera la poitrine sur le sac et la cendre. Et pour montrer que c'est par eux qu'il lui faut souffrir: 6 " Prenez deux boucs, de bon poids et de même taille; que le prêtre en prenne un et l'offre comme holocauste " (Lv 16,7-9 ). 7 Et l'autre bouc, qu'en feront-ils: " Que celui-ci soit maudit " (cf. Lv 16,8-10 ).

    Or, remarquez comment c'est Jésus qui est manifesté ici en figure: 8 " Crachez tous sur lui, percez-le avec un aiguillon, coiffez-le d'une laine rouge écarlate et chassez-le ainsi dans le désert " (Aut. Inc.). Et lorsque tout cela est accompli, celui qui tient le bouc le conduit vers le désert, lui enlève la laine, et la met sur un buisson, que nous appelons ronce: nous aimons en manger les fruits lorsque nous en trouvons dans la campagne, il n'y a que ceux de la ronce pour être si doux.

     

    9 Mais faites attention à la signification de ce fait. " Un bouc sur l'autel, l'autre est maudit " (Lv 16,8 ); et celui qui est maudit est couronné. C'est qu'ils verront un jour Jésus, le corps enveloppé dans le vêtement écarlate et ils diront: " N'est-ce pas celui que nous avons autrefois crucifié, outragé, couvert de coups et de crachats? " En vérité, c'est bien cet homme qui affirmait alors qu'il était le Fils de Dieu.

     

    10 Mais pourquoi un bouc semblable à un autre? " Les deux boucs doivent être semblables, de belle apparence, de même taille " (cf. Lv 16,7 ), pour exprimer que voyant le Christ revenir, les Juifs seront frappés de stupeur par sa ressemblance avec le Crucifié. C'est là la ressemblance des boucs. Voici donc la figure de Jésus qui devait souffrir.

     

    11 Mais pourquoi a-t-on déposé la laine au milieu des épines? C'est une figure de Jésus proposée pour l'Église; elle veut dire que si on veut enlever la laine pourpre, il faut beaucoup souffrir car les épines sont cruelles et ce n'est qu'en peinant qu'on peut s'en emparer. C'est ainsi, dit le Seigneur, que ceux qui veulent me voir et atteindre mon Royaume doivent m'obtenir par les tribulations et les souffrances (cf. Nb 19 ).

     

    8 1 Et ce précepte fait à Israël, de quoi est-il la figure, à votre avis? Les hommes coupables de péchés graves doivent offrir une génisse, l'égorger et la brûler; ensuite de jeunes enfants recueillent la cendre, la mettent dans des vases; puis ils enroulent autour d'un bois de la laine écarlate (encore une figure de la croix, encore une fois la laine écarlate) et de l'hysope. Enfin ces jeunes gens aspergent tout le peuple, individu par individu, afin de les purifier de leurs péchés. 2 Voyez comme ce fait est simple à interpréter. La génisse, c'est Jésus, les hommes pécheurs qui l'offrent sont ceux qui l'ont mené à la tuerie. Mais après, ils ne sont plus, ces hommes; elle n'est plus, la gloire des pécheurs. 3 Les jeunes gens qui aspergent sont ceux qui proclament la bonne nouvelle de la rémission des péchés et de la purification des coeurs. A eux furent confiés tous les pouvoirs pour proclamer l'Évangile; ils étaient douze, justifiant par leur nombre les tribus (il y avait, en effet, douze tribus en Israël). 4 Et pourquoi trois jeunes gens étaient-ils chargés de l'aspersion? A cause d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, tous trois grands devant Dieu. 5 Pourquoi la laine sur le bois? Parce que la royauté de Jésus repose sur le bois, et ceux qui espèrent en lui vivront éternellement. 6 Pourquoi avec la laine, l'hysope? Parce que dans son royaume, il y aura des jours mauvais, des jours de souillure, et nous, nous serons sauvés, comme le malade guérit avec le jus de l'hysope. 7 Ainsi, quand les événements sont si limpides pour nous, et si obscurs pour les autres, c'est que ceux-ci n'ont pas écouté la parole du Seigneur.

     

    9 1 Car c'est des oreilles qu'il parle lorsqu'il nous dit comment il a circoncis nos coeurs. Le Seigneur dit dans le prophète: " Ils sont tout oreilles et m'obéissent " (Ps 17,45 ). Et ailleurs: " Ils écouteront, les plus lointains, ils sauront ce que j'ai fait " (Is 33,13 ). Et ailleurs: " Circoncisez vos coeurs " (Jr 4,4 ). 2 Puis encore: " Écoute, Israël, voici ce que dit le Seigneur ton Dieu " (Jr 7,2-3 ). Ailleurs l'Esprit du Seigneur prophétise: " Où est l'homme qui désire la vie à jamais? Qu'il prête l'oreille à la voix de mon serviteur " (Ps 33,13 Ex 15,26 ). 3 Et encore: " Cieux, écoutez, terre, prête l'oreille, car le Seigneur dit ces choses afin qu'elles vous soient un témoignage " (Is 1,2 ). Et aussi: " Écoutez la parole du Seigneur, princes de ce peuple " (Is 1,10 ). Ou bien:

    Écoutez, enfants, la voix qui crie dans le désert " (Is 40,3 ). Ainsi donc il a circoncis notre ouïe afin qu'écoutant sa parole, nous ayons la foi. 4 Mais l'autre circoncision en laquelle ils avaient mis leur espérance, elle est anéantie. Il leur avait dit que la circoncision ne concernait pas la chair. Mais ils passèrent outre, car un mauvais ange les avait séduits.

     

    5 Dieu leur dit: " Voici ce que dit le Seigneur votre Dieu (): " Ne semez pas sur les épines, soyez circoncis pour le Seigneur " (Jr 4,3-4 ). Et que dit-il encore?: " Circoncisez votre coeur et ne raidissez plus votre nuque " (). Ajoutez ceci: " Voici, dit le Seigneur: Tous ces peuples-là sont incirconcis du prépuce, mais ce peuple-ci est incirconcis du coeur " (Jr 9,25-26 ).

     

    6 Mais, dira-t-on, la circoncision pour le peuple était comme un sceau d'alliance. Or tous les Syriens et les Arabes, les prêtres des idoles faisaient de même. Est-ce qu'ils appartiennent donc également à l'Alliance? Les Égyptiens aussi pratiquent la circoncision.

     

    7 Soyez abondamment instruits sur toutes choses, enfants de la dilection: Abraham, qui le premier a pratiqué la circoncision, le fit en contemplant en esprit Jésus; il avait, en effet, été initié au sens des trois lettres. 8 L'Écriture dit en effet: " Abraham circoncit les hommes de sa maison au nombre de 18 et 300 " (cf. Gn 17,23-27 Gn 14,14 ). De quel mystère reçut-il donc la connaissance? Remarquez qu'on nomme d'abord les dix-huit, et après un intervalle les trois cents. Dix-huit, c'est: dix, iota, huit, êta --ce qui fait I H = Jésus. Et comme la croix en forme de tau est source de la grâce, on ajoute encore trois cents = T. Jésus est désigné par les deux lettres, la croix par la seule troisième. 9 Il le sait bien, celui qui a mis en nous le don de sa doctrine; personne n'a entendu de moi explication plus profonde. Mais je sais que vous en êtes dignes.

     

    10 1 Si Moise dit: " Vous ne mangerez ni porc, ni aigle, ni épervier, ni corbeau, ni poisson dépourvu d'écailles " (cf. Lv 11 Dt 14 ) c'est qu'il avait reçu l'intelligence d'un triple enseignement. 2 Cependant le Seigneur dit, dans le Deutéronome: " J'exposerai à ce peuple mes volontés " (cf. Dt 4,1-5 ). Ce n'est donc pas un commandement de Dieu que de ne pas manger, mais Moïse a parlé au sens spirituel. 3 Voilà ce qu'il voulait dire à propos du porc: " Ne va pas t'attacher à ces hommes qui sont semblables à des porcs: quand ils sont dans les délices, ils oublient le Seigneur; dans ils sont dans le dénuement, ils se souviennent de lui, exactement comme le porc qui, lorsqu'il se repaît, ne connaît plus son maître, mais se met à grogner lorsqu'il a faim. Puis lorsqu'il a reçu sa pâture se tait derechef.

     

    4 " Tu ne mangeras pas non plus ni aigle, ni épervier, ni milan, ni corbeau " (Lv 11,13-16 ): ne va pas t'attacher, pour leur devenir semblable, à ces hommes qui ne savent pas gagner leur pain au prix de leur peine et de leur sueur, mais qui s'emparent injustement du bien d'autrui. Ils sont aux aguets, tout en se promenant avec un air candide, et ils épient la proie que leur convoitise va dépouiller; comme ces oiseaux, les seuls de l'espèce, qui au lieu de se procurer leur nourriture, restent perchés paresseusement, et cherchent à dévorer les autres, vraie peste par leur malfaisance.

     

    5 " Tu ne mangeras pas non plus de murène, ni de polype, ni de sèche (cf. Lv 11,10 ). Ne vas pas devenir semblable, pour t'y être attaché, à ces hommes totalement impies, et déjà condamnés à la mort, qui ressemblent à ces poissons, seuls à être maudits, qui nagent dans les profondeurs, non pas quand ils plongent seulement, mais qui ont élu dans les bas-fonds de l'abîme leur demeure.

     

    6 " Tu ne mangeras pas non plus de lièvre. " Pourquoi? Cela veut dire: tu ne seras pas corrupteur d'enfants et m n'imiteras pas les gens de cette sorte; car le lièvre acquiert chaque année un anus de plus; autant il a d'années, autant il a d'ouvertures.

     

    7 " Tu ne mangeras pas non plus de la hyène " (Aut. inc.). C'est-à-dire tu ne seras ni adultère, ni séducteur, tu n'imiteras pas les gens de cette sorte. Pourquoi? Parce que cet animal change de sexe tous les ans, il est tour à tour mâle et femelle.

     

    8 Moïse a également haï " la belette " (Lv 11,29 ) d'une sainte haine. Ne va pas ressembler, veut-il dire, à ces personnes qui, dit-on, commettent de leur bouche le péché d'impureté; ne te lie pas avec ces personnes impudiques qui pèchent avec leur bouche. Tel cet animal qui conçoit par la gueule.

     

    9 Ainsi Moïse qui avait reçu un triple enseignement sur les aliments, a-t-il usé d'un langage spirituel. Mais les Juifs, charnels comme ils l'étaient, comprirent qu'il s'agissait de la nourriture.

     

    10 David reçut la connaissance de ce même triple enseignement, et il s'exprime de la même manière " Heureux l'homme qui ne va pas au conseil des impies " comme les poissons qui gagnent dans les ténèbres les bas-fonds de la mer; " ni dans la voie des égarés ne s'arrête " comme ceux qui se donnent l'apparence de craindre Dieu et pèchent comme le porc; " ni au banc de pestilence ne s'assied " (Ps 1,1 ), comme les oiseaux perchés en vue de la rapine. Vous voici comblés au sujet de la nourriture.

     

    11 Moïse dit encore: " Vous mangerez du ruminant qui a le pied fourchu " (Lv 11,3 Dt 14,6 ). Pourquoi dit-il cela? Parce que le ruminant, quand il reçoit sa nourriture, montre qu'il connaît celui qui la lui présente, et semble se plaire près de lui, au repos. Moïse avait vu bien juste en faisant ce précepte. Or, que veut-il dire? Attachez-vous à ceux qui craignent le Seigneur, qui ont le souci de la portée de la parole qu'ils ont reçue en leur coeur, à ceux qui s'entretiennent des commandements du Seigneur et les gardent, à ceux qui savent que cette occupation est source de joie, et qui ne cessent de remâcher la parole du Seigneur. Mais le pied fourchu? C'est parce que le juste sait à la fois marcher en ce monde et attendre la sainte éternité. Voyez comme Moïse a sagement édicté ses lois. 12 Comment les Juifs pouvaient-ils concevoir et comprendre ces choses? Mais nous, nous avons compris les commandements du Seigneur, et nous les exprimons tels qu'il les a voulus. C'est justement pour que nous en ayons l'intelligence que nos coeurs et nos oreilles ont été circoncis.

