• al'-malik al'abyad

    1) Muhammad est mort empoisonné 

    La façon dont est mort Mohammed est extrêmement bien sourcée dans les hadiths.

    Tout musulman minimalement instruit sait que Mohammed est mort des suites d’une maladie.

    Et pas de n’importe quelle maladie.En effet, selon le consensus général des hadiths, c’est Mohammed lui-même qui a témoigné avec précision de l’origine exacte de la maladie qui causa sa mort.

    Raconté par Aicha : Le prophète disait à propos de cet aliment qui causa sa mort : « O Aicha ! Je sens encore la douleur causée par la nourriture que j’ai mangée à Khaibar, et à ce moment même, il me semble comme si mon aorte eut été tranchée à cause de ce poison. – Sahih Boukhari, volume 5, livre 59, n°713

    Narrated `Aisha: The Prophet (ﷺ) in his ailment in which he died, used to say, "O `Aisha! I still feel the pain caused by the food I ate at Khaibar, and at this time, I feel as if my aorta is being cut from that poison."

    وَقَالَ يُونُسُ عَنِ الزُّهْرِيِّ، قَالَ عُرْوَةُ قَالَتْ عَائِشَةُ ـ رضى الله عنها ـ كَانَ النَّبِيُّ صلى الله عليه وسلم يَقُولُ فِي مَرَضِهِ الَّذِي مَاتَ فِيهِ ‏

    "‏ يَا عَائِشَةُ مَا أَزَالُ أَجِدُ أَلَمَ الطَّعَامِ الَّذِي أَكَلْتُ بِخَيْبَرَ، فَهَذَا أَوَانُ وَجَدْتُ انْقِطَاعَ أَبْهَرِي مِنْ ذَلِكَ السَّمِّ ‏"

    Tout ceci devrait stupéfaire tout musulman honnête

    Comment se peut-il que le prophète de l’islam meure exactement du genre de mort qui, selon la Sourate 69, devait frapper Mohammed si celui-ci « avait inventé des paroles qu’il avait attribuées » à Dieu ?

    Avant de continuer, il faut préciser le contexte général : L’empoisonnement auquel fait référence Mohammed dans ce hadith, a eu lieu au cours d’un repas de noce à Khaybar, en Arabie.

    En effet, à la suite d’une bataille dans cette ville, contre la tribu des Banu Nadir, les troupes de Mohammed ont vaincu et soumis la population locale. À cette occasion, Mohammed et ses hommes capturent un grand nombre d’individus, en particulier de belles jeunes femmes qu’ils réduisent en esclavage sexuel.

    L’une d’entre elles s’appelle Safiya Bint Huyay. Parce qu’elle est très belle et qu’elle appartient à une famille importante, Mohammed s’eprend d’elle. Après avoir tué son mari, Mohammed capture donc Safiya et la prend pour femme.

    Parmi les autres femmes captives se trouve également Zaynab Bint Hurith, originaire de Khaybar elle aussi, et dont toute la famille vient d’être tuée par les troupes de Mohammed.

    Le repas dont il est question ici est donc le repas de noces que Mohammed et les siens donnent à l’occasion de ce mariage pour le moins forcé.

    Mohammed empoisonné lors d’un repas à Khaybar

    Nous avons vu que Mohammed lui-même témoigne que la maladie qui le tua fut causée par l’ingurgitation d’un poison au cours de ce repas de noces et que l’absorbtion de ce plat empoisonné, toujours selon ses propres mots, provoqua en lui un tel sentiment que ce fut « comme si mon aorte eut été tranchée ».

    Ce ne fut pas là qu’une simple impression, ni une figure de style employée par Mohammed.

    Dans de nombreux autres hadiths, Mohammed est formel : c’est bien l’ingurgitation de ce plat qui causa directement la rupture de son aorte.

    Oum Bishr dit au prophète durant la maladie de laquelle il mourut : Que penses-tu de ta maladie, apôtre d’Allah ? Je ne pense jamais à la maladie de mon fils, sinon pour me souvenir du mouton empoisonné qu’il mangea avec toi à Khaybar. Le prophète répondit : Et je ne pense pas à ma maladie, sinon à cause de cet événement. Ce fut à cette occasion que mon aorte fut coupée. – Sunan Abou Dawoud, n°4449

    Mohammed lui-même confirme donc une nouvelle fois que la cause de sa mort fût que son aorte fût littéralement coupée à la suite de cet empoisonnement. Il ne parlait donc pas en utilisant une figure de style.

