• islam

     

    à propos des FAUX prophètes !

    les évangiles sont précis ! oui ? non ? 

    (Yeshuwah mashyHa nazaraya)

     

     

    ALORS suivre JESUS CHRIST ?

    ou bien suivre d'autres  prétendus prophètes  ?

    Matthieu 24

    11 beaucoup de prophètes menteurs s'établiront et TROMPERONT beaucoup

    ܘ ܣܰܓ݁ܺܝܶܐܐ ܢܒ݂ܺܝܶܐ ܕ݁ܰܓ݁ܳܠܶܐ ܢܩܽܘܡܽܘܢ ܘ ܢܰܛܥܽܘܢ ܠ'ܣܰܓ݁ܺܝܶܐܐ

     وسَجِيِاا نبِيِا دَجَلِا نقُومُون و نَطعُون ل'سَجِيِاا

    (ATTENTION) Beware of false prophets

    Matthieu 24

    24 - Car il s'élèvera des messies menteurs de faux Christs et des prophètes menteurs  de faux prophètes   *

    faux

    (ATTENTION !)  And many false prophets

    Matthieu 24:24 Car il s’élèvera de faux Christs (MashyHa) et de faux prophètes ; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de décevoir, s’il était possible, même les élus.

    For there shall arise false Christs (MashyHa) and false prophets and shall show great signs and wonders, insomuch that, if it were possible, they shall deceive the very elect.

    Marc 13:22 Car il s’élèvera de faux OINTS (faux messies faux Christs) et de faux prophètes..

    for false (MashyHa) and false prophets shall rise,

    qu'a dit l'apôtre SIMON Pierre ? 

    2 Peter 2:1 But there were false prophets also among the people, even as there shall be

    (Imams, Rabbins, faux guides)  (Imams, Rabbis, false teachers)

    qu'a dit l'apôtre Paul à propos d'un ange du ciel ?

    alors ce serait l'ange Gabriel qui à parler à Muhammed ?

    would it be the angel Gabriel who instructed Muhammed ?

    that's not true

    it is a demon lie that appeared to Muhammad

    Galatiens 1:8 Mais quand nous-mêmes (les apôtres) 

    quand un ange du ciel annoncerait un autre Evangile 

    (pas l'ange Gabri'el, pas Rapha'el, pas Mika'el)

    que celui que nous (les apôtres) avons prêché

    qu’il soit anathème > curse; cursed thing; excommunication, anathema;

    d'où vient le coran ? du CIEL ou des HOMMES ?

    ou bien des paroles d'hommes sans l'onction de l'Esprit Saint ?  

    2 Corinthiens 11:14  Et cela n’est pas étonnant puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière > prends l'apparence de Gabriel 

    le coran serait une nouvelle révélation ? un autre Evangile ? NON

    Galatians 1:8  But should we, or an angel from Heaven, preach any other gospel unto you than that which we have preached to you, let him be accursed.

    1 Timothée 4:1 Mais l’Esprit dit expressément que, dans les derniers temps, quelques-uns abandonneront la foi, pour s’attacher à des esprits séducteurs (mensonge/ tromperie) et à des doctrines de démons

    quelques-uns abandonneront la foi en JESUS CHRIST

    pour se convertir à l'ISLAM 

    pour se convertir au Judaïsme

     

  • 1) Muhammad est mort empoisonné 

    La façon dont est mort Mohammed est extrêmement bien sourcée dans les hadiths.

    Tout musulman minimalement instruit sait que Mohammed est mort des suites d’une maladie.

    Et pas de n’importe quelle maladie.En effet, selon le consensus général des hadiths, c’est Mohammed lui-même qui a témoigné avec précision de l’origine exacte de la maladie qui causa sa mort.

    Raconté par Aicha : Le prophète disait à propos de cet aliment qui causa sa mort : « O Aicha ! Je sens encore la douleur causée par la nourriture que j’ai mangée à Khaibar, et à ce moment même, il me semble comme si mon aorte eut été tranchée à cause de ce poison. – Sahih Boukhari, volume 5, livre 59, n°713

    Narrated `Aisha: The Prophet (ﷺ) in his ailment in which he died, used to say, "O `Aisha! I still feel the pain caused by the food I ate at Khaibar, and at this time, I feel as if my aorta is being cut from that poison."

    وَقَالَ يُونُسُ عَنِ الزُّهْرِيِّ، قَالَ عُرْوَةُ قَالَتْ عَائِشَةُ ـ رضى الله عنها ـ كَانَ النَّبِيُّ صلى الله عليه وسلم يَقُولُ فِي مَرَضِهِ الَّذِي مَاتَ فِيهِ ‏

    "‏ يَا عَائِشَةُ مَا أَزَالُ أَجِدُ أَلَمَ الطَّعَامِ الَّذِي أَكَلْتُ بِخَيْبَرَ، فَهَذَا أَوَانُ وَجَدْتُ انْقِطَاعَ أَبْهَرِي مِنْ ذَلِكَ السَّمِّ ‏"

    Tout ceci devrait stupéfaire tout musulman honnête

    Comment se peut-il que le prophète de l’islam meure exactement du genre de mort qui, selon la Sourate 69, devait frapper Mohammed si celui-ci « avait inventé des paroles qu’il avait attribuées » à Dieu ?