     

    11 1 Recherchons maintenant si le Seigneur a pris soin de manifester à l'avance l'eau et la croix. Au sujet de l'eau, il est écrit, à l'adresse d'Israël, qu'ils ne recevraient pas le baptême qui procure la rémission des péchés, mais qu'ils essaieraient de se fabriquer à eux-mêmes leur salut.

     

    2 Le prophète dit en effet :

    " Terre frémis de stupeur, plus encore,

    Car c'est un double méfait que ce peuple a commis :

    Ils m'ont abandonné, moi la source d'eau vive,

    Pour se creuser à eux-mêmes une citerne de mort "

    (Jr 2,12-13 ).

     

    3 " Est-elle une roche déserte,

    Ma montagne sainte, Sion ?

    Vous serez comme une nichée d'oiseaux,

    Voletant çà et là, arrachés du nid " (Is 16,1-2 ).

     

    4 Le prophète dit encore:

    " Moi je marcherai devant toi

    En nivelant les hauteurs.

    Je fracasserai les battants de bronze,

    Je briserai les barres de fer.

    Je te livrerai les trésors secrets,

    Et les richesses cachées,

    Pour qu'ils sachent que je suis, moi, le Seigneur Dieu " (Is 45,2-3 ).

     

    5 Et encore :

    " Tu habiteras dans une citadelle élevée,

    Bâtie sur le roc,

    L'eau ne te fera pas défaut.

    Tes yeux contempleront le roi dans sa gloire,

    Et votre âme aura souci de la crainte du Seigneur " (Is 33,16-18 ).

     

    6 Et dans un autre prophète, il dit encore :

    " Celui qui agit ainsi sera comme l'arbre,

    Planté près du cours des eaux,

    Qui donne son fruit en la saison,

    Et jamais son feuillage ne tombera.

    Tout ce qu'il fait réussit.

     

    7 Rien de tel pour les impies, rien de tel.

    Non, ils sont comme la bale emportée par le vent

    De sur la terre.

    Non, au jugement les impies ne tiendront,

    Les égarés à l'assemblée des justes.

    Car le Seigneur connaît la voie des justes,

    Mais la voie des impies va se perdre " (Ps 1,3-6 ).

     

    8 Remarquez comme il décrit à la fois la croix et l'eau. Voici en effet ce qu'il veut dire: Bienheureux ceux qui ayant mis leur espérance dans la croix, sont descendus dans l'eau, car il indique la récompense par ces mots " en la saison "; à ce moment-là, veut-il dire, je m'acquitterai envers toi. Et ces mots: " jamais son feuillage ne tombera " (Ps 1,3 ), en voici le sens: toute parole qui sortira de votre bouche, sous l'inspiration de la foi et de la charité, sera la conversion et l'espérance d'un grand nombre.

     

    9 Un autre prophète dit encore: " Le pays de Jacob recevait des louanges, plus que tout autre " (cf. So 3,19 ). Ce qui veut dire que Dieu glorifie le vase qui renferme son esprit. 10 Et qu'est-il dit encore: " Il y avait un fleuve coulant sur la droite, de ses berges s'élevaient des arbres féconds, celui qui mange de leur fruit vivra éternellement " (Ez 47,2 Ez 47,7 Ez 47,12 ). 11 Comprenons: nous descendons dans l'eau, remplis de péchés et de souillures, mais nous en sortons, chargés de fruits, avec dans notre coeur la crainte et, dans l'esprit, l'espérance en Jésus. " Quiconque en mange vivra éternellement " signifie: quiconque écoute ces paroles et croit, vivra éternellement.

     

    12 1 Il décrit également la croix, par ces paroles d'un autre prophète: " Quand ces choses seront-elles accomplies? Lorsque le bois, dit le Seigneur, aura été abaissé et redressé, et lorsque du bois le sang aura coulé " (cf. IV Esdras 4, 33; 5, 5). Voici donc ce qui se rapporte à la croix et à celui qui doit y être crucifié.

     

    2 Dieu parla encore à Moise lorsque Israël était à se défendre contre les tribus étrangères; il lui remémora que cette guerre même était le signe de la mort qu'ils méritaient à cause de leurs péchés. L'Esprit-Saint inspira à Moïse une attitude figurant la croix et Celui qui devait y souffrir, car voilà le sens du geste: moins d'espérer en cette croix, ils seraient livrés à une guerre éternelle. Moïse entassa donc boucliers sur boucliers au milieu du champ de bataille, et se plaçant sur le tas de façon à dominer les autres, il étendit les bras; c'est ainsi qu'Israël reprit l'avantage. Après un moment, Moïse ayant laissé retomber ses bras, Israël succombait à nouveau (Ex 17,8-13 ). 3 Qu'est- ce à dire? C'était pour leur faire reconnaître qu'ils ne pouvaient être sauvés que s'ils mettaient en lui leur espérance.

     

    4 Le Seigneur dit encore dans un autre prophète: " Tout le jour j'ai tendu mes mains vers un peuple rebelle, et rétif à mes justes voies " (Is 65,2 ).

     

    5 Moïse figura d'une autre façon encore Jésus, montrant qu'il devait souffrir et que c'est lui qui donne la vie, lui qu'ils s'imagineront avoir fait périr. Israël succombait. Pour leur donner un signe, le Seigneur les fit mordre par toutes sortes de serpents et ils mouraient (cf. Nb 21,6-9 ) ( car c'est par le serpent que la désobéissance est apparue dans la personne d'Ève ). Or, le Seigneur agissait ainsi pour les convaincre que c'était à cause de leur désobéissance qu'ils étaient livrés aux angoisses de la mort.

     

    6 Finalement, Moïse, qui avait publié ce précepte: " Vous n'aurez point d'image sculptée ou fondue pour votre Dieu " (Dt 27,15 ), fabriqua néanmoins une telle image pour manifester une figure de Jésus. Il fabriqua donc un serpent d'airain, le dressa solennellement et fit convoquer le peuple par un héraut. 7 Le peuple réuni priait Moise d'intercéder pour leur guérison. Alors Moïse leur dit: " Lorsque quelqu'un d'entre vous sera mordu, qu'il vienne vers le serpent étendu sur le bois; qu'il espère; qu'il croie que celui-ci, même sans vie, peut le vivifier, et aussitôt il sera sauvé " (cf. Nb 21,8-9 ).

    Ainsi firent-ils. Voici bien la gloire de Jésus: tout a eu lieu en lui et pour lui.

     

    8 Et que dit Moïse à Jésus, fils de Navé, après lui avoir imposé ce nom comme à un prophète, dans la seule intention de faire comprendre au peuple que le Père révèle toutes choses au sujet de son Fils Jésus? 9 Après lui avoir donné ce nom, en l'envoyant explorer le pays, Moïse dit à " Jésus, fils de Navé " (Nb 13,16 ): " Prends un livre dans tes mains et écris ce que dit le Seigneur: dans les derniers jours, le Fils de Dieu renversera de fond en comble la maison d'Amaleq " (cf. Ex 17,14 ).

     

    10 Voilà de nouveau Jésus, figuré dans un être de chair, non pas comme fils d'homme, mais comme fils de Dieu. Mais comme les Juifs devaient dire un jour que le Christ est " fils de David " (Mt 22,42-44 ), David lui-même, qui redoutait l'erreur de ces pécheurs et qui en avait la connaissance, s'écrie prophétiquement: " Le Seigneur a dit à mon Seigneur, siège à ma droite; tes ennemis, j'en ferai ton marchepied " (Ps 109,1 ).

     

    11 Et de même Isaïe :

    " Le Seigneur a dit à son Oint, mon Seigneur,

    Qu'il a pris par la main droite,

    Pour abattre devant lui les nations

    Et briser la puissance des rois " (Is 45,1 ).

     

    Voilà comment " David l'appelle mon Seigneur ", et non pas mon fils (Mc 12,37 Mt 22,45 Lc 20,44 ).

     

    13 1 Voyons maintenant à qui est l'héritage: au peuple que nous sommes, ou bien au précédent; et à qui s'adresse l'alliance, à nous ou à eux? 2 Écoutez donc ce que dit l'Écriture au sujet du peuple: " Isaac implora le Seigneur pour sa femme, car elle était stérile " (). Ensuite: " Rébecca alla consulter le Seigneur, et le Seigneur lui dit: Deux nations sont dans ton sein, deux peuples dans tes entrailles, un peuple dominera l'autre, l'aîné servira le cadet " (Gn 25,22-23 ; cf. Rm 9,10-12 ). 3 Vous devez saisir qui est Isaac, qui est Rébecca, et de quel peuple il est déclaré qu'il est plus grand que l'autre.

     

    4 Dans une autre prophétie, Jacob éclaire encore ce point, lorsqu'il dit à Joseph: " Voici que le Seigneur ne m'a pas privé de ta présence, conduis-moi tes fils, que je les bénisse (Gn 48,9-11 ) 5 Et Joseph lui conduisit Éphraïm et Manassé, pour qu'il bénisse Manassé qui était l'aîné. Joseph le conduisit donc à la droite de son père.. Mais Jacob vit là, en esprit, la figure du peuple à venir. Qu'est-il écrit? " Jacob croisa ses mains et posa sa droite sur la tête d'Éphraïm, le puîné et le plus jeune, et il le bénit. Joseph dit alors à Jacob: Remets donc ta main droite sur la tête de Manassé, car c'est lui mon fils premier-né. Et Jacob dit à Joseph: Je sais, mon fils, je sais. Mais le plus grand servira le plus petit, et c'est le plus petit qui sera béni " (Gn 48,14 Gn 48,18-19 ).

     

    6 Voyez à qui Jacob a décidé que serait la prédominance, et l'héritage de l'alliance. 7 Si Abraham lui-même a fait mention de ce fait, notre connaissance en sera parfaite. Or, qu'est-ce que Dieu dit à Abraham, lorsqu'il fut le seul à croire, et que sa foi lui fut imputée à justice? " Voici, je t'ai appelé Abraham, et t'ai établi père des peuples incirconcis qui croient à Dieu " (Gn 17,5 s).

     

    14 1 Bien, voyons maintenant si l'alliance qu'il avait juré à leurs pères de donner à ce peuple, lui fut vraiment donnée. Elle leur fut donnée. Mais ils n'en ont pas été dignes à cause de leurs péchés. 2 Le prophète dit, en effet: " Moïse sur le mont Sinaï jeûna quarante jours et quarante nuits afin de recevoir l'alliance du Seigneur avec son peuple, et Moïse reçut du Seigneur deux tables écrites en esprit, du doigt de la main du Seigneur (cf. Ex 24,18 Ex 31,18 ). Les ayant donc en main il les portait au peuple pour les leur remettre, 3 Lorsque le Seigneur lui dit: " Moïse, Moïse, descends au plus vite, car ton peuple, que tu as ramené d'Égypte, a péché. " Moïse comprit qu'ils s'étaient encore fabriqué des idoles et il jeta les Tables de ses mains; c'est ainsi que furent brisées les Tables de l'alliance du Seigneur (cf. Ex 32,7-19 Dt 9,12-17 ). 4 Moïse avait donc reçu l'alliance, mais eux, les Juifs, n'en étaient pas dignes. Apprenez comment c'est nous qui avons reçu l'alliance. Moïse l'avait reçue comme un serviteur, mais le Seigneur lui-même nous l'a donnée comme à un peuple d'héritiers, après avoir souffert pour nous. 5 Il est apparu à la fois pour permettre aux Juifs de pousser jusqu'au bout leurs péchés, et à nous-mêmes de recevoir l'alliance par l'intermédiaire de l'héritier, le Seigneur Jésus.

    Son avènement avait été préparé, afin que par lui nos âmes, déjà atteintes par la mort et livrées aux égarements du péché fussent délivrées de leurs ténèbres et que l'alliance fût établie avec nous par sa parole. 6 L'Écriture explique, en effet, comment le Père lui commande de nous délivrer des ténèbres, et de se préparer un peuple saint.

     

    7 Or, le prophète dit: " Moi, le Seigneur ton Dieu, je t'ai appelé dans la justice. Je te prendrai par la main et je te fortifierai. Je t'ai désigné comme alliance du peuple, lumière des nations, pour ouvrir les yeux des aveugles, faire sortir de prison les captifs, et de leur cachot ceux qui demeurent dans les ténèbres " (Is 42,6-7 ). Connaissons donc de quel état nous avons été délivrés.