    On peut même être extrêmement surpris de voir Mohammed insister à ce point sur la rupture de son aôrte.

    En effet, ni lui, ni les gens de son entourage, ne devaient ignorer que la sourate 69 annonçait précisément que les faux prophètes devaient mourir de cette maladie en particulier.

    Rappellons encore une fois que les versets de Coran 69 ; 38-47 sont extrêmement précis en ce qui concerne la façon dont Mohammed serait tué s’il « inventait des paroles qu’il aurait attribuées à Dieu ».

    On lit effectivement dans ces versets : « nous l’aurions saisi de la main droite, ensuite, Nous lui aurions tranché l’aorte ».

    Ce détail, « nous l’aurions saisi de la main droite » a une grande importance dans la mesure où Mohammed, selon son propre témoignage, a eu l’aorte tranchée en mangeant un plat empoisonné. Ou du moins, c’est en mangeant ce plat empoisonné qu’il a contracté une maladie qui causa ensuite une rupture de l’aorte.

    Or, il faut savoir que Mohammed enseignait qu’il n’était pas bon de manger de la main gauche, sous prétexte que c’était la façon de manger du diable. (quelle fable !) 

    D’après ‘Abdallah Ibn ‘Omar (qu’Allah les agrée), le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Qu’aucun d’entre vous ne mange ni ne boive avec sa main gauche car certes Chaytan (satan) mange et boit avec sa main gauche. – Sahih Muslim, n°2020  sunnah 2020 a

    Ibn 'Umar reported Allah's Messenger (ﷺ) as saying: When any one of you intends to eat (meal), he should eat with his right hand. and when he (intends) to drink he should drink with his right hand, for the Satan eats with his left hand and drinks with his left hand.

    Ibn 'Umar reported Allah's Messenger (ﷺ) as saying: When any one of you intends to eat (meal), he should eat with his right hand. and when he (intends) to drink he should drink with his right hand, for the Satan eats with his left hand and drinks with his left hand.

    On peut donc avoir la certitude que Mohammed mangeait avec la main droite lorsqu’il se tenait au repas de Khaybar.

    Un grand nombre d’autres hadiths authentiques confirment que Mohammed considérait que sa mort fut causée par le poison ingéré à Khaybar et que ce poison lui causa une rupture de l’aorte.

    Dans le hadith d’Ibn Sa’d, on découvre comment Bishr Ibn Al Bara (le fils d’Oum Bishr dont il a été question plus haut dans la Sunnan Abou Dawoud) mourrut à l’occasion de ce repas.

    Ayant pleine confiance dans les supposées vertus surnaturelles de Mohammed, Bishr Ibn Al Bara n’avait pas hésité à manger du plat en question.

    Ce n’est que parce qu’il vit Mohammed manger de ce plat qu’il se figurât qu’il n’y avait aucun risque.

    On lit son témoignage chez Ibn Sa’d : L’apôtre d’Allah prit la cuisse, qu’il porta dans sa bouche. Bishr Ibn al Bara pris une autre partie et la mit dans sa bouche. Au moment où le prophète d’Allah mangea un morceau, Bishr mangea le sien et les autres personnes en prirent aussi. C’est à ce moment que l’apôtre d’Allah dit : Retirez vos mains! Car j’ai senti dans cette cuisse que (la nourriture) est empoisonnée. Sur ceci, Bishr dit : Par celui qui t’a fait grand ! Je l’avais senti par le morceau que j’ai pris. Rien ne m’empêchait de le recracher, sauf l’idée de croire que je n’eus pas aimé la saveur de ta nourriture. Lorsque tu mangeas ce qui était dans ta bouche, je n’aimais pas le fait de sauver ma vie après la tienne et je pensais d’ailleurs que tu n’en aurais pas mangé, s’il y avait eu quelque problème. Bishr ne se leva pas de son siège, mais la couleur (de son visage) changea à la manière de celle d’un taylsan (un vêtement vert). – Hadith Ibn Sa’d, volume 2, p. 253

    Voir aussi Tabari, page 124, qui confirme encore la même tradition.

    Maintenant, voyons qui est responsable de l’empoisonnement de Mohammed.

    Qui a empoisonné le plat de Mohammed et pour quelle raison ?