    Avant de continuer, il faut préciser le contexte général : L’empoisonnement auquel fait référence Mohammed dans ce hadith, a eu lieu au cours d’un repas de noce à Khaybar, en Arabie.

    En effet, à la suite d’une bataille dans cette ville, contre la tribu des Banu Nadir, les troupes de Mohammed ont vaincu et soumis la population locale. À cette occasion, Mohammed et ses hommes capturent un grand nombre d’individus, en particulier de belles jeunes femmes qu’ils réduisent en esclavage sexuel.

    L’une d’entre elles s’appelle Safiya Bint Huyay. Parce qu’elle est très belle et qu’elle appartient à une famille importante, Mohammed s’eprend d’elle. Après avoir tué son mari, Mohammed capture donc Safiya et la prend pour femme.

    Parmi les autres femmes captives se trouve également Zaynab Bint Hurith, originaire de Khaybar elle aussi, et dont toute la famille vient d’être tuée par les troupes de Mohammed.

    Le repas dont il est question ici est donc le repas de noces que Mohammed et les siens donnent à l’occasion de ce mariage pour le moins forcé.

    Mohammed empoisonné lors d’un repas à Khaybar

    Nous avons vu que Mohammed lui-même témoigne que la maladie qui le tua fut causée par l’ingurgitation d’un poison au cours de ce repas de noces et que l’absorbtion de ce plat empoisonné, toujours selon ses propres mots, provoqua en lui un tel sentiment que ce fut « comme si mon aorte eut été tranchée ».

    Ce ne fut pas là qu’une simple impression, ni une figure de style employée par Mohammed.

    Dans de nombreux autres hadiths, Mohammed est formel : c’est bien l’ingurgitation de ce plat qui causa directement la rupture de son aorte.

    Oum Bishr dit au prophète durant la maladie de laquelle il mourut : Que penses-tu de ta maladie, apôtre d’Allah ? Je ne pense jamais à la maladie de mon fils, sinon pour me souvenir du mouton empoisonné qu’il mangea avec toi à Khaybar. Le prophète répondit : Et je ne pense pas à ma maladie, sinon à cause de cet événement. Ce fut à cette occasion que mon aorte fut coupée. – Sunan Abou Dawoud, n°4449

    Mohammed lui-même confirme donc une nouvelle fois que la cause de sa mort fût que son aorte fût littéralement coupée à la suite de cet empoisonnement. Il ne parlait donc pas en utilisant une figure de style.

    On peut même être extrêmement surpris de voir Mohammed insister à ce point sur la rupture de son aôrte.

    En effet, ni lui, ni les gens de son entourage, ne devaient ignorer que la sourate 69 annonçait précisément que les faux prophètes devaient mourir de cette maladie en particulier.

    Rappellons encore une fois que les versets de Coran 69 ; 38-47 sont extrêmement précis en ce qui concerne la façon dont Mohammed serait tué s’il « inventait des paroles qu’il aurait attribuées à Dieu ».

    On lit effectivement dans ces versets : « nous l’aurions saisi de la main droite, ensuite, Nous lui aurions tranché l’aorte ».

    Ce détail, « nous l’aurions saisi de la main droite » a une grande importance dans la mesure où Mohammed, selon son propre témoignage, a eu l’aorte tranchée en mangeant un plat empoisonné. Ou du moins, c’est en mangeant ce plat empoisonné qu’il a contracté une maladie qui causa ensuite une rupture de l’aorte.

    Or, il faut savoir que Mohammed enseignait qu’il n’était pas bon de manger de la main gauche, sous prétexte que c’était la façon de manger du diable. (quelle fable !) 

    D’après ‘Abdallah Ibn ‘Omar (qu’Allah les agrée), le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Qu’aucun d’entre vous ne mange ni ne boive avec sa main gauche car certes Chaytan (satan) mange et boit avec sa main gauche. – Sahih Muslim, n°2020  sunnah 2020 a

    Ibn 'Umar reported Allah's Messenger (ﷺ) as saying: When any one of you intends to eat (meal), he should eat with his right hand. and when he (intends) to drink he should drink with his right hand, for the Satan eats with his left hand and drinks with his left hand.

    Ibn 'Umar reported Allah's Messenger (ﷺ) as saying: When any one of you intends to eat (meal), he should eat with his right hand. and when he (intends) to drink he should drink with his right hand, for the Satan eats with his left hand and drinks with his left hand.

    On peut donc avoir la certitude que Mohammed mangeait avec la main droite lorsqu’il se tenait au repas de Khaybar.