    8 Le prophète dit encore: " Voici, j'ai fait de toi la lumière des nations, pour que, par toi, mon salut atteigne aux extrémités de la terre. Ainsi parle le Seigneur, le Dieu qui t'a racheté " (Is 49,6-7 ).

    9 Et aussi :

    " L'Esprit du Seigneur est sur moi

    Car il m'a oint

    Pour porter la bonne nouvelle de la grâce aux pauvres ;

    Il m'a envoyé panser les coeurs meurtris,

    Annoncer aux prisonniers la liberté,

    Le retour de la vue aux aveugles.

    Pour annoncer une année agréable au Seigneur,

    Et le jour de la rétribution,

    Pour consoler tous les affligés " (Is 61,1-2 ; cf. Lc 4,18-19 ).

    15 1 L'Écriture mentionne également le sabbat dans les dix paroles que Dieu dit à Moïse, sur le Mont Sinaï, lui parlant face à face. " Sanctifiez le sabbat du Seigneur avec des mains pures et un coeur pur " (Ex 20,8 Dt 5,12 Ps 23,4 ). 2 Dans un autre endroit: " Si mes fils observent le sabbat, c'est alors que je répandrai sur eux ma miséricorde " (cf. Jr 17,24-25 Ex 31,13-17 ). 3 Du sabbat, il est fait mention dès le commencement, à la création: " Dieu fit en six jours les oeuvres de ses mains; le septième jour elles étaient achevées; et il chôma le septième jour et le bénit " (Gn 2,2-3 ). 4 Faites attention, mes enfants, à ce que signifient ces mots: " Il acheva son oeuvre en six jours. " Cela veut dire qu'en six mille ans, le Seigneur achèvera toutes choses, car pour lui un jour signifie mille années. C'est lui-même qui l'atteste par ces mots: " Voici, un jour du Seigneur sera comme mille années " (Ps 89,4 2P 3,8 ). Donc, mes enfants, en six jours, c'est-à-dire en six mille ans, toutes choses auront achevé leur cours. 5 " Il chôma le septième " () veut dire: lorsque son Fils sera venu mettre une fin au temps de l'injustice, juger les impies, métamorphoser le soleil, la lune et les étoiles, alors il chômera pleinement le septième jour. 6 Mais il est encore dit: " Vous le sanctifierez avec des mains pures et un coeur pur " (Ex 20,8 Ps 23,4 ).

    S'il y avait aujourd'hui un homme capable de sanctifier, par la pureté de son coeur, le jour que Dieu a rendu saint, notre erreur serait totale. 7 Mais remarquez-le bien, nous n'entrerons pleinement dans le repos pour le sanctifier, que lorsque nous serons nous-mêmes justifiés; nous serons en possession de la promesse, lorsqu'il n'y aura plus d'injustice et que le Seigneur aura renouvelé toutes choses. Alors nous pourrons sanctifier le septième jour, ayant été nous-mêmes d'abord sanctifiés

     

    8 Le Seigneur dit enfin aux Juifs: " Je ne supporte pas vos néoménies ni vos sabbats " (Is 1,13 ). Voyez bien ce qu'il veut dire: ce ne sont pas vos sabbats actuels qui me sont agréables, mais celui que j'ai fait moi-même et dans lequel, mettant toutes choses au repos, j'inaugurerai le huitième jour, c'est-à-dire un univers nouveau. 9 Voilà pourquoi nous célébrons dans l'allégresse le huitième jour celui où Jésus est ressuscité des morts et où, après s'être manifesté, il est monté aux cieux.

     

    16 1 Je veux vous entretenir encore du Temple, de l'erreur de ces malheureux qui mettaient leur espérance dans un édifice, au lieu de la mettre en Dieu leur créateur, sous prétexte que cet édifice était la maison de Dieu. 2 Le culte qu'ils rendaient dans le Temple ne différait pas beaucoup des cultes païens.

    Mais apprenez en quel terme Dieu récuse ce Temple :

    " Qui a mesuré le ciel à l'empan,

    Et la terre dans le creux de sa main ?

    N'est-ce pas moi, dit le Seigneur ?

    Le ciel est mon trône

    Et la terre l'escabeau de mes pieds.

    Quelle maison pourriez-vous me bâtir,

    Et quel lieu assigner à mon repos? " (Is 40,12 Is 66,1 ).

    Vous avez reconnu que leur espérance est vaine.

     

    3 Enfin il dit encore: " Voici que ceux-là mêmes qui ont détruit ce Temple, le rebâtiront " (cf. Is 49,17 ). 4 En effet, par suite de la guerre, le Temple fut détruit par leurs ennemis, et maintenant les serviteurs de ces ennemis le rebâtiront.

     

    5 Il avait été dévoilé aussi que la cité, le Temple et le peuple seraient livrés. " Il arrivera dans les derniers jours, dit l'Écriture, que le Seigneur livrera les brebis de son pâturage, avec leur bercail et leur tour, à la destruction. " Et tout s'est passé comme le Seigneur l'avait prédit.

     

    6 Mais recherchons s'il existe encore un temple de Dieu. Il en existe un, oui, mais là où lui-même déclare le bâtir et le restaurer. Il est écrit en effet: " Il arrivera qu'après une semaine un temple de Dieu sera bâti, magnifiquement, au nom du Seigneur " (cf. ). 7 Je vois donc que ce temple existe. Mais comment sera-t-il bâti au nom du Seigneur? Vous allez l'apprendre. Avant que nous eussions la foi en Dieu, l'intérieur de nos coeurs était corruptible et fragile, vraiment comme une demeure faite te main d'homme; il était rempli d'idolâtrie, habité par les démons, puisque nous faisions tout ce qui est contraire à la volonté de Dieu. 8 " Mais il sera bâti au nom du Seigneur " (cf. ). Faîtes bien attention, que le temple du Seigneur soit magnifiquement rebâti ! Comment? Vous allez l'apprendre. C'est en recevant la rémission des péchés et en mettant notre espérance en son nom, que nous sommes renouvelés, que nous devenons de nouvelles créatures; et c'est pourquoi Dieu habite réellement en notre intérieur, en nous. 9 Comment cela? C'est par la parole de foi, qu'il habite en nous, par la vocation de la promesse, par la sagesse de ses volontés, les préceptes de sa doctrine. C'est lui qui prophétise en nous, lui, l'hôte de nos coeurs. C'est lui qui nous ouvre la porte du Temple, à nous qui étions les esclaves de la mort; et cette porte, c'est notre bouche, qu'il ouvre en nous donnant le repentir. C'est ainsi qu'il nous introduit dans le Temple impérissable. 10 Oui, celui qui désire son salut ne regarde pas à l'homme, mais à celui qui habite dans le coeur du prédicateur, qui parle par sa bouche, et il est tout frappé de n'avoir encore jamais entendu les paroles de celui qui parle par la bouche de son apôtre, et de n'avoir jamais même désiré les entendre. Voilà ce que signifie le Temple spirituel bâti pour le Seigneur.

    17 1 Je vous ai donné toutes ces explications de mon mieux, aussi simplement que possible, et mon âme espère n'avoir rien omis, dans son zèle, des enseignements qui concernent le salut. 2 Car si je vous écrivais sur des choses présentes ou à venir, vous ne les comprendriez pas, elles qui sont encore à l'état de paraboles. Restons-en donc là pour ce que nous venons de dire.

    18

    1 Passons encore à une autre sorte de connaissance et de doctrine. Il y a deux voies, répondant à deux sortes de doctrine et d'autorité: la voie de la lumière et celle des ténèbres. Elles sont bien éloignées l'une de l'autre ! A l'une sont préposés les anges de Dieu, qui conduisent vers la lumière; à l'autre, les anges de Satan. 2 Or, Dieu est le Seigneur depuis l'origine et pour les siècles, et Satan est le prince du temps présent, le temps de l'iniquité.

     

    19 1 Or, voici quel est le chemin de la lumière: si quelqu'un veut, en la suivant, parvenir au but qu'il se propose, il lui faut s'appliquer avec zèle à ses oeuvres. Et nous avons reçu la connaissance de la bonne manière d'emprunter cette route. 2 Aime celui qui t'a fait, crains celui qui t'a formé, honore celui qui t'a racheté de la mort. Sois simple de coeur, riche du Saint- Esprit. Ne t'attache pas a ceux qui suivent la voie de la mort. Sache haïr tout ce qui déplaît à Dieu, sache haïr toute hypocrisie. N'abandonne pas les commandements du Seigneur. 3 Ne t'élève pas, mais sois humble en toutes choses. Ne t'attribue pas la gloire; ne forme pas de mauvais desseins contre ton prochain, ne laisse pas ton âme s'enfler d'audace. 4 Ne commets ni fornication, ni adultère; ne corromps pas les enfants. Ne te sers pas de la parole, ce don de Dieu, pour dépraver quelqu'un. Ne fais point acception de personnes lorsqu'il s'agit de reprendre les fautes d'autrui. Sois doux, sois paisible, tremble aux paroles que tu entends. Ne garde pas rancune à ton frère. 5 Ne te demande pas avec inquiétude si la parole va s'accomplir ou non. " Tu ne prendras pas en vain le nom du Seigneur " (Dt 5,11 ). Tu aimeras ton prochain plus que ton âme. Tu ne feras pas mourir l'enfant dans le sein de sa mère, tu ne le feras pas mourir à sa naissance. Tu ne lèveras pas ta main de dessus la tête de ton fils ou de ta fille, mais dès leur enfance, tu leur enseigneras la crainte de Dieu. 6 Ne sois pas envieux des biens de ton prochain; ne sois pas cupide. N'attache pas ton coeur aux orgueilleux, mais fréquente les humbles et les justes. Accueille comme un bien tout ce qui t'arrive, sachant que rien ne se fait sans Dieu. 7 N'aie pas deux pensées, ni deux langages. Car c'est un piège de mort que la duplicité dans le langage. Obéis à tes maîtres comme à l'image de Dieu, dans le respect et la crainte. Ne commande pas ton serviteur ou ta servante avec amertume, car ils espèrent dans le même Dieu que toi, de peur qu'ils n'en viennent à perdre la crainte de Dieu, votre commun maître: car Dieu ne fait pas acception de personnes, lorsqu'il nous appelle; mais il choisit ceux que l'Esprit a disposés. 8 Tu partageras tous tes biens avec ton prochain, et tu ne diras pas que quelque chose t'appartient en propre, car si vous possédez en commun les biens impérissables, combien plus les biens qui doivent périr ! Ne sois pas bavard, la langue étant un piège de mort. Autant qu'il te sera possible, pour le bien de ton âme, sois chaste. 9 N'aie pas la main tendue pour recevoir, fermée pour donner. Tu aimeras " comme la prunelle de ton oeil " (Dt 32,10 Ps 16,8 ; cf. Ps 7,2 ), ceux qui te prêcheront la parole du Seigneur. 10 Souviens-toi du jour du jugement, penses-y jour et nuit, recherche constamment la compagnie des saints. Tiens-toi toujours sur la brèche, soir en annonçant la parole et en allant porter au loin tes exhortations dans ton souci de sauver les âmes, soit en travaillant de tes mains pour racheter tes péchés. 11 N'hésite pas à donner et donne sans murmure, et tu connaîtras un jour celui qui sait payer largement de retour. Garde ce que tu as reçu, " sans rien ajouter, ni rien retrancher " (Dt 12,32 ). Persévère dans la haine du mal. " Sois équitable quand tu as à juger " (Dt 1,16 Pr 31,9 ). 12 Ne fais pas de schismes, mais fais la paix en réconciliant les adversaires. Fais la confession publique de tes péchés. Ne va pas à la prière avec une conscience mauvaise. Telle est la voie de la lumière.