    Les hadiths nous rapportent clairement et de façon concordante que la personne qui a empoisonné le plat de Mohammed fut une jeune femme du nom de Zaynab Bint Hurith.

    Comme nous l’avons mentionné précédemment, Zaynab, tout comme Safiya, est une jeune femme juive originaire de Khaybar.

    Après l’attaque de la ville par les troupes de Mohammed, les deux jeunes femmes n’ont plus de famille : tous leurs parents, en particulier les hommes, ont été tués ou réduits à l’esclavage. Zaynab a donc été capturée comme esclave.

    Peut-être à cause d’un excès de confiance ou d’un sentiment de toute-puissance, Mohamed et ses lieutenants ne semblent pas s’imaginer que cette jeune femme, Zaynab, qui vient de voir toute sa famille se faire massacrer quelques heures auparavant, puisse entretenir quelque compréhensible ressentiment à l’égard de ses bourreaux.

    C’est donc sans se méfier qu’ils acceptent la nourriture qu’elle vient leur apporter. Toutefois, comme nous allons le voir, le mobile de Zaynab n’est pas seulement motivé par un pur désir de vengeance.

    De façon presque providentielle, elle cherche également à montrer à tous que Mohammed est un faux prophète et qu’il n’est rien d’autre que le chef d’une bande de pillards.

    Tel est son témoignage dans la Sunan d’Abou Dawoud : À Khaybar une juive [Zaynab Bint Hurith] présenta à Muhammed un mouton rôti qu’elle avait empoisonné. L’apôtre de Dieu mangea, ainsi que les autres personnes. Puis il dit : retirez vos mains, car j’ai senti que cette nourriture est empoisonnée. Bishr bin al Bara bin Ma’rur al Ansari mourut (immédiatement). Ainsi, le prophète envoya chercher la juive et lui dit : « Qu’est ce qui t’a incité à faire cela ? Elle répondit : « Si tu étais un prophète, cela ne te ferait aucun mal ; mais si tu n’étais qu’un roi, je débarrasserais ainsi le peuple de toi. » L’apôtre d’Allah donna alors des ordres la concernant et elle fut tuée. Il parlait (par la suite) de la douleur de laquelle il mourut de la façon suivante  : J’ai continué de sentir la douleur de ce morceau de viande que j’ai mangé à Khaybar. C’est de là que vint que mon aôrte fut coupée. – Sunan Abou Dawoud, n°4498

    Narrated AbuHurayrah: A man was killed in the lifetime of the Prophet (ﷺ). The matter was brought to the Prophet (ﷺ). He entrusted him to the legal guardian of the slain. The slayer said: Messenger of Allah, I swear by Allah, I did not intend to kill him. The Messenger of Allah (ﷺ) said to the legal guardian: Now if he is true and you kill him, you will enter Hell-fire. So he let him go. His hands were tied with a strap. He came out pulling his strap. Hence he was called Dhu an-Nis'ah (possessor of strap).

    Nous lisons donc ici un remarquable témoignage de l’acte de Zaynab, mais aussi une nouvelle confirmation de l’origine de la maladie qui causa la mort de Mohammed.

    L’acte de Zaynab révèle providentiellement l’imposture de Mohammed

    Ainsi donc, de manière providentielle et tout à fait extraordinaire, l’acte de Zaynab a révélé aux yeux de tous, du moins à ceux qui avaient des yeux pour voir, que Mohammed était un faux prophète.

    Enivré peut-être par ses victoires, il n’a pas été capable de comprendre que le plat était empoisonné.

    De même, lui qui était coutumier des révélations soudaines et opportunes, Mohammed n’a reçu ici aucune révélation divine qui aurait pu l’avertir de la menace.