    Un grand nombre d’autres hadiths authentiques confirment que Mohammed considérait que sa mort fut causée par le poison ingéré à Khaybar et que ce poison lui causa une rupture de l’aorte.

    Dans le hadith d’Ibn Sa’d, on découvre comment Bishr Ibn Al Bara (le fils d’Oum Bishr dont il a été question plus haut dans la Sunnan Abou Dawoud) mourrut à l’occasion de ce repas.

    Ayant pleine confiance dans les supposées vertus surnaturelles de Mohammed, Bishr Ibn Al Bara n’avait pas hésité à manger du plat en question.

    Ce n’est que parce qu’il vit Mohammed manger de ce plat qu’il se figurât qu’il n’y avait aucun risque.

    On lit son témoignage chez Ibn Sa’d : L’apôtre d’Allah prit la cuisse, qu’il porta dans sa bouche. Bishr Ibn al Bara pris une autre partie et la mit dans sa bouche. Au moment où le prophète d’Allah mangea un morceau, Bishr mangea le sien et les autres personnes en prirent aussi. C’est à ce moment que l’apôtre d’Allah dit : Retirez vos mains! Car j’ai senti dans cette cuisse que (la nourriture) est empoisonnée. Sur ceci, Bishr dit : Par celui qui t’a fait grand ! Je l’avais senti par le morceau que j’ai pris. Rien ne m’empêchait de le recracher, sauf l’idée de croire que je n’eus pas aimé la saveur de ta nourriture. Lorsque tu mangeas ce qui était dans ta bouche, je n’aimais pas le fait de sauver ma vie après la tienne et je pensais d’ailleurs que tu n’en aurais pas mangé, s’il y avait eu quelque problème. Bishr ne se leva pas de son siège, mais la couleur (de son visage) changea à la manière de celle d’un taylsan (un vêtement vert). – Hadith Ibn Sa’d, volume 2, p. 253

    Voir aussi Tabari, page 124, qui confirme encore la même tradition.

    Maintenant, voyons qui est responsable de l’empoisonnement de Mohammed.

    Qui a empoisonné le plat de Mohammed et pour quelle raison ?

    Les hadiths nous rapportent clairement et de façon concordante que la personne qui a empoisonné le plat de Mohammed fut une jeune femme du nom de Zaynab Bint Hurith.

    Comme nous l’avons mentionné précédemment, Zaynab, tout comme Safiya, est une jeune femme juive originaire de Khaybar.

    Après l’attaque de la ville par les troupes de Mohammed, les deux jeunes femmes n’ont plus de famille : tous leurs parents, en particulier les hommes, ont été tués ou réduits à l’esclavage. Zaynab a donc été capturée comme esclave.

    Peut-être à cause d’un excès de confiance ou d’un sentiment de toute-puissance, Mohamed et ses lieutenants ne semblent pas s’imaginer que cette jeune femme, Zaynab, qui vient de voir toute sa famille se faire massacrer quelques heures auparavant, puisse entretenir quelque compréhensible ressentiment à l’égard de ses bourreaux.

    C’est donc sans se méfier qu’ils acceptent la nourriture qu’elle vient leur apporter. Toutefois, comme nous allons le voir, le mobile de Zaynab n’est pas seulement motivé par un pur désir de vengeance.

    De façon presque providentielle, elle cherche également à montrer à tous que Mohammed est un faux prophète et qu’il n’est rien d’autre que le chef d’une bande de pillards.

    Tel est son témoignage dans la Sunan d’Abou Dawoud : À Khaybar une juive [Zaynab Bint Hurith] présenta à Muhammed un mouton rôti qu’elle avait empoisonné. L’apôtre de Dieu mangea, ainsi que les autres personnes. Puis il dit : retirez vos mains, car j’ai senti que cette nourriture est empoisonnée. Bishr bin al Bara bin Ma’rur al Ansari mourut (immédiatement). Ainsi, le prophète envoya chercher la juive et lui dit : « Qu’est ce qui t’a incité à faire cela ? Elle répondit : « Si tu étais un prophète, cela ne te ferait aucun mal ; mais si tu n’étais qu’un roi, je débarrasserais ainsi le peuple de toi. » L’apôtre d’Allah donna alors des ordres la concernant et elle fut tuée. Il parlait (par la suite) de la douleur de laquelle il mourut de la façon suivante  : J’ai continué de sentir la douleur de ce morceau de viande que j’ai mangé à Khaybar. C’est de là que vint que mon aôrte fut coupée. – Sunan Abou Dawoud, n°4498

    Narrated AbuHurayrah: A man was killed in the lifetime of the Prophet (ﷺ). The matter was brought to the Prophet (ﷺ). He entrusted him to the legal guardian of the slain. The slayer said: Messenger of Allah, I swear by Allah, I did not intend to kill him. The Messenger of Allah (ﷺ) said to the legal guardian: Now if he is true and you kill him, you will enter Hell-fire. So he let him go. His hands were tied with a strap. He came out pulling his strap. Hence he was called Dhu an-Nis'ah (possessor of strap).