     

    20 1 La voie du " ténébreux " est au contraire tortueuse, et pleine de malédictions. C'est le chemin de la mort éternelle et du châtiment. On y rencontre tout ce qui perd les âmes: l'idolâtrie, l'impudence, l'orgueil de la puissance, l'adultère, le meurtre, la rapine, la vanterie, la désobéissance, la ruse, la malice, l'arrogance, les drogues, la magie, la cupidité, le mépris de Dieu, 2 Les persécuteurs des justes, les ennemis de la vérité, les amis du mensonge; car tous ces gens ne connaissent pas la récompense te la justice, ils " ne s'attachent pas au bien " (Rm 12,9 ), ils ne secourent pas la veuve ni l'orphelin; ils sont toujours en éveil non pour craindre Dieu, mais pour faire le mal. Bien loin de la douceur et de la patience, " ils aiment les vanités " (cf. Ps 4,3 ), " poursuivent le gain " (Is 1,23 ); sans pitié pour le pauvre, sans compassion pour l'affligé, ils sont prompts à la médisance, et, ne reconnaissant pas leur Créateur, " ils tuent les enfants " (Sg 12,5 ), font périr par avortement des créatures de Dieu. Ils repoussent le nécessiteux, accablent l'opprimé, se font les avocats des riches, les juges iniques des pauvres. Bref, ils pèchent de toutes les manières.

    21 1 Il est donc juste de s'instruire de toutes les volontés de Dieu consignées dans les Écritures, et de se diriger d'après elles. Car celui qui les accomplit sera glorifié dans le royaume de Dieu, mais celui qui choisit l'autre voie périra avec ses oeuvres. C'est pour cela qu'il existe une résurrection et une rétribution.

    22 J'ai quelque chose à vous demander, à vous qui êtes des privilégiés, si vous me permettez un conseil que m'inspire ma bienveillance. Vous avez parmi vous des gens à qui faire du bien; n'y manquez pas. 3 Il est tout proche le jour où tout périra aux yeux du méchant: " Le Seigneur est proche ainsi que sa rétribution " (Is 60,10 ). 4 Je vous en prie encore et encore: oyez à vous-mêmes vos bons législateurs, vos conseillers fidèles; éloignez-vous de toute hypocrisie. 5 Veuille le Seigneur, le Maître de l'univers, vous donner la sagesse, l'intelligence, la science, la connaissance de ses volontés avec la patience. 6 Faites-vous dociles à Dieu, recherchant ce que le Seigneur attend de vous, afin d'être trouvés fidèles au jour du jugement.7 S'il demeure quelque mémoire du bien, souvenez-vous de moi en méditant ces enseignements, afin que mon zèle et mes veilles aient porté quelque fruit; je vous en prie, c'est une grâce que je vous demande. 8 Tant que vous serez dans le précieux vase de votre corps, ne négligez aucun de ces enseignements, mais appliquez-y continuellement votre esprit et accomplissez tout ce qui est commandé; la chose en vaut la peine. 9 C'est pour cela surtout que je me suis empressé de vous écrire, sur les sujets à ma portée, voulant vous donner de la joie

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Lettre de Paul aux Laodicéens

    1. Paul, un apôtre du Christ Jésus par la volonté et la grâce de Dieu, et le frère Timothée

    2. à la sainte communauté de Laodicée, à tous les frères croyant en Jésus-Christ en son sein et aux sages par l'esprit de Dieu. La grâce et la véritable paix de Dieu,-notre Père, soient avec vous par le Seigneur Jésus-Christ!

    3. Sans cesse nous rendons grâce, nous louons et glorifions Dieu, le Père notre Seigneur Jésus-Christ. Nous avons grand souci de vous et prions sans cesse Dieu pour vous.

    4. Car nous avons appris par l'esprit du Seigneur, par le frère Epaphras et par Nymphas que vous êtes tombés en plusieurs points,

    5. que vous vous êtes choisis un évêque et un clergé, que vous voulez faire du Christ une idole, et que vous avez établi un édifice, un jour, et des habits chamarrés

    6. comme c'était en partie le cas parmi les païens et les juifs lorsque valait encore devant Dieu la circoncision de la chair qu'Il avait prescrite au temps du père Abraham en signe de la vivante circoncision de l'esprit par Jésus-Christ en vous.

    7. Je vous fais maintenant savoir cela afin que vous compreniez quel combat j'ai à souffrir à cause de vous qui avez vu et n'avez pas vu la chair de ma personne,

    8. afin que vous vous exhortiez puissamment dans votre cœur et qu'ensuite vous puissiez ressaisir votre amour en lequel est la richesse de la sure intelligence pour connaître le grand secret de Dieu le Père en Jésus-Christ,

    9. en qui sont cachés par l'esprit tous les trésors de la sagesse et de la science vivante.

    10. Je vous exhorte ainsi afin que personne ne vous séduise par de beaux discours logiques et par la philosophie des païens.

    11. En effet, la raison est également propre aux animaux tout comme la philosophie des païens, laquelle sacrifie aux idoles mortes! -

    12. Vous avez été rachetés par la mort de l'Unique pour la vie éternelle comment pouvez-vous à nouveau vouer à l'esprit des morts votre cœur qui est devenu la demeure du Saint-Esprit ?!

    13. Si je ne suis pas avec vous selon la chair, je suis cependant constamment avec vous en esprit par la puissance du Christ en moi et je vois votre foi et nos œuvres.

    14. C'est pourquoi je veux vraiment vous exhorter et vous montrer comment plusieurs d'entre vous, chers frères, sont tombés dans une grande folie. Je connais leurs motifs apparents et je sais ce qu'ils veulent.

    15. Tenez-vous en à Jésus-Christ tel que vous L'avez reçu et accepté de moi, ainsi vous marcherez selon l'Évangile que je vous ai fidèlement prêché,

    16. vous aurez de fermes racines en celui-ci et vous serez fermes dans la foi telle que je vous l'ai enseignée par l'esprit de notre Seigneur Jésus-Christ, le vivant fils de Dieu qui règne à la droite du Père pour l'éternité.

    17. Comme vous voulez maintenant et comme vous l’avez voulu, vous êtes des adversaires du Christ et de Sa parole!

    18. Que voulez-vous donc ? Voulez-vous redevenir des esclaves et de rudes serviteurs de la loi, du péché et de la mort dont nous avons été libérés par Jésus-Christ ?

    19. Écoutez-moi! Je vous le dis: Veillez bien à ne pas être séduits et spoliés par votre sagesse du monde et par les vains enseignements de ceux d'entre vous qui craignent plus les romains et les juifs aveugles que le Seigneur de majesté qui nous a libérés et par qui nous avons été créés ainsi que le ciel, la terre et toute chose !

    20. Lorsque j'étais parmi vous, vos sages selon le monde me demandaient quelle différence il y a entre Dieu et Son fils Jésus-Christ. J'ai pris la parole et leur ai dit:

    21. "Entendez frères! Dieu est un et Christ est un. En effet s'il y a un seul Dieu, il y a également un seul Christ. Quelle différence y a-t-il entre Dieu et Christ ?

    Dieu est l'amour et Christ est la sagesse en Dieu ou la lumière, la vérité, le chemin et la vie éternelle !

    22. En Christ habite physiquement toute la plénitude de la divinité et nous sommes parfaits en Lui ; Il est le fondement et la tête de toute splendeur, de toute puissance et de toute force, de toute autorité au monde et Il est un prince de toutes les principautés de la terre."

    23. Si moi, Paul, je vous ai dit cela en esprit et en vérité, comment vous laissez-vous maintenant tromper par les enseignements des hommes et les règles, traditions du monde ?!

    24. Vous avez été circoncis, sans main et sans objet tranchant, par le Saint-Esprit puisque vous avez abandonné votre vie pécheresse, laquelle était une puissante racine dans la chair de votre corps! C'était une véritable et vivante circoncision par le Christ!

    25. En effet, pour le monde, vous avez été ensevelis avec le Christ dans votre chair pécheresse par le baptême avec le Saint-Esprit et ensuite vous avez été ressuscités nouveau par le Christ au moyen de la foi vivante et de l'amour pour Lui.

    26. Que voulez-vous donc encore avec la vieille circoncision qui a cessé ?

    Que voulez-vous avec les cérémonies qui maintenant sont sans valeur parce que le Christ était là, qu'Il est ressuscité et nous par Lui ?

    Que voulez-vous avec le Shabbat alors que le Christ a travaillé chaque jour, travaille encore, qu'Il a fait de chaque jour un jour du Seigneur et n'a pas fêté le Shabbat !?

    27. Je vous connais, aussi je vous dis: Christ. tel qu'Il est, veut être pauvre dans le monde, mais vous, vous voulez de l'or! Voilà pourquoi vous voulez une maison de prière, un jour de fête et des vêtements chamarrés!

    28. Vous dites: Dieu a nulle part aboli les lois de Moïse mais bien plus confirmé celles-ci par le dernier repas du soir : aussi il fallait également une cérémonie de sacrifice.

    29. Moi, Paul, un juste apôtre du Seigneur, choisi par Dieu, je suis pourtant rempli de l'esprit de Dieu! Comment se fait-il donc que l'esprit de Dieu ne m'ait encore jamais indiqué cela alors qu'avant mon appel j'étais un esclave et un serviteur du temple beaucoup plus avide que vous ne l'étiez ?!

    30. Mais je veux maintenant vous dire: Quand l'esprit de Dieu m'a éveillé alors que je me rendais à Damas pour persécuter la jeune communauté du Christ, j'ai d'abord vu dans mon aveuglement même que le Seigneur veut être vénéré et adoré en esprit et en vérité et éternellement jamais par une cérémonie!

    31. En effet, parmi ceux que le Seigneur appelle à Son service, Il n'en a rendu aucun aveugle mais il fallait que je sois d'abord aveugle afin de perdre tout ce qui est du monde et qu'ensuite seulement je devienne le plus petit de Ses serviteurs!

    32. Pourquoi fallait-il que je devienne d'abord aveugle ?

    Parce que tout mon être était enseveli dans la matière du service du temple et que je devais en être sorti!

    33. Si le Seigneur m’a ainsi appelé sans cérémonie dans mon aveuglement, comment aurais-je dû faire du repas du soir une cérémonie ?!

    34. Ou bien n’est-ce pas ainsi comme me l'a toujours enseigné l'esprit de Dieu ?!

    Qui possède la lumière des yeux contemple les cérémonies du monde et s'en réjouit ;

    35. mais pour les aveugles, le monde avec ses cérémonies, son vieux service du temple et tous les habits chamarrés, s'est dissipé!

    36. Aussi, c'est une vérité éternelle que le Seigneur ne m'a pas appelé pour l'institution d'une nouvelle cérémonie mais pour la consolation (ou le relèvement) du cœur, pour lequel Satan a forgé ses lourdes chaînes depuis des millénaires ;

    37. pour prêcher à chaque homme la liberté de l'esprit et la paix de l'âme, et pour rompre par le Christ, Seigneur, l'ancien et rude lien de la mort.

    38. Mais que sert à moi et à vous mon enseignement, à quoi bon l'Évangile de Dieu si, libres vous voulez à nouveau vous acheminer vers la vieille mort ?

    39. A cause de la vie éternelle pour vous, je vous demande de vous détourner de tout ce que l'ancienne captivité à Babel a laissé à tous les juifs comme un lourd héritage!

    40. Voyez: Le Seigneur a anéanti Babel, la vieille prostituée du monde, car elle a apporté la mort à de nombreux peuples! Que gagnerez-vous si vous voulez faire de Laodicée une nouvelle Babel ?! 4

    Par conséquent, détournez-vous de ce qui pourrait causer à nouveau l'abomination de la désolation - dont a parlé Daniel(Daniel 11-31) lorsqu'il se trouvait dans le lieu saint!

    41. Le Christ vous a rendu vivants alors que vous étiez morts par vos péchés et par le prépuce de votre chair ; Il vous a remis tous les péchés que vous avez commis par le temple comme par votre prépuce.

    42. Il a effacé l'écriture de sang qui nous accusait tous et qui a pris naissance grâce aux principes du monde et Il a cloué nos noms sur la croix alors que par cette écriture nos noms étaient inscrits dans le livre du monde, dans le livre du jugement et dans le livre de la mort.

    43. Pourquoi voulez-vous donc maintenant arracher cette écriture de sang effacée par Dieu Lui-Même et clouée à la croix du jugement, de la honte, de la malédiction et de la mort ? Pourquoi voulez-vous échanger votre nouveau nom dans le Christ avec l'ancien nom qui fut écrit avec le sang dans le livre du jugement ?