    Cet épisode de la vie de Mohammed est copieusement attesté dans les traditions les plus antiques et les plus authentiques de l’islam :

    Le Messager d’Allah fit amener Zaynab Bint Al Harith (celle qui l’empoisonna) et lui dit : « Qu’est ce qui t’a incité à faire ce que tu as fait? » Elle répondit : « Tu as fait à mon peuple ce que tu as fait. Tu as tué mon père, mon oncle et mon mari, et donc je me suis dit en moi-même ‘Si tu es un prophète, tu l’aurais su (l’empoisonnement)’ et d’autres rapportèrent : ‘Si tu n’es qu’un roi, nous nous débarrasserons de toi. – Ibn Sa’d, page 252

    «L’Apôtre d’Allah fit venir Zainab Bint al-Harith et lui dit: Qu’est-ce qui t’a conduit à faire ce que tu as fait? Elle répondit: Tu as fait à mon peuple ce que tu as fait. Tu as tué mon père, mon oncle et mon mari, alors je me suis dit: Si tu es un prophète, le morceau de viande va t’informer; et d’autres ont dit: Si tu es un roi, nous nous débarrasserons de toi.» ( Ibn Sa’d p. 252)

    Il est donc vraiment stupéfiant de voir que le Coran 69 ; 38-47 décrive avec une pareille précision la façon exacte dont est mort Mohammed.

    Mohammed piégé par le Coran

    En effet, nous voyons ici une annulation mutuelle des prétentions du Coran à être une révélation divine, ainsi qu’une annulation des prétentions prophétiques de Mohammed.

    si le Coran est la révélation divine et si Mohammed est le prophète de Dieu, comment se fait-il qu’il soit mort exactement de la façon dont meurent les faux prophètes selon le même Coran ?

    Or, si Mohammed est un faux prophète, il faut donc nécessairement conclure que le Coran lui-même est une fausse révélation.

    Dans de précédentes études, nous avons clairement pu vérifier que, toujours selon les mêmes sources islamiques, antiques et orthodoxes, Mohammed était loin d’être un mystique fiable :

    Mohammed fut trompé par de fausses révélations apportées par un démon déguisé sous l’apparence de « l’ange Gabriel ». 

    C’est le cas notoire du contexte de la révélation des « versets sataniques » de la Sourate 53 que nous allons examiner plus loin.

    À d’autres occasions, Mohammed reçut des révélations soudaines qui lui permettaient opportunément de justifier ou de débloquer une situation à l’instant T.

    C’est un peu ce qu’on observe dans l’étrange histoire du divorce de Zaynab et Zayd dans la Sourate 33 ou encore dans le contexte de la révélation des versets sur le voile islamique, dans la même sourate.

    2) Les Versets Sataniques

    Le cas des fameux versets sataniques, à savoir les versets 19 à 23 de la sourate 53, apportent la preuve définitive, à la fois contre le Coran, ainsi que contre Mohammed.

    Dans ces versets, on lit la chose suivante : Que vous en semble [des divinités], Lât et Uuzzâ ainsi que Manât, cette troisième autre ? Sera-ce à vous le garçon et à Lui la fille ? Que voilà donc un partage injuste ! Ce ne sont que des noms que vous avez inventés, vous et vos ancêtres. Allah n’a fait descendre aucune preuve à leur sujet. Ils ne suivent que la conjecture et les passions de leurs âmes, alors que la guidée leur est venue de leur Seigneur. – Coran 53 ; 19-2

    Lus ainsi, on pourrait croire que ces versets sont une condamnation ferme des divinités païennes bien connues dans l’Arabie du temps de Mohammed.

    En réalité, on consultant les sources les plus authentiques de la Tradition islamique, on apprend que ces versets ne sont pas les versets originaux du Coran. Ils sont venus en remplacer d’autres, à savoir les fameux versets sataniques.

    Tout ceci est confirmé par une chaîne de transmission tout à fait authentique, puisqu’elle remonte à Ibn Abbas, qui était l’un des plus proches fidèles de Mohammed : Ibn Abbas a dit : Un diable nommé « le blanc » (Al Abiyad) vint auprès du messager d’Allah (Mohammed) sous l’apparence de Gabriel et il plaça dans sa récitation (c’est-à-dire sa récitation du Coran) : « En effet, ces idoles sont d’illustres divinités, dont l’intercession doit être espérée » et le prophète les récita. – Al-Qurtubi, Shams al-Din, al-Jami‘ li-Ahkam al-Qur’an, Le Caire, Dar al-Kutab al-Misriyya, 1964, Volume 12, p.84

    Ainsi donc, selon Ibn Abbas, en au moins une occasion, Mohammed fut trompé par un démon qui lui affirma qu’il était bon de prier et d’espérer en l’intercession de divinités païennes.

    (in his recitation (of the revelation).) "When he spoke, the Shaytan threw (some falsehood) into his speech, but Allah abolished that which the Shaytan threw in.''