    Nous lisons donc ici un remarquable témoignage de l’acte de Zaynab, mais aussi une nouvelle confirmation de l’origine de la maladie qui causa la mort de Mohammed.

    L’acte de Zaynab révèle providentiellement l’imposture de Mohammed

    Ainsi donc, de manière providentielle et tout à fait extraordinaire, l’acte de Zaynab a révélé aux yeux de tous, du moins à ceux qui avaient des yeux pour voir, que Mohammed était un faux prophète.

    Enivré peut-être par ses victoires, il n’a pas été capable de comprendre que le plat était empoisonné.

    De même, lui qui était coutumier des révélations soudaines et opportunes, Mohammed n’a reçu ici aucune révélation divine qui aurait pu l’avertir de la menace.

    Cet épisode de la vie de Mohammed est copieusement attesté dans les traditions les plus antiques et les plus authentiques de l’islam :

    Le Messager d’Allah fit amener Zaynab Bint Al Harith (celle qui l’empoisonna) et lui dit : « Qu’est ce qui t’a incité à faire ce que tu as fait? » Elle répondit : « Tu as fait à mon peuple ce que tu as fait. Tu as tué mon père, mon oncle et mon mari, et donc je me suis dit en moi-même ‘Si tu es un prophète, tu l’aurais su (l’empoisonnement)’ et d’autres rapportèrent : ‘Si tu n’es qu’un roi, nous nous débarrasserons de toi. – Ibn Sa’d, page 252

    «L’Apôtre d’Allah fit venir Zainab Bint al-Harith et lui dit: Qu’est-ce qui t’a conduit à faire ce que tu as fait? Elle répondit: Tu as fait à mon peuple ce que tu as fait. Tu as tué mon père, mon oncle et mon mari, alors je me suis dit: Si tu es un prophète, le morceau de viande va t’informer; et d’autres ont dit: Si tu es un roi, nous nous débarrasserons de toi.» ( Ibn Sa’d p. 252)

    Il est donc vraiment stupéfiant de voir que le Coran 69 ; 38-47 décrive avec une pareille précision la façon exacte dont est mort Mohammed.

    Mohammed piégé par le Coran

    En effet, nous voyons ici une annulation mutuelle des prétentions du Coran à être une révélation divine, ainsi qu’une annulation des prétentions prophétiques de Mohammed.

    si le Coran est la révélation divine et si Mohammed est le prophète de Dieu, comment se fait-il qu’il soit mort exactement de la façon dont meurent les faux prophètes selon le même Coran ?

    Or, si Mohammed est un faux prophète, il faut donc nécessairement conclure que le Coran lui-même est une fausse révélation.

    Dans de précédentes études, nous avons clairement pu vérifier que, toujours selon les mêmes sources islamiques, antiques et orthodoxes, Mohammed était loin d’être un mystique fiable :

    Mohammed fut trompé par de fausses révélations apportées par un démon déguisé sous l’apparence de « l’ange Gabriel ». 

    C’est le cas notoire du contexte de la révélation des « versets sataniques » de la Sourate 53 que nous allons examiner plus loin.

    À d’autres occasions, Mohammed reçut des révélations soudaines qui lui permettaient opportunément de justifier ou de débloquer une situation à l’instant T.

    C’est un peu ce qu’on observe dans l’étrange histoire du divorce de Zaynab et Zayd dans la Sourate 33 ou encore dans le contexte de la révélation des versets sur le voile islamique, dans la même sourate.

    2) Les Versets Sataniques

    Le cas des fameux versets sataniques, à savoir les versets 19 à 23 de la sourate 53, apportent la preuve définitive, à la fois contre le Coran, ainsi que contre Mohammed.

    Dans ces versets, on lit la chose suivante : Que vous en semble [des divinités], Lât et Uuzzâ ainsi que Manât, cette troisième autre ? Sera-ce à vous le garçon et à Lui la fille ? Que voilà donc un partage injuste ! Ce ne sont que des noms que vous avez inventés, vous et vos ancêtres. Allah n’a fait descendre aucune preuve à leur sujet. Ils ne suivent que la conjecture et les passions de leurs âmes, alors que la guidée leur est venue de leur Seigneur. – Coran 53 ; 19-2

    Lus ainsi, on pourrait croire que ces versets sont une condamnation ferme des divinités païennes bien connues dans l’Arabie du temps de Mohammed.

    En réalité, on consultant les sources les plus authentiques de la Tradition islamique, on apprend que ces versets ne sont pas les versets originaux du Coran. Ils sont venus en remplacer d’autres, à savoir les fameux versets sataniques.