    44. Ô vous fous aveugles capables de toutes les folies! Vous êtes devenus libres par le Christ et vous voulez redevenir des esclaves et des serviteurs du péché, du jugement et de la mort! N'avezvous donc pas entendu que celui qui est cloué sur la croix est maudit ?! 

    45. Le Christ a pris sur Lui votre infamie, votre honte, votre péché, votre jugement et votre mort. Comme un damné, il S'est laissé clouer sur la croix pour vous pour procurer à tous la pleine liberté devant Dieu et, afin que vous marchiez dans la gloire, Il a pris toute votre honte et votre infamie sur la croix!

    46. Oh! Qu'est-ce qui vous a charmés, vous qui êtes devenus libres par le Christ, au point que vous vouliez maintenant retourner à la mort ?!

    47. Avec quoi pourrais-je vous comparer qui pourrait vous toucher comme un bon tir atteint la cible ? Oui, vous êtes semblables à une prostituée de cour qui habite dans une ville mais est pourtant une fille de bonne famille!

    48. Écoutez-moi et mettez-vous cela dans la tête! A quoi sert la bonne origine de la prostituée si sa chair est excitée comme celle d'un bouc mis à engraisser ?

    49. Ne courra-t-elle pas en tous sens dans sa chambre sous l'effet de l'aiguillon de la chair, ne penchera-t-elle pas la moitié de son corps tantôt à l'une tantôt à l'autre fenêtre et ne laissera-telle pas traîner ici et là son regard pour voir celui qui a embrasé et excité ainsi sa chair ?!

    50. Et lorsqu'elle l'apercevra, elle lui montrera par l'ardeur de ses yeux ce qu'elle veut, et dans sa concupiscence elle péchera dix fois plus avec lui qu'une prostituée dans le lit de la honte avec son courtisan.

    51. Ô voyez, vous Laodicéens, tel est votre portrait! - Mais savez-vous ce que fera à une telle prostituée le fiancé voulant honnêtement la demander en mariage, lorsqu'il passera devant sa maison et s'apercevra de sa honteuse excitation ?

    52. Il la rejettera immédiatement de son cœur et de sa bouche, désormais il ne la regardera plus et elle tombera ainsi dans la plus grande détresse!

    53. Le Seigneur agira de même envers vous ; en effet, il a dressé pour vous dans votre cœur un nouveau temple vivant où vous devez attendre Sa venue, mais vous dédaignez le temple, cette sainte chambre, et sous l'effet d'une forte excitation pour le monde vous courrez à la fenêtre du jugement et vous voulez forniquer avec le monde à cause de l'or, du paraître et de la soif de domination dont vous êtes avides!

    54. Je vous le dis: Le Seigneur Se retirera et vous laissera tomber dans toutes sortes de prostitutions, dans le vieux jugement et dans l'ancienne mort, si vous ne faites pas immédiatement marche arrière et si vous ne vous détournez pas complètement de vos gens d'églises désignés par vous mêmes, de votre temple, de votre jour de fête et de vos habits chamarrés.

    En effet, devant le Seigneur, tout ceci est une abomination, telle une courtisane prostituée qui est plus mauvaise dans son cœur que dix prostituées de Babel. 

     

    sortez de babylone mais sortez vite !

    oubliez la Jérusalem terrestre qui est tombée !


    votre commentaire
  • pourquoi cette lettre est manquante ? 

    https://remacle.org/bloodwolf/apocryphes/paul.htm

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64870j

    pourquoi certains ont dit (le canon est clos !)

    Il s’agit de la troisième Epître de saint Paul aux Corinthiens, ou plutôt de la correspondance apocryphe des Corinthiens et de saint Paul

    car il y a deux lettres

    une des Corinthiens à saint Paul 

    et la réponse de saint Paul aux Corinthiens qui nous a été transmise dans une traduction arménienne. 

    Incipiunt scripte Corinthiorum ab (sic) apostolum Paulum.

     

    ..............................................................................................

     

    Incipit rescriptum Pauli apostoli ad Corinthios.

     

    ..............................................................................................

     

    Incipit eiusdem Pauli apostoli a[d Laodicenses]. (Ce dernier titre est presque illisible.)[22]

     

    Les deux premiers de ces textes sont publiés ci-dessous. Pris de court par mon départ et découragé par le peu de lumière qui pénètre, en un jour d’automne, dans la salle de l’Ambrosienne, je n’avais pas achevé de copier la correspondance apocryphe de saint Paul et des Corinthiens. Mes notes en comprenaient à peine la première moitié. Mais lorsque la lecture de l’intéressant article de M. Vetter m’eut montré, peu de semaines après, l’actualité de ce sujet, je résolus d’invoquer l’aide d’un jeune docteur de l’Ambrosienne, l’abbé A. Ratti, dont j’avais pu apprécier, dans une excursion faite ensemble à Monza, le bon esprit scientifique et la parfaite obligeance. J’avais d’abord essayé de déterminer M. P. Corssen, qui avait avant moi pris copie des mêmes pièces, à les publier à ma place, mais M. Corssen s’y était refusé avec la délicatesse que je lui connais. M. Ratti voulut bien à la fois revoir mes notes et continuer ma copie. Il eut également l’obligeance de se charger de faire photographier sous ses yeux les pages en question. Ce que son travail a dû être, ceux-là seuls le comprendront qui savent en quel triste état est le verso du feuillet 169. C’est pourquoi l’établissement du texte qui va suivre lui appartient au moins autant qu’à moi. Je n’ai pas craint de demander en outre à M. Corssen de vouloir bien collationner notre transcription avec la copie qu’il avait prise, et ii y s mis le plus bienveillant empressement. Enfin M. Ceriani a en l’extrême obligeance de revoir le manuscrit une dernière fois dans les passages douteux. Dans l’état de délabrement où est l’unique manuscrit, il a été nécessaire de recourir en plusieurs endroits, pour restaurer le texte, à la conjecture, et la traduction arménienne a été en cela notre guide. Sans elle, la lecture du texte tout entier aurait été presque impossible.

     

    Nous avons naturellement reproduit la version latine avec toutes les incorrections qui appartiennent au traducteur et avec celles qui sont le fait du copiste, augmentées de celles qui ont sans doute pour cause l’insuffisance de notre lecture. D’autres peut-être liront mieux que nous. Quant aux sept ou huit lignes qui sont entièrement détruites dans le manuscrit, nous avons essayé de les rétablir d’après le texte arménien, sans attacher du reste aucune importance à notre restitution et uniquement afin de présenter au lecteur un texte complet. Les passages rétablis par conjecture et ceux dont la lecture est douteuse sont imprimés en italique. Notre transcription est faite ligne pour ligne, et donne autant que possible la représentation fidèle du manuscrit.

     

    S. B.

    F° 169, col. 1.

     

    INCIPIUNT SCRIPTA CORINTHIORUM

    AB APOSTOLUM PAULUM

    Stephanus et qui cum eo sunt omuns maiores natu Daphinus et Eubolus et Theophilus et Zenon, Paulo fratri in Domino aeternam salutem. [2] Superuenerunt Corintho uiri duo, Simon quidam et Cleobius, qui corundam fidem peruertunt uerbis adulteris, [3] quod tu proba. [4] Numquam enim audiuimus a te talia

     

    Col 2.

     

    neque ab aliis apostolis. [5] Hoc autem scimus, quod mania quae a te audiuimus et ab illis firmiter obseruamus. [6] Sed in hoc misertus est nostri Dominus, quod audiemus iterum ex te in carne tua. [7] Citatum ergo fac aduentum tuum ad nos. [8] Credimus enim sicut adapertum est Theonae, quoniam liberauit te Dominos de manu iniqui. Petimus ut rescribas nobis. [9] Sunt enim quae dicunt et docent talia : [10] Non debere inquiunt natibus credi, [11] neque esse Deum omnipotentem [12] neque esse resurrectionem carnis, [13] sed nec esse figmentum hominem Dei, [14] sed neqne in carne uenisse Christum, sed neque ex Maria natum, [15] sed nec esse saeculum Dei sed nuntiorum. [16] Propter quod petirnus, frater, omni necessitate cura uenire ad nos, ut non in offensam maneat Corinthiorum eclesia, et corum dementia inanis inueniatur. Vale in Domino.

     

    INCIPIT RESCRIPTUM PAULI

    APOSTOLI AD CORINTHIOS

    Paulus uinctus Ihesu Christi his qui sunt Corintho fratribus in Domino salutem. In multis cum essem tediis [2] non miror si sic tam cito percurrunt maligni decreta. [3] Quia Dominas meus Ihesus Christus citatum aduentum suum faciet, decipiens eos qui adulterant uerbum eius. [4] Ego enim ab initio tradidi nobis que et accepi et tradita sunt mihi a Domino et eis qui ante me sunt apostoli et fuerunt omni tempore cum Christo Jhesu, [5] quoniam dominus noster Ihesus Christus ex virgine Maria natus est ex semine Dauid secundum carnem de sancto Spiritu de caelo a Patre misso in eam per angelum Gabrihel, [6] ut in hunc mundum prodiret Ihesus in carne, ut libera ret omnem carnem per suam natiuitatem, et ut ex mortuis nos excitet corporales sicut et ipse est. [7] Tipum nobis ostendit quia homo a Patre eius finctus est. [8] Propter quod et perditus quaesitus est ab eo ut uiuiflcetur per filii creationem[23] [ut per quam carnem conuersatus est malus, per eam et uinceretur quia non est Deus. Suo enim corpore Ihesus Christus saluauit omnem carnem[24]]. [9] Nam quia Deus omnium et omnia tenens, qui fecit caelum et terram, misit primum Judaeis prophetas, ut peccatis abstraherentur, [10] consolatus enim saluare domum Israel, partitus ergo a spiritu Christi misit in prophetas, qui enarrauerunt Dei culturam et natiuitatem Christi, praedicantes temporibus multis. [11] Nam quia iniustus princeps, Deum uolens esse se, con sub manu negabat, et omnem carnem hominum ad suam uoluntatem alligabat, et consummationes mundi iudicio adpropinquabant. [12] Sed Deus omnipotens cum sit iustus, nolens abicere suam finctionem, misertus est de caelis [13] et misit Spiritum sanctum in Mariam in Galilea. [14] Quae ex totis praecordiis credidit, accepitque in utero Spiritum sanctum, ut in seculum prodiret Ihesus, [15] ut per quam carnem conuersatus est malus, per eam uinctus probatus est[25] non esse Deus. [16] Suo enim corpore Ihesus Christus

    F° 169 v°, col. 1.

     

    saluauit omnem carnem et deduxit ad uitam aeternam perfidem, [17] ut iustitiae templum in corpore suo futuris temporibus pararet. [18] In quo et nos ubi credidimus liberati sumus. [19] Sciatis etiam quia isti non sunt iustitiœ filii, qui cohibent Dei prudentiam, absque fide dicentes non esse caelum et terram et omnia quae in eis sunt Patris opera. [20] Ipsi sunt ergo filii irae, maledictam enim colubri fidem habent. [21] Quos repellite a uobis et a doctrina eorum fugite. [22] Non enim estis fil inobedientae sed amantissime ecclesiae. [23] Propterea resurrectionis tempus praedicatum est. [24] Quod autem uobis dicunt resurrectionem non esse camis, illis non erit resurrectio in uitam sed in iudicium eius, [25] quoniam circa eum qui resurrexit a mortuis infideles sunt, non credentes aequo intellegentes. [26] Neque enim uiri Corinthii sciunt tritici semina sicut aliorum seminum quoniam nuda mittuntur in terra et simul corrupta deorsum surgum in uoluntate Dei corporata et uestita. [27] Non solum corpus quod missum est surgit, sed quamplurimum benedicens. [28] Et si non oportet a seminibus tantum facere parabolam sed a dignioribus corporibus, [29] uide quia Ionas Amathi filius, Nineuitis cum non praedicaret sed cum fugisset, a caeto gluttitus est; [30] et post triduum et tres noctes ex altissimo inferno tandem exaudiuit Deus orationem Ionae et nihil illius corruptum est neque capillus neque palpebra. [31] Quanto magis ues pusilli fide et eos qui crediderunt in Christum Ihesum excitabit sicut ipse surrexit. [32] Sicut enim super ossa Helisaei prophete mortuus missus est a filiis Israel et resurrexit corpus et anima et ossa et spiritus, quanto magis uos pusille fidei a mortuis in illa die resurgetis habentes sanam carnem sicut et Christus resurrexit. [33] Similiter et de Helia propheta filium uiduae a morte resuscitabit. Quanto magis nos dominos Ihesus in uoce tube in note oculi a morte resuscitabit, sicut et ipse a mortuis resurrexit. Tipum enim nobis in suo corpore ostendit. [34] Quod si quid aliud recepistis, erit uobis Deus in testirnonium, et molestus mihi nemo sit. Ego enim stigmata Christi in manibus habeo [35] ut Christum lucrer et stigmata crucis eius in corpore mea, ut uenians in resurrectionem ex mortuis. [36] Et si quisquam regulam accepit per felices prophetas et sanctum euangelium, manet, mercedem accipiet et cum resurrexerit a mortuis uitam aeternam consequetur. [37] Qui autem haec praeterit, ignis est cum illo et cum eis qui sic praecurrunt, qui sine Deo sunt homines, [38] qui sunt genera uiperarum. [39] Quos repellite in Domini potestate, [40] et erit nobiscum pax gratia et dilectio. Amen.