    ثُمَّ يُحْكِمُ اللَّهُ ءَايَـتِ

     

    L’authenticité de cet évènement de fait aucun doute, puisqu’il est rapporté par les plus grands biographes de Mohammed, à savoir Ibn Hisham, Ibn Ishaq, Ibn Sa’d, Al-Waqidi, Al-Tabari. (5 sources fiables)

    Pire encore, après avoir reçu cette révélation, Mohammed la récita et se prosterna, juste après avoir affirmé qu’on pouvait espérer dans l’intercession de ces idoles païennes :

    Satan lui fit répéter ces deux phrases : « ces idoles sont d’illustres divinités, dont l’intercession doit être espérée ».

    L’apôtre d’Allah les répéta, puis il récita la sourate complète et se prosterna, et les gens qui étaient là se prosternèrent avec lui. – Ibn Sa’d’s « Kitab al Tabaqat al Kabir » (Book of the Major Classes), Volume 1, parts 1 and 2, pp. 236 – 239, translated by S. Moinul Haq, published by the Pakistan Historical Society

    Il faut savoir qu’à cette occasion, se prostèrent aussi bien des partisans de Mohammed que des païens qui étaient présents et qui se rejouirent d’ailleurs de la proposition syncrétiste que Mohammed venait de leur faire, par les paroles et par les actes.

    https://quranx.com/Tafsir/Kathir/22.52

    Cependant, une fois rentré chez lui, Mohammed reçut la visite de « l’ange Gabriel ».

    On lit ainsi, toujours chez Ibn Sa’d : Il était assis dans sa maison et, au soir, Gabriel vint à lui et révisa la sourate.

    C’est alors que Gabriel lui dit : « Ai-je apporté ces deux versets ? »

    L’apôtre d’Allah dit : « J’ai attribué à Allah, ce qu’il n’a pas dit ». C’est alors qu’Allah lui révéla les versets suivants (Sourate 17, versets 73 à 75) :  Ils ont failli te détourner de ce que Nous t’avions révélé, [dans l’espoir] qu’à la place de ceci, tu inventes quelque chose d’autre et (l’imputes) à Nous. Et alors, ils t’auraient pris pour ami intime. Et si Nous ne t’avions pas raffermi, tu aurais bien failli t’incliner quelque peu vers eux. Alors, Nous t’aurions certes fait goûter le double [supplice] de la vie et le double [supplice] de la mort; et ensuite tu n’aurais pas trouvé de secoureur contre Nous. – Ibid

     

    TEACHING: The Prophet Possessed by A Jinn "Al Abyad" (The White One) -  YouTube

     

    Le démon al'-malik al'abyad « le roi blanc » associé au lundi, à la Lune, et à l'argent.

    قال ابن عباس رضي الله عنهما في رواية عطاء إن شيطانا يقال له الأبيض أتاه على صورة جبريل عليه السلام وألقى عليه هذه الكلمة فقرأها فلما سمع المشركون ذلك أعجبهم فجاء جبريل عليه السلام فاستعرضه فقرأها فلما بلغ إلى تلك الكلمة قال جبريل عليه السلام أنا ما جئتك بهذه قال رسول الله صلى الله عليه وسلم إنه أتاني آت على صورتك فألقاها على لساني

     

    It is reported from ‘Ata’ that Ibn ‘Abbas said: A devil called al-Abyad came to the Prophet (ﷺ) in the form of Jibril (Gabriel) and cast these words (i.e. the Satanic verses) upon him, and the Prophet recited them.

    When the pagans heard that it pleased them. Thereupon,

    Jibril came and asked him to rehears the revelation to him.

    When he reached those words Jibril said: I did not bring you these words.

    Someone came to me in your form and cast these words on my tongue.

    Mehmed ibn Emir Hasan al-Su’ûdî, Matâli’ al-su‘âda wa yanâbi‘ al-siyâda, Istanbul (Turquie), 1582. Bn

    Lorsqu’on lit ces versets tout en ayant connaissance de tout ce qui s’est passé auparavant, il me semble qu’on peut affirmer avec certitude que le prétendu ange Gabriel et le démon Al-Abiyad ne sont qu’une seule et même entité démoniaque. (un djinn)  

    https://sunnah.com/bukhari:4862

    Narrated Ibn `Abbas : The Prophet (ﷺ) performed a prostration when he finished reciting Surat-an-Najm, and all the Muslims and pagans and Jinns and human beings prostrated along with him.