    Tout ceci est confirmé par une chaîne de transmission tout à fait authentique, puisqu’elle remonte à Ibn Abbas, qui était l’un des plus proches fidèles de Mohammed : Ibn Abbas a dit : Un diable nommé « le blanc » (Al Abiyad) vint auprès du messager d’Allah (Mohammed) sous l’apparence de Gabriel et il plaça dans sa récitation (c’est-à-dire sa récitation du Coran) : « En effet, ces idoles sont d’illustres divinités, dont l’intercession doit être espérée » et le prophète les récita. – Al-Qurtubi, Shams al-Din, al-Jami‘ li-Ahkam al-Qur’an, Le Caire, Dar al-Kutab al-Misriyya, 1964, Volume 12, p.84

    Ainsi donc, selon Ibn Abbas, en au moins une occasion, Mohammed fut trompé par un démon qui lui affirma qu’il était bon de prier et d’espérer en l’intercession de divinités païennes.

    (in his recitation (of the revelation).) "When he spoke, the Shaytan threw (some falsehood) into his speech, but Allah abolished that which the Shaytan threw in.''

    ثُمَّ يُحْكِمُ اللَّهُ ءَايَـتِ

     

    L’authenticité de cet évènement de fait aucun doute, puisqu’il est rapporté par les plus grands biographes de Mohammed, à savoir Ibn Hisham, Ibn Ishaq, Ibn Sa’d, Al-Waqidi, Al-Tabari. (5 sources fiables)

    Pire encore, après avoir reçu cette révélation, Mohammed la récita et se prosterna, juste après avoir affirmé qu’on pouvait espérer dans l’intercession de ces idoles païennes :

    Satan lui fit répéter ces deux phrases : « ces idoles sont d’illustres divinités, dont l’intercession doit être espérée ».

    L’apôtre d’Allah les répéta, puis il récita la sourate complète et se prosterna, et les gens qui étaient là se prosternèrent avec lui. – Ibn Sa’d’s « Kitab al Tabaqat al Kabir » (Book of the Major Classes), Volume 1, parts 1 and 2, pp. 236 – 239, translated by S. Moinul Haq, published by the Pakistan Historical Society

    Il faut savoir qu’à cette occasion, se prostèrent aussi bien des partisans de Mohammed que des païens qui étaient présents et qui se rejouirent d’ailleurs de la proposition syncrétiste que Mohammed venait de leur faire, par les paroles et par les actes.

    https://quranx.com/Tafsir/Kathir/22.52

    Cependant, une fois rentré chez lui, Mohammed reçut la visite de « l’ange Gabriel ».

    On lit ainsi, toujours chez Ibn Sa’d : Il était assis dans sa maison et, au soir, Gabriel vint à lui et révisa la sourate.

    C’est alors que Gabriel lui dit : « Ai-je apporté ces deux versets ? »

    L’apôtre d’Allah dit : « J’ai attribué à Allah, ce qu’il n’a pas dit ». C’est alors qu’Allah lui révéla les versets suivants (Sourate 17, versets 73 à 75) :  Ils ont failli te détourner de ce que Nous t’avions révélé, [dans l’espoir] qu’à la place de ceci, tu inventes quelque chose d’autre et (l’imputes) à Nous. Et alors, ils t’auraient pris pour ami intime. Et si Nous ne t’avions pas raffermi, tu aurais bien failli t’incliner quelque peu vers eux. Alors, Nous t’aurions certes fait goûter le double [supplice] de la vie et le double [supplice] de la mort; et ensuite tu n’aurais pas trouvé de secoureur contre Nous. – Ibid

     

    TEACHING: The Prophet Possessed by A Jinn "Al Abyad" (The White One) -  YouTube

     

    Le démon al'-malik al'abyad « le roi blanc » associé au lundi, à la Lune, et à l'argent.

    قال ابن عباس رضي الله عنهما في رواية عطاء إن شيطانا يقال له الأبيض أتاه على صورة جبريل عليه السلام وألقى عليه هذه الكلمة فقرأها فلما سمع المشركون ذلك أعجبهم فجاء جبريل عليه السلام فاستعرضه فقرأها فلما بلغ إلى تلك الكلمة قال جبريل عليه السلام أنا ما جئتك بهذه قال رسول الله صلى الله عليه وسلم إنه أتاني آت على صورتك فألقاها على لساني

     

    It is reported from ‘Ata’ that Ibn ‘Abbas said: A devil called al-Abyad came to the Prophet (ﷺ) in the form of Jibril (Gabriel) and cast these words (i.e. the Satanic verses) upon him, and the Prophet recited them.

    When the pagans heard that it pleased them. Thereupon,

    Jibril came and asked him to rehears the revelation to him.

    When he reached those words Jibril said: I did not bring you these words.

    Someone came to me in your form and cast these words on my tongue.