     

    Lettre des Corinthiens à l’apôtre saint Paul.

    [1] Stéphanus et les anciens qui sont avec lui, Dabnus,[26] Eubulus, Théophile et Xinon,[27] et Paul notre frère,[28] évangéliste et fidèle docteur en Jésus-Christ, salut.

    [2] Deux hommes sont venus à Corinthe, Simon et Cléobius,[29] qui ébranlent[30] fortement la foi de quelques-uns, les séduisant par d’abominables doctrines [3] dont il faut que tu sois informé; [4] car nous n’en avons jamais entendu de semblables, ni de toi, ni des autres apôtres, [5] et nous savons que ce que nous avons entendu de toi et de ceux-ci, nous le gardons fidèlement. [6] Mais en ceci le Seigneur nous a témoigné sa grande miséricorde, que nous pouvons de nouveau recevoir tes enseignements pendant que tu es encore en chair au milieu de nous.

    [7] Ecris-nous donc maintenant, ou hâte-toi de venir toi-même chez nous, [8] car nous avons cette confiance dans le Seigneur qu’il t’a délivré des mains de l’impie, comme cela a été révélé à Théonas.[31]

    [9] Voici les doctrines d’erreur quo ces impurs annoncent et enseignent:

    [10] Il ne faut pas, disent-ils, recevoir les prophètes;

    [11] Dieu n’est pas tout-puissant;

    [12] Il n’y a pas de résurrection de la chair;[32]

    [13] L’homme n’a été nullement créé par Dieu;

    [14] Jésus-Christ n’est pas né en chair de la vierge Marie;[33]

    [15] Ils ne regardent point ce monde comme ayant été créé par Dieu, mais par un certain ange.

    [16] Maintenant, frère, prends la peine de venir jusqu’à nous, pour qu’il n’y ait pas de scandale dans la ville de Corinthe, et que la folie de ces hommes, confondue devant tous par une répréhension publique, soit répudiée.

    Au nom du Seigneur,[34] salut.

    [1] Les diacres Théreptus et Tychus prirent cette lettre et la portèrent dans la ville de Philippes. [2] Lorsque Paul la reçut, bien qu’il fût lui-même dans les chaînes à cause de Statonice, femme d’Apollophane,[35] comme s’il eût oublié ses liens, il fut désolé des choses qu’il apprenait, [2] et dit en pleurant: « Comme il vaudrait mieux pour moi être mort et être avec le Seigneur, qu’ici dans ce corps, entendant de telles choses, » et apprenant les calamités d’une fausse doctrine ! Une tristesse en effet vient s’ajouter à une autre tristesse. [4] Et comme surcroît à de telles douleurs, être dans les chaînes, voir ces calamités, ces angoisses, Satan s’efforçant de faire du mal à ceux vers lesquels il est accouru avec ses machinations! » [5] C’est ainsi, au milieu de nombreuses souffrances, que Paul répondit à la lettre des Corinthiens:

     III

    [1] Paul, prisonnier pour Jésus-Christ, aux frères de Corinthe, du milieu de mes nombreuses tribulations, salut.

    [2] Je ne suis nullement étonné de ce que les séductions du malin se répandent si vite; [3] mais le Seigneur Jésus va hâter sa venue, parce que l’on change et méprise ses commandements. [4] Pour moi, dès le commencement, je vous ai enseigné ce que j’ai reçu moi-même des premiers apôtres, qui ont vécu tout le temps avec notre Seigneur Jésus-Christ.

    [5] Maintenant encore je vous dis[36] que le Seigneur Jésus- Christ est né de la vierge Marie, qui était de la race de David, selon les promesses de l’Esprit saint envoyé du ciel en elle par le Père, [6] afin que Jésus entrât dans ce monde pour délivrer toute chair par sa chair et nous ressusciter des morts, comme il nous en a donné l’exemple en sa personne.

    [7] Pour qu’il devint évident que l’homme a été créé par le Père, [8] il n’a point été abandonné dans la perdition, mais il a été recherché pour être vivifié par l’adoption. [9] Car Dieu, le maître de toutes choses, le père de notre Seigneur Jésus-Christ, celui qui a créé le ciel et la terre, a d’abord envoyé les prophètes aux Juifs pour les arracher à leurs péchés et les amener à sa justice. [10] Voulant sauver la maison d’Israël, il a envoyé une part de l’Esprit sur les prophètes, pour qu’ils annonçassent pendant bien longtemps la vraie religion et la naissance du Christ. [11] Mais le prince d’iniquité, voulant s’égaler à Dieu, mettait la main sur eux et enchaînait tous les hommes par le péché.

    Comme le jugement du monde approchait, [12] le Dieu tout-puissant, voulant justifier et non pas rejeter ses créatures, et les voyant tourmentées, eut pitié d’elles [13] et, à la fin des temps, il envoya le Saint-Esprit dans la vierge[37] prévue par les prophètes, [14] laquelle, ayant cru de tout son cœur, devint digne de concevoir et d’enfanter notre Seigneur Jésus-Christ; [15] afin que, par cette même chair dont se glorifiait orgueilleusement le Malin, il fût repris lui-même et convaincu de n’être pas Dieu. [16] Car c’est en sa chair que Jésus-Christ a appelé et sauvé la chair périssable et l’a amenée à la vie éternelle par la foi, [17] afin de préparer pour les temps futurs un saint temple de justice en son corps, [18] par la foi auquel nous aussi avons été délivrés.

    [19] Sachez encore que ces hommes ne sont pas des enfants de justice, mais des enfants de colère, car ils éloignent d’eux-mêmes la miséricorde de Dieu en disant que le ciel, la terre et toutes les créatures ne sont point l’œuvre du Père de toutes choses. [20] Ces maudits professent la doctrine du serpent. [21] Mais vous, avec l’aide de Dieu, repoussez-les loin de vous, et rejetez loin de vous leur doctrine perverse; [22] car vous n’êtes pas des fils de la désobéissance, mais des enfants de l’Eglise bien-aimée: [23] c’est pourquoi le temps de la résurrection est annoncé à tous.

    [24] Ceux qui disent: « Il n’y a point de résurrection de la chair, » ceux-là ne ressusciteront point pour la vie éternelle, mais pour la condamnation; car les incrédules ressusciteront en chair[38] pour le jugement.

    [25] Car pour ceux qui disent de la chair: « Il n’y a point de résurrection, pour ceux-là il n’y aura pas de résurrection, parce qu’ils ont ainsi renié la résurrection.[39]

    [26] Vous savez bien, hommes de Corinthe, au sujet de la semence du blé et des autres semences, qu’un grain nu tombe seul en terre et que ce grain, une fois dans le sol, commence par mourir; puis il ressuscite, par la volonté du Seigneur, revêtant le même corps qu’il avait auparavant; [27] et ce n’est point un seul corps qui ressuscite, mais beaucoup d’autres de même espèce lèvent avec lui et prospèrent,

    [28] Ce n’est point seulement des semences que nous devons tirer des exemples, mais aussi des corps plus nobles, de l’homme.

    [29] Vous savez que Jonas, fils d’Amathi, parce qu’il refusait de prêcher aux Ninivites, fut jeté dans le ventre du poisson et y resta trois jours et trois nuits. [30] Au bout de trois jours, Dieu exauça ses prières et le tira du fond de l’abîme, tans que son corps eût en rien souffert, sans qu’un de ses cils eût été courbé, ni qu’un de ses cheveux eût été arraché. [31] A combien plus forte raison, vous, gens de petite foi, si vous croyez au Seigneur Jésus-Christ, vous ressuscitera-t-il comme il est lui-même ressuscité.

    [32] Et si les ossements du prophète Elisée, tombant sur un mort, ont ressuscité ce mort,[40] à combien plus forte raison vous, qui trouvez un appui dans la chair, le sang et l’esprit du Christ, ressusciterez-vous en ce jour-lb avec votre corps intact.

    [33] Le prophète Elie, en embrassant le fils de la veuve, l’a ressuscité des morts. A combien plus forte raison Jésus-Christ vous ressuscitera-t-il, vous aussi, en ce jour-là, comme il est lui-même ressuscité des morts aven son corps intact.

    [34] Si vous recevez inconsidérément quelque autre doctrine, que personne désormais ne vienne plus me fatiguer. Car je porte sur moi ces chaînes [35] afin de gagner Christ, et j’endure en mon corps les tourments pour mériter la résurrection des morts. [36] Et vous qui avez tous reçu la loi par les bienheureux prophètes et le saint Evangile, tenez ferme; vous recevrez la récompense à la résurrection des morts, vous hériterez la vie éternelle. [37] Mais s’il se trouve quelque homme de petite foi qui transgresse ces enseignements, il prépare sa propre condamnation et sera châtié avec ceux qui soutiennent les desseins de ces hommes d’erreur;[41] [38] car ceux-ci sont une race de vipères, une engeance de serpents et de basilics. [39] Repoussez-les, séparez-vous d’eux avec l’aide de notre Seigneur Jésus-Christ; [40] et que soient avec vous la paix et la grâce du bien aimé premier-né. Amen.

     


    votre commentaire
  • https://lrc.la.utexas.edu/eieol_base_form_dictionary/ntgol/12

     

    Mark 9:2-13

    9:2 - Καὶ μετὰ ἡμέρας ἓξ παραλαμβάνει ὁ Ἰησοῦς τὸν Πέτρον καὶ τὸν Ἰάκωβον

    καὶ Ἰωάννην, καὶ ἀναφέρει αὐτοὺς εἰς ὄρος ὑψηλὸν κατ' ἰδίαν μόνους. 

    9:3 - καὶ μετεμορφώθη ἔμπροσθεν αὐτῶν

    καὶ τὰ ἱμάτια αὐτοῦ ἐγένετο στίλβοντα λευκὰ λίαν, οἷα γναφεὺς ἐπὶ τῆς γῆς οὐ δύναται οὕτως λευκᾶναι. 

    9:4 - καὶ ὤφθη αὐτοῖς Ἠλίας σὺν Μωυσεῖ, καὶ ἦσαν συλλαλοῦντες τῷ Ἰησοῦ. 

    9:5 - καὶ ἀποκριθεὶς ὁ Πέτρος λέγει τῷ Ἰησοῦ; ῥαββὶ, καλόν ἐστιν ἡμᾶς ὧδε εἶναι

    καὶ ποιήσωμεν τρεῖς σκηνάς, σοὶ μίαν καὶ Μωυσεῖ μίαν καὶ Ἠλίᾳ μίαν. 

    9:6 - οὐ γὰρ ᾖδει τί ἀποκριθῇ; ἔκφοβοι γὰρ ἐγένοντο. 

    9:7 - καὶ ἐγένετο νεφέλη ἐπισκιάζουσα αὐτοῖς

    καὶ ἐγένετο φωνὴ ἐκ τῆς νεφέλης· οὗτός ἐστιν ὁ υἱός μου ὁ ἀγαπητός. ἀκούετε αὐτοῦ. 