    Chez Boukhari, par exemple, on lit le rapport suivant : Rapporté par Ibn Abbas : Le Prophète se prosterna après avoir fini de réciter la sourate An-Najm (Sourate 53) et tous les musulmans et les Mushrikun (polythéistes, païens, idolâtres et mécréants) ainsi que les djinns (des démons ! )  et les êtres humains se prosternèrent avec lui. – Sahih Boukhari, n°4862

    liens : 

    Translation of Sahih Bukhari
    Translation of Sahih Muslim
    Translation of Malik's Muwatta
    Partial Translation of Sunan Abu Dawood Under Construction for completion!
    Translation of Hadith Qudsi
    Translation of Al Nawawi's Forty Hadith

     

    Je m’étonne que si vite vous vous laissiez détourner de celui qui vous a appelés en la grâce de Jésus-Christ, pour passer à un autre Evangile : non pas qu’il y ait un autre Evangile ; mais il y a des gens qui vous troublent et qui veulent changer l’Evangile du Christ. Mais si nous-mêmes, si un ange venu du ciel vous annoncerait un autre Evangile que celui que nous vous avons annoncé, qu’il soit anathème  ! – Galates 1 ; 8

    Mohammed fut la victime d’un démon qui se présenta à lui comme étant l’ange Gabriel. 

    Si Mohammed avait eu l’occasion de lire la Sainte Bible en son temps, il aurait médité sur les fameuses paroles de Saint Paul dans 2 Corinthiens 11.

    Cela lui aurait peut-être évité de devenir un ministre de l’erreur : Ces gens-là sont de faux apôtres, des ouvriers astucieux, qui se déguisent en apôtres du Christ. Et ne vous en étonnez pas; car Satan lui-même se déguise en ange de lumière. Il n’est donc pas étrange que ses ministres aussi se déguisent en ministres de justice. Leur fin sera selon leurs œuvres. – 2 Corinthiens 11 ; 13-15

    Le grand érudit shiite médiéval Ibn Al Nadim, dans son Kitab Al Fihrust mentionne un livre (il s’agit en l’occurrence du livre kabbalistique pseudobiblique dit « Testament de Salomon », daté du 1e siècle de notre ère) dans lequel apparaissent 70 jinns, dont « sept rois jinns » qui sont chacun attachés à un jour de la semaine.

    *Or, le démon « Al Abiyad », celui qui aurait trompé Mohammed, est le jinn associé au lundi.*

    L’érudit soufi Mohammed Al Tabasi, par exemple, a rédigé au 11e siècle un traité sur les méthodes pour contrôler ces démons au moyen d’incantations, de charmes, de combinaisons de lettres et de formules, en vue d’obtenir des pouvoirs surnaturels.

    Comme nous l’avons dit, il apparaît, selon la démonologie islamique, que le démon « Al Abiyad » est constamment associé avec le lundi.

    Or, selon le très éminent savant sunnite contemporain Ar-Raheeq Al-Makhtum, dans sa célèbre biographie de Mohammed, c’est précisément un lundi que Mohammed reçut la première révélation coranique de « l’ange Gabriel ». 

    Au mois de Ramadan, au cours de sa troisième année de solitude dans la grotte de Hira, la volonté d’Allah a désiré que sa miséricorde abonde sur terre et Mohammed fut honoré en tant que prophète, et c’est ainsi que la lumière de la révélation éclata sur lui par quelques verses du noble Coran.

    En ce qui concerne la date exacte de cet événement, un examen attentif des circonstances et des indices pertinents indique le lundi, 21e jour du mois de Ramadan, pendant la nuit, c’est-à-dire le 10 aout de l’année 610, c’est-à-dire au moment où Mohammed était exactement âgé de 40 ans, 6 mois et 12 jours, c’est-à-dire 39 ans, 3 mois et 22 jours selon le calendrier grégorien. – Ar Raheeq Al Makhtum, The Seal of Nectar, p. 68  PDF 

    Pour finir, laissons encore parler Mohammed, puisqu’il a lui-même explicitement admis avoir inventé ou du moins relayé des fausses révélations 

    *J’ai fabriqué des paroles contre Dieu et je lui ai prêté des paroles qu’il n’a pas prononcées. – Al Tabari, Histoire, Volume 6, p.111

     


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