    Mehmed ibn Emir Hasan al-Su’ûdî, Matâli’ al-su‘âda wa yanâbi‘ al-siyâda, Istanbul (Turquie), 1582. Bn

    Lorsqu’on lit ces versets tout en ayant connaissance de tout ce qui s’est passé auparavant, il me semble qu’on peut affirmer avec certitude que le prétendu ange Gabriel et le démon Al-Abiyad ne sont qu’une seule et même entité démoniaque. (un djinn)  

    https://sunnah.com/bukhari:4862

    Narrated Ibn `Abbas : The Prophet (ﷺ) performed a prostration when he finished reciting Surat-an-Najm, and all the Muslims and pagans and Jinns and human beings prostrated along with him.

    Chez Boukhari, par exemple, on lit le rapport suivant : Rapporté par Ibn Abbas : Le Prophète se prosterna après avoir fini de réciter la sourate An-Najm (Sourate 53) et tous les musulmans et les Mushrikun (polythéistes, païens, idolâtres et mécréants) ainsi que les djinns (des démons ! )  et les êtres humains se prosternèrent avec lui. – Sahih Boukhari, n°4862

    liens : 

    Translation of Sahih Bukhari
    Translation of Sahih Muslim
    Translation of Malik's Muwatta
    Partial Translation of Sunan Abu Dawood Under Construction for completion!
    Translation of Hadith Qudsi
    Translation of Al Nawawi's Forty Hadith

     

    Je m’étonne que si vite vous vous laissiez détourner de celui qui vous a appelés en la grâce de Jésus-Christ, pour passer à un autre Evangile : non pas qu’il y ait un autre Evangile ; mais il y a des gens qui vous troublent et qui veulent changer l’Evangile du Christ. Mais si nous-mêmes, si un ange venu du ciel vous annoncerait un autre Evangile que celui que nous vous avons annoncé, qu’il soit anathème  ! – Galates 1 ; 8

    Mohammed fut la victime d’un démon qui se présenta à lui comme étant l’ange Gabriel. 

    Si Mohammed avait eu l’occasion de lire la Sainte Bible en son temps, il aurait médité sur les fameuses paroles de Saint Paul dans 2 Corinthiens 11.

    Cela lui aurait peut-être évité de devenir un ministre de l’erreur : Ces gens-là sont de faux apôtres, des ouvriers astucieux, qui se déguisent en apôtres du Christ. Et ne vous en étonnez pas; car Satan lui-même se déguise en ange de lumière. Il n’est donc pas étrange que ses ministres aussi se déguisent en ministres de justice. Leur fin sera selon leurs œuvres. – 2 Corinthiens 11 ; 13-15

    Le grand érudit shiite médiéval Ibn Al Nadim, dans son Kitab Al Fihrust mentionne un livre (il s’agit en l’occurrence du livre kabbalistique pseudobiblique dit « Testament de Salomon », daté du 1e siècle de notre ère) dans lequel apparaissent 70 jinns, dont « sept rois jinns » qui sont chacun attachés à un jour de la semaine.

    *Or, le démon « Al Abiyad », celui qui aurait trompé Mohammed, est le jinn associé au lundi.*

    L’érudit soufi Mohammed Al Tabasi, par exemple, a rédigé au 11e siècle un traité sur les méthodes pour contrôler ces démons au moyen d’incantations, de charmes, de combinaisons de lettres et de formules, en vue d’obtenir des pouvoirs surnaturels.

    Comme nous l’avons dit, il apparaît, selon la démonologie islamique, que le démon « Al Abiyad » est constamment associé avec le lundi.

    Or, selon le très éminent savant sunnite contemporain Ar-Raheeq Al-Makhtum, dans sa célèbre biographie de Mohammed, c’est précisément un lundi que Mohammed reçut la première révélation coranique de « l’ange Gabriel ». 

    Au mois de Ramadan, au cours de sa troisième année de solitude dans la grotte de Hira, la volonté d’Allah a désiré que sa miséricorde abonde sur terre et Mohammed fut honoré en tant que prophète, et c’est ainsi que la lumière de la révélation éclata sur lui par quelques verses du noble Coran.

    En ce qui concerne la date exacte de cet événement, un examen attentif des circonstances et des indices pertinents indique le lundi, 21e jour du mois de Ramadan, pendant la nuit, c’est-à-dire le 10 aout de l’année 610, c’est-à-dire au moment où Mohammed était exactement âgé de 40 ans, 6 mois et 12 jours, c’est-à-dire 39 ans, 3 mois et 22 jours selon le calendrier grégorien. – Ar Raheeq Al Makhtum, The Seal of Nectar, p. 68  PDF 

    Pour finir, laissons encore parler Mohammed, puisqu’il a lui-même explicitement admis avoir inventé ou du moins relayé des fausses révélations 

    *J’ai fabriqué des paroles contre Dieu et je lui ai prêté des paroles qu’il n’a pas prononcées. – Al Tabari, Histoire, Volume 6, p.111

     


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  • Thanks for checking out our YouTube channel. https://www.youtube.com/c/CIRAInternational

    Rob partage 5 noms d'Allah qui le révèlent en fait être le diable déguisé, se faisant passer pour Dieu.

    Le Coran lui-même décrit Allah comme arrogant, trompeur et humiliant.

    Comment sont-ils des qualités et des identifiants d'un Dieu vrai et pur?

    Regardez cet épisode captivant démasquant Allah comme Satan lui-même.

    sous titres Fr / Eng / ++++ paramêtres 

    Rob Christian  

    L'Islam n'est qu'un MENSONGE

    https://www.facebook.com/cirainternational

    Al Fadi and his guest, a Christian Apologist

    Rob Christian are starting off a new series spanning from Allah to Muhammed to the Qur'an itself. In this episode,

    Brother Rob shares 5 names of Allah that actually reveal him to be the devil in disguise, masquerading as God.

    The Qur'an itself describes Allah as arrogant, deceiving, and a humiliator.

    How can these be qualities and identifiers of a true and pure God? Watch this gripping episode unmasking Allah as Satan himself.

     


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  • conclusion 1 

    le coran n'a rien de neuf à annoncer

    des fables talmudiques, des légendes, des histoires 

    conclusion 2

    mieux vaut mille fois la bible (le texte seul)

     

     


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  • Les sources les plus fiables de l'islam affirment qu'Aisha n'avait en effet que 9 ans lorsque son mariage a été consommé avec Muhammad.

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    Certains musulmans  menteurs et disent qu'Aisha était vraiment plus âgée que cela lorsque le mariage était consommé pour mettre à l'aise les esprits musulmans modernes

    mais les sources musulmanes la déclarent à plusieurs reprises à l'âge de 9 ans, juste une petite fille.

    Même les érudits musulmans modernes affirment ces faits.

    Muhammed is an Idolater

    Regardez Al Fadi et le Dr David Wood examinent plusieurs sources islamiques qui détaillent les circonstances et le moment du mariage d'Aisha avec Muhammad.

    Muhammed is an Idolater

    https://sunnah.com/nasai:3380

    It was narrated that 'Aishah said: "The Messenger of Allah married me when I was six, and consummated the marriage with me when I was nine."

    Grade:  Hasan (Darussalam)    

     

    Reference  : Sunan an-Nasa'i 3379
    In-book reference  : Book 26, Hadith 184
    English translation  : Vol. 4, Book 26, Hadith 3381

     

     

     

    Mahomet a épousé une enfant de six ans

    Aisha, fille d'Abu-Bakr était une belle petite fille.

    Muhammad l'a épousée quand il avait cinquante-trois ans

    elle n'avait que six ans.

    Il a eu des relations sexuelles avec elle quand elle avait neuf ans.

    Épouses du Prophète, pages 57-61 ) Sunan an-Nasa'i 3378

    It was narrated that 'Aishah said: "The Messenger of Allah married me when I was six, and consummated the marriage with me when I was nine, and I used to play with dolls.

    Il s’agit d’un cas flagrant de maltraitance d’enfants par le prophète de l’Islam.

    Lorsque Mahomet épousa Aïcha, il donna l’exemple aux musulmans.

    Aujourd’hui encore, des hommes musulmans plus âgés épousent des filles beaucoup plus jeunes, suivant l’exemple de Mahomet.

    L'hebdomadaire égyptien Almussawar a publié une lettre envoyée à Ameenah Al-Saaeed, l'une de ses rédactrices, par une femme qui était professeur de langues en Égypte.

    La lettre a été publiée dans le numéro du 6 septembre 1991.

    Voici une partie de cette lettre : Chère mère Ameenah Al-Saaeed : Mon problème est. . . mon mari est rentré à la maison avec un ami qui a à peu près son âge. Il a demandé que notre fille « Marwa », âgée de neuf ans, apporte du thé à son ami. Le soir, il m'a dit avec une grande joie que son ami avait accepté d'épouser « Marwa ». Son ami a cinquante ans, "Marwa" a neuf ans. Lorsque je me suis opposé, il m'a dit qu'il suivait l'exemple du prophète Mahomet lorsqu'il avait engagé Aïcha lorsqu'elle avait six ans et avait eu des relations sexuelles avec elle lorsqu'elle avait neuf ans, comme il est écrit dans Sahih Al-Bukhary.

    Muhammad Sobhi Alantabli, un officier de police de haut rang, a envoyé une lettre au même rédacteur en chef, qui a été publiée dans le magazine Almussawar dans le numéro du 20 décembre 1991.

    Voici une partie de cette lettre : Le chef d'une tribu m'a invité à assister à son mariage. Il avait huit quatre ans et son épouse quatorze ans. "Pourquoi épouses-tu une fille beaucoup plus jeune que toi?" J'ai demandé. "Parce que mes trois autres femmes sont devenues vieilles, et quand la femme vieillira, elle sera comme une voiture rouillée. Je veux dire une voiture couverte de rouille", a-t-il répondu. Le père de la jeune mariée était très heureux de ce mariage.

     

     

     


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  •  

    L'islam pratique le mensonge légal (takia) considéré comme légitime dès lors qu'il s'agit de protéger l'islam.

    On rencontre aussi le déni (refus de reconnaître l'évidence), le rideau de fumée (la fausse adhésion ou faux accord), l'évitement (le refus de la discussion au fond).

    FETE DU MOUTON-FETE DU SACRIFICE POUR L'AÏD - Mariage Franco Marocain

    Les tabous alimentaires d'origine juive propagés par l'islam ne concernent pas que la viande de porc.

    L'abattage rituel ("halal") est aussi pratiqué de plus en plus massivement en Occident, avec des inconvénients nombreux. Cruauté envers l'animal, risque sanitaire pour le consommateur, dissimulation au consommateur de la nature halal de la viande qu'il consomme

    "des taxes religieuses" particulièrement lucrative pour financer l'islam, voire des activités criminelles.

     

    ce que les Seigneur Yahwéh à dit par le prophète ESAIE à propos :

    des sacrifices ?

    des shabbats, ?

    des nouvelles lunes ?

    Esaïe 1

     13  Cessez d’apporter de vaines offrandes : J’ai (le Seigneur Dieu) en horreur l’encens, Les nouvelles lunes, les sabbats et les assemblées Je (le Seigneur Dieu) ne peut voir le crime s’associer aux solennités. (aux fêtes

    14  Mon âme hait vos nouvelles lunes et vos fêtes Elles me sont à charge ; Je suis las de les supporter.

    15  Quand vous étendez vos mains, je détourne de vous mes yeux ; Quand vous multipliez les prières, je n’écoute pas : Vos mains sont pleines de sang.

    16 Lavez-vous (au sens spirituel L'INTERIEUR  la repentance) purifiez-vous 

    Otez de devant mes yeux la méchanceté de vos actions Cessez de faire le mal.

    Stock Photo: Killing of sacred sheep called Qurbani for celebration Eid-e qorban in the house of Yazd in Iran. 

    celà s'adresse également aux ISLAMISTES avec leurs sacrifices et cette fête l'Aïd

    celà s'adresse également aux sacrificateurs JUDAISME 

    celà s'adresse également aux Hindouistes

    Esaïe 1

    11  "To what purpose is the multitude of your sacrifices unto Me?" saith the LORD. "I am full of the burnt offerings of rams and the fat of fed beasts; and I delight not in the blood of bullocks, or of lambs or of hegoats.

     

    11  К чему Мне множество жертв ваших? говорит Господь. Я пресыщен всесожжениями овнов и туком откормленного скота, и крови тельцов и агнцев и козлов не хочу.

     11  Que m’importent vos innombrables sacrifices dit Yahvéh. Je suis rassasié des holocaustes de béliers et de la graisse des veaux ; au sang des taureaux, des agneaux et des boucs, je ne prends pas plaisir.

     

     

     

    Si l'habit ne fait pas le moine, l'islam affectionne l'extériorité des apparences religieuses pour toute personne membre de la "communauté des croyants".

    L'appartenance ostensible à l'islam se répand y compris dans les pays occidentaux (voiles, barbes, gandouras et kamis

    effets de mode ? non ! autrefois il y avait les pharisiens et leurs phylactères

    Abbassides Dynastie de califes (750-1258) ayant triomphé de celle des Omeyyades (650-750), et choisi pour capitale non plus Damas mais Bagdad, pour lieu saint non plus Jérusalem mais La Mecque.

    Adda Principale fête musulmane rappelant l’offrande qu’Abraham aurait faite d’Ismaël, alors que la Genèse rapporte que ce sacrifice fut celui d’Isaac, remplacé par un bélier (Genèse 22.1-13), annonce du Sacrifice à venir du Christ mort et ressuscité.

    Alah : Contraction du mot arabe al-ilah, la divinité, pour désigner le Dieu unique, inconnu et donc idolâtré par l’islam.

    Alliance : Désigne l’histoire d’amour dans laquelle Dieu S’engage vis-à-vis de Son peuple et de Ses élus. La notion d’Alliance est caractéristique de la religion hébréo-chrétienne (Gen 6.18 ; Jér 31.31, 32.40 ; Bar 2.35 ; Ezéchiel 16.60 ; Luc 22.20 ; Mat 26.28 ; Heb 9.15).

    Almohades : Souverains berbères qui régnèrent sur la moitié de l’Espagne et la totalité du Maghreb de 1147 à 1269.

    Almoravides : Souverains berbères qui régnèrent sur l’ouest de l’Afrique du Nord et l’Espagne musulmane (fin XIe– milieu XIIe s).

    Ansar : Voir à nazaréen.

    Associateur/ Associationniste (moushrikoûn) : Croyant censé associer