    9:8 - καὶ ἐξάπινα περιβλεψάμενοι οὐκέτι οὐδένα εἶδον εἰ μὴ τὸν Ἰησοῦν μόνον μεθ' ἑαυτῶν. 

    9:9 - Καὶ καταβαινόντων αὐτῶν ἐκ τοῦ ὄρους διεστείλατο αὐτοῖς ἵνα μηδενὶ ἅ εἶδον διηγήσωνται, εἰ μὴ ὅταν ὁ υἱὸς τοῦ ἀνθρώπου ἐκ νεκρῶν ἀναστῇ. 

    9:10 - καὶ τὸν λόγον ἐκράτησαν πρὸς ἑαυτοὺς συζητοῦντες τὶ ἐστιν τὸ ἐκ νεκρῶν ἀναστῆναι. 

    9:11 - Καὶ ἐπηρώτων αὐτὸν λέγοντες ὅτι λέγουσιν οἱ γραμματεῖς ὅτι Ἠλίαν δεῖ ἐλθεῖν πρῶτον; 

    9:12 - ὁ δὲ ἔφη αὐτοῖς· Ἠλίας μὲν ἐλθὼν πρῶτον ἀποκαθιστάνει πάντα.

    καὶ πῶς γέγραπται ἐπὶ τὸν υἱὸν τοῦ ἀνθρώπου, ἵνα πολλὰ πάθῃ καὶ ἐξουδενηθῇ;

    9:13 - ἀλλὰ λέγω ὑμῖν ὅτι καὶ Ἠλίας ἐλήλυθεν, καὶ ἐποίησαν αὐτῷ ὅσα ἤθελον, καθὼς γέγραπται ἐπ' αὐτόν. 

    John 5:39 (memory verse) - Ἐρευνᾶτε τὰς γραφάς, ὅτι ὑμεῖς δοκεῖτε ἐν αὐταῖς ζωὴν αἰώνιον ἔχειν; καὶ ἐκεῖναί εἰσιν αἱ μαρτυροῦσαι περὶ ἐμοῦ.

     


    votre commentaire
  •  

    Les spécialistes du Nouveau Testament insistent particulièrement sur le fait qu’aucun Évangile ne mentionne la destruction du Temple de Jérusalem qui eut lieu en 70.

    Cela s’explique facilement si le Temple n’a pas encore été détruit au moment où les évangélistes écrivent.

    Il est possible de dater l’Évangile de Luc avant la première Épître à Timothée

    (écrite vers 64) car Timothée (5,18) cite Luc (10,7) et s’y réfère comme étant l’Écriture

    9Le langage utilisé dans les Évangiles et dans les Actes des Apôtres indique qu’ils ont été écrits dans un temps précédant la persécution en+ 64

    Nous savons, grâce à l’historien Tacite, que la première grande persécution des chrétiens a commencé sous Néron en l’an + 64.

    Enfin, il existe un grand nombre d’arguments pour dater le livre des Actes des Apôtres vers le début des années + 60 (précisément vers 62).

    Comme Luc, le troisième Évangile à avoir été écrit après Marc et Matthieu a été rédigé avant les Actes.

    Il s’ensuit qu’on peut faire remonter l’Évangile de Luc au plus tard vers l’an + 62, et les Évangiles de Matthieu et Marc avant cette date.

    SYNTHÈSE :

    Premièrement, il importe de remarquer qu’aucun Évangile ne mentionne la destruction du Temple de Jérusalem qui eut lieu en l’an 70. Ceci est révélateur, car les évangélistes auraient exprimé leur joie de voir cette prophétie se réaliser.

    Si les Évangiles avaient été écrits après l’an 70, on imagine bien les évangélistes écrire quelque chose du genre : « Jésus l’annonça et cette prophétie se réalisa X années plus tard », afin d’appuyer la messianité de leur héros.

    Mais ils ne font rien de tel ; ils se contentent de retranscrire les paroles de Jésus qui annoncent que la destruction va arriver.

    L’historien Charles Cutler Torrey remarque : « Il aurait été peut-être concevable qu’un évangéliste écrivant après l’an 70 ait pu omettre de faire allusion à la destruction du Temple par les armées romaines [...], mais que trois (ou quatre) évangélistes aient pu oublier d’y faire allusion, cela paraît assez incroyable » (C. C. Torrey, The Apocalypse of John, New Haven, Yale University Press, 1958, p. 86).

    Deuxièmement, on sait que l’Évangile de Luc fut écrit avant la première Épître à Timothée de Paul, car le verset 1 Tim 5,18 cite l’Évangile de Luc (10,7) et s’y réfère comme étant « l’Écriture ».

    C’est donc que l’Évangile de Luc existait avant que Paul n’écrive cette épître, et qu’il était déjà considéré comme « l’Écriture ».

    Or, Paul est mort décapité vers l’an 65 (certains spécialistes disent 67) ; il a donc dû écrire son épître avant cette date, ce qui fait remonter l’Évangile de Luc au début des années 60.

    Troisièmement, le langage utilisé dans les Évangiles et dans les Actes des Apôtres indique qu’ils ont été écrits dans un temps précédant la persécution.

    La première grande persécution envers les chrétiens eut lieu sous Néron en 64 : ils ont été crucifiés, brûlés, jetés à des chiens affamés, comme le rapporte l’historien romain Tacite (Annales, 15, 44).

    Il est parfaitement impensable que Luc eût omis de mentionner ces atroces persécutions dans le livre des Actes, si elles avaient déjà eu lieu.

    Cela aurait été une occasion rêvée d’insister sur la bravoure des chrétiens martyrisés pour leur foi en Jésus.

    De plus, lorsqu’on regarde les écrits chrétiens datant d’après 64, on remarque souvent qu’ils manifestent une certaine colère face aux Romains qui les persécutaient.

    Rien de cela dans les Évangiles ou dans les Actes des Apôtres qui, au contraire, ont une attitude sympathique envers Rome (Ac 21,28 ; Ac 27,3 ; Mc 15,39 ; Mt 8,5-13 ; Lc 7,1-10 ; Ac 26,24-27).

    Or, dire du bien des Romains après la grande persécution serait équivalent à dire du bien des Allemands juste après 1945.

    Il est donc probable que les Évangiles et les Actes aient été écrits avant la grande persécution de 64.

    Enfin, la dernière raison invoquée par les historiens nous donne davantage de précision. Elle commence par dater les Actes des Apôtres pour ensuite en déduire la datation des Évangiles. La fin des Actes est centrée sur le personnage de Paul racontant ses diverses péripéties, avant de s’arrêter brutalement quand Paul arrive à Rome.

    Le verset en Actes 28,30 affirme qu’une fois à Rome, Paul y resta deux ans avant son procès. Et le livre des Actes s’arrête presque aussitôt, sans nous donner le verdict du procès, ni même parler de la mort de Paul qui eut lieu vers 65.

    L’explication logique de cela est que le procès n’avait pas encore eu lieu. En effet, vu le suspens culminant jusqu’à la fin des Actes, il aurait été logique pour Luc de mentionner si Paul avait été condamné ou non.

    S’il avait été condamné, Luc en aurait sûrement profité pour décrire son glorieux martyre et ses souffrances pour le Christ ; et s’il avait été relâché, Luc aurait sûrement mentionné sa lutte glorieuse contre le tribunal.

    L’analyse la plus logique face à cet arrêt brutal dans la rédaction des Actes des Apôtres est que le procès était en cours et que Luc ne pouvait pas encore donner le verdict.

    L’exégète libéral Adolf von Harnack commente : « Tout au long des huit derniers chapitres [des Actes], Luc garde ses lecteurs intensément intéressés par le déroulement du procès de saint Paul, et il finit par le décevoir complètement. Le lecteur n’apprend rien du résultat final du procès !  […] Il semble désespéré que nous puissions expliquer pourquoi le récit s’interrompt ainsi, autrement qu’en supposant que le procès n’était pas encore arrivé à son terme. […] Si Luc écrivait ainsi en l’an 80, 90 ou 100, il serait non seulement un historien maladroit mais un historien absolument incompréhensible ! [...] Nous devons donc conclure que les derniers versets des Actes des Apôtres, pris en conjonction avec l’absence de toute référence au résultat du procès de saint Paul et à son martyre, impliquent très probablement que l’ouvrage a été écrit à une époque où le procès de saint Paul à Rome n’était pas encore terminé » (Adolf von Harnack, The Date of the Acts and the Synoptic Gospels, 1911).

    Ainsi, les Actes des Apôtres ont probablement été écrits deux ans après l’emprisonnement de Paul (vers l’an 60), ce qui les fait remonter à l’an 62.

    On notera aussi que les Actes ne mentionnent ni le martyre de Jacques le Juste qui, lui aussi, eut lieu en 61-62, ni celui de l’autre héros des Actes, Pierre (vers 64).

    Si les Actes avaient été écrits plus tard, on ne voit pas pourquoi l’auteur (Luc) aurait voulu laisser le lecteur en suspens, sans mentionner le sort final de Paul et omettre complètement les martyres de Pierre et Jacques le Majeur, d’autant plus que les martyres d’Étienne (Ac 7) et de Jacques le Mineur (Ac 12,1-2), eux, sont mentionnés.

    Les Actes ne mentionnent pas non plus la guerre entre Juifs et Romains qui se déroula en 66, ni la persécution sous Néron (qui eut lieu en 64), ni la destruction du Temple de Jérusalem.

    Voilà une quantité d’éléments qui ont de quoi mettre dans l’embarras les exégètes libéraux qui penchent pour une datation plus tardive des Actes (vers les années 80) !

    La datation des Actes des Apôtres nous aide à y voir plus clair pour celle des Évangiles. En effet, nous savons que les Actes ont été écrits après l’Évangile de Luc, car les deux s’adressent à la même personne (Ac 1,1 ; Lc 1,1-4) et Luc dit à Théophile qu’il s’agit de son second livre.

    Par conséquent, l’Évangile de Luc fut probablement écrit avant 62, lui aussi.

    Voyons enfin ce qu’il en est des autres Évangiles. Au niveau universitaire, l’étude de l’ordre dans lequel ils ont été écrits se nomme le « problème synoptique ».

    Depuis plus d’un demi-siècle, les experts pensent que l’Évangile de Marc fut écrit le premier, car Matthieu et Luc semblent en reprendre des éléments.

    Les exégètes affirment aussi qu’il y a de fortes chances que Luc ait été écrit après Matthieu et Marc, puisque Luc commence son Évangile en indiquant que d’autres Évangiles ont été écrits avant lui (Lc 1,1-3). Et comme Luc a été écrit au tout début des années 60 (nous venons de le voir), il s’ensuit que Matthieu et Marc ont probablement été écrits dans les années 50. John A. T. Robinson, qui est loin d’être un conservateur, propose même de dater Marc vers 45.

    Ainsi, nous avons de bonnes raisons de penser que les Évangiles synoptiques furent écrits entre le milieu des années 50 pour Marc (bien que certains morceaux soient plus anciens) et le début des années 60 pour la version grecque de Matthieu, Luc et les Actes.

    Dans tous les cas, nous avons là des dates bien antérieures à l’an 70.

    La thèse des récits légendaires est donc réduite à néant.

    Pour qu’une légende apparaisse, il faut que les témoins oculaires (ainsi que leurs enfants et leurs petits-enfants) soient morts depuis longtemps, laissant ainsi assez de temps pour que le compte rendu d’un événement soit grandement modifié et puisse s’inscrire dans l’imaginaire collectif.

    Les Évangiles et les épîtres ont été écrits beaucoup trop tôt pour que cela se produise.

    Les experts estiment que la fiabilité de la Tradition orale peut durer près de deux cents ans (Marlene Ciklamini, « Old Norse Epic and Historical Tradition », Folklore and Traditional History, 2018).

    Les Évangiles ont donc une marge largement suffisante pour préserver les propos authentiques de Jésus, ce qui renforce considérablement leur crédibilité historique.

    les témoins occulaires de JESUS (livre en pdf)

    Selon certains imams les Évangiles ne sont pas historiquement fiables, car ils auraient été rédigés par des anonymes, longtemps après la mort des apôtres, ou falsifiés :

    Or, cette thèse contredit toutes les données historiques dont nous disposons.

    L’attribution traditionnelle des Évangiles à Luc, Matthieu, Marc et Jean est historiquement très crédible.

    La totalité des manuscrits anciens qui nous sont parvenus comportent des titres complets : « Évangile selon Matthieu », « Évangile selon Marc », etc.

    Il n’existe aucun manuscrit d’Évangile sans son titre ni son auteur.

    Si ces textes avaient circulé de manière anonyme, toutes sortes de noms leur auraient été attribués (comme ce fut le cas avec l’Épître aux Hébreux). Or, aucune autre attribution n’existe.

    Avant l’an 400, personne n’a osé remettre en question cette traditionnelle attribution. Même les ennemis du christianisme, comme Celse, reconnaissaient que les Évangiles étaient bien de Matthieu, Marc, Luc et Jean.

    Enfin, l’Église primitive n’aurait eu aucune raison de mentir à ce sujet. Hormis Jean, les évangélistes ne sont pas des personnages de premier plan à même de renforcer l’autorité des Évangiles.

    Marc et Luc ne font pas partie des Douze, et Matthieu est un apôtre méconnu et peu aimé des Juifs, car il est collecteur d’impôts. 

    S’il avait fallu inventer des auteurs, ces choix n’auraient donc pas été très judicieux : il eût été largement préférable de faire appel à des personnages plus connus et prestigieux (comme Pierre, Jacques, Jean, Thomas ou André).

    SYNTHÈSE :

    Comment savons-nous que les Évangiles ont pour auteurs Matthieu, Marc, Luc et Jean ? En étudiant ce que nous disent les sources historiques primitives à propos de ces ouvrages.

    Si les Évangiles avaient d’abord circulé de manière anonyme, il est certain que des noms divers et variés auraient été attribués à leurs auteurs. Or, ce n’est pas le cas.

    La Tradition est formelle

    l’Évangile de Matthieu a été écrit par Matthieu 

    celui de Marc, par Marc (l’interprète de Pierre) ;

    celui de Luc, par Luc qui était médecin (Col 4,14) et compagnon de Paul.

    celui de Jean aurait été écrit par Jean, fils de Zébédée.

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Si l’on croit ce que déclarent les Écritures, il est impossible que la crucifixion ait eu lieu le vendredi et la résurrection le dimanche matin.

    Christ ne fut pas crucifié un vendredi !

    Dans Matthieu 26:19-21 et dans Matthieu 27:33-35, il est écrit qu’Il fut crucifié à un endroit appelé Golgotha, le jour de la Pâque, le 14e jour du premier mois du calendrier hébreu (Lévitique 23:5).

    D’après le récit de Jean, beaucoup de Juifs mangèrent leur repas pascal la nuit succédant à la mort de Christ (Jean 18:28)

    c’est-à-dire au début du 15 nisan, étant donné que pour les Juifs chaque jour débute au coucher du soleil.

    On prétend parfois que Jésus eut un repas «avant la Pâque» et non lors de la vraie Pâque, la veille du jour où Il mourut. Que déclare la Bible à ce propos ?

    Neuf versets décrivent le repas consommé par Christ et Ses disciples comme celui de la Pâque.

    Trois versets dans Matthieu ; trois versets dans Marc ; et trois versets dans Luc (Matthieu 26:17-19 ; Marc 14:12, 14, 16 ; Luc 22:8, 11, 15). 

    Jésus et Ses disciples consommèrent le repas de la Pâque la veille de Sa mort, qui d’après les Écritures tombait le soir du 14 nisan.

    Quelle année cela eut-il lieu ? 

    On pense généralement que cela eut lieu en 33 de notre ère 

    or d’après la Bible, cela n’eut pas lieu aussi tard.

    Il existe, dans la Bible, plusieurs indices pointant vers une autre année 

    1) la prophétie des 70 semaines, de Daniel  

    2) la gouvernance de Pilate 

    3) la mort d’Hérode 

    4) le recensement pendant le règne de César Auguste 

    5) le nombre de Pâques pendant le ministère de Jésus, d’après les Écritures.

    La liste des Pâques observées pendant Son ministère prouve que ce dernier qui débuta en automne en 27, quand Jésus avait environ 30 ans dura trois ans et demi et s’étendit sur quatre Pâques (28, 29, 30 et 31 de notre ère). 

    À partir de ces preuves, nous pensons que l’an 31 est plus exact comme année de la mort de Christ.

    À l’aide du calendrier hébreu, il est possible de calculer quel jour la Pâque eut lieu en l’an 31.

    C’était un mercredi.

    Les évènements entourant la mise au tombeau de Christ

    Voici ce que la Bible révèle des évènements qui eurent lieu ce mercredi-là. 

    Christ fut crucifié vers 09h00 (Marc 15:25)

    De midi à 15h00, il y eut des ténèbres sur toute la terre (verset 33). 

    Christ mourut vers 15h00 (verset 34)

    Joseph d’Arimathée alla voir Pilate pour lui réclamer le corps de Jésus (Jean 19:38)

    Avec l’accord de Pilate, Joseph s’empressa de déposer le corps de Jésus dans une tombe, à proximité, peu avant le coucher du soleil, vers 18h00.

    Ce soir-là, débutait un sabbat mais pas un sabbat hebdomadaire

    Un « grand jour » le premier jour de la fête des Pains sans levain (Jean 19:31)

    Cela se produisit si rapidement que les femmes n’eurent pas le temps de bien préparer le corps. 

    Chacun se reposa lors de ce jour saint (de ce « sabbat » annuel). 

    Les femmes n’eurent pas le temps d’acheter ni de préparer des aromates tant que ce sabbat annuel ne fut pas achevé.

    Les femmes purent acheter et préparer des aromates le vendredi, le lendemain du premier sabbat de cette semaine-là (un « grand jour », qui tombait le jeudi).

    Les aromates achetés et préparés, les femmes n’eurent pas le temps de se rendre au sépulcre pour les appliquer sur le corps de Jésus avant le second sabbat (hebdomadaire, cette fois, le samedi) qui débutait au coucher du soleil (Luc 23:55-56).

    Après ce deuxième sabbat, tôt le premier jour de la semaine le dimanche avant même que le soleil se lève les femmes se rendirent au sépulcre, apportant avec elles les aromates. 

    Or, quand elles arrivèrent au tombeau, le corps n’y était plus (Luc 24:1-3). 

    Jésus était ressuscité comme Il l’avait annoncé, après 72 heures précisément, dans Son Sépulcre, le samedi en fin d’après-midi.

    L’expression « Après trois jours » apparaît dans Matthieu 27:63. 

    Si Jésus ressuscita peu avant le coucher du soleil le samedi, exactement après que Son corps ait été déposé dans le tombeau, le mercredi, c’était en fait « après trois jours ». 

    Une mise au tombeau à 18h00 le mercredi, et une résurrection à 18h00 le samedi s’accordent avec la déclaration « après trois jours ».

    L’expression « le troisième jour » apparaît dans Matthieu 16:21. 

    Si Christ fut  mis au tombeau au coucher du soleil, le mercredi, le samedi était le troisième jour

    (jeudi étant le premier jour, vendredi le second, et samedi le troisième)

    Cette expression ne contredit pas non plus le laps de temps de trois jours et trois nuits. 

     

    Samedi était bien le troisième jour.


    votre commentaire
  •  

     

    LE MÉSSIE EST APPELER YHWH DANS LA BIBLE ARAMÉENNE PESHITTA

    ܛܝܒܘܬܐ ܥܡܟܘܢ ܘ ܫܠܡܐ ܡܢ ܐܠܗܐ ܐܒܘܢ ܘ ܡܢ ܡܪܢ ܝܫܘܥ ܡܫܝܚܐ    

    Taybuwtha (Grâce avec vous) wa Shlama (et Paix) d 'Alaha Abuwn (de Dieu Notre Père) wa mar'an (Seigneur notre) Yeshuwah mashyHa (Jésus le Messie oint)

    LA SIGNATURE DE YESHUA (en abrégé).

    (Jésus françisé à partir du Grec)

    YesHuWaH en araméen

    Jésus s'est révélé être le Premier et le Dernier, l'Alpha et l'Oméga, dans le Livre de l'Apocalypse:

    Apocalypse 1: 8

    - "Je suis MOI  Alpha et Oméga le commencement et la fin (l'achèvement)  dit le Seigneur, qui celui est, et celui qui était, et celui qui vient le Tout-Puissant."

    Apocalypse 1:11

    -  "… Je suis MOI Alpha et Oméga le premier (la tête) et le dernier et ce que tu vois, écris dans un livre, et envoie-le aux sept églises qui sont en Asie; à Éphèse, et à Smyrne, et à Pergame, et à Thyatire, et à Sardes, et à Philadelphie, et à Laodicée. "

    Apocalypse 21: 6

    -  "Et il me dit: C'est fait. Je suis MOI Alpha et Oméga, le commencement et la fin (l'achèvement) Je donnerai gratuitement à celui qui a soif de la source d'eau de la vie."

    Apocalypse 22:13

    - "Je suis MOI Alpha et Oméga le début et la fin, le premier et le dernier." 

    L'Alpha et l'Oméga sont la première et la dernière lettre de l'alphabet grec

    alors que Aleph אֵ et Tav ת sont la première et la dernière lettre de l'alphabet hébreu ou en  araméen

    On peut faire valoir que Jésus est le Aleph et le Tav אֵ ת .

    Le mot générique normal pour Dieu est «alaha» / «aloho» (ܐܠܗܐ) qui est linguistiquement lié au mot hébreu pour Dieu «élohim». 

    Le mot arabe Allah utilisé également par les chrétiens arabes n'est pas plus ni moins lié à l'araméen Alaha qu'à l'hébreu Elohim. 

    Les trois partagent une racine linguistique commune.

    La traduction du tétragramme YHWH en revanche est "marya" / "moryo" (ܡܪܝܐ) généralement décomposée en mar-yah, Lord-Yah (mar,mary seigneur, également utilisé par les églises syriaques

    MarYa remplace YaHWéH dans le Peshitta Tanakh. 

    C'est une combinaison du mot araméen Mar ("Seigneur") et de l'hébreu Yah (forme abrégée de YaHWéH utilisée dans les Psaumes 68: 4 et autres). 

    La lettre h est absente non seulement dans MarYa mais aussi dans tout autre mot ou nom dans lequel Yah est utilisé:

    Eliyah en hébreu est Eliyahu ou Eliyah

    En araméen c'est Eliya. 

    Élie signifie «Yah est mon Dieu». 

    Jérémie signifie «Yah exalte»

    Ésaïe signifie «Yah est Sauveur».

    Yah est également utilisé à la fin du mot hébreu HalleluYah

    En araméen c'est HelleluYa Cela signifie "Louez Yah".

    Marya «le Seigneur»

    Les Syriens considèrent que ce nom Mar'ya est équivalent au tétragramme hébreu Youd-Heh-wav-Heh et considèrent les lettres qu'il contient comme désignant à la gloire de la nature divine. 

    Ainsi M est l'initiale de  Morutha , «domination»

    R pour  rabutha , «majesté»

    A et Y pour aythutha  «essence» ou «subsistance éternelle»

    La Peshitta nomme "Yeshua" comme "Yahweh" 32 fois dans le NT! 

    Le grec n'a pas de mot pour Yahvé bien que le traducteur grec est pu substituer "Kurios Theos" ("Seigneur Dieu") ou "Theos" ("Dieu") pour indiquer la divinité

    puisque le nom ("LE SEIGNEUR YHWH") "MarYah"  est référencé 239 fois dans les citations du NT des écritures de l'AT

    En fait, cela ne s'est probablement produit que cinq ou six fois sur 239 dans le NT grec. 

    Tous les autres endroits ont simplement  "Kurios"), peut faire référence à un simple homme

    L'Araméen MarYah ("LE SEIGNEUR YHWH") ne fait jamais référence à personne d'autre que la Divinité 

    https://www.thearamaicscriptures.com/

     

    https://kurios.homestead.com/Marya_the_Lord_in_Aramaic.html

     

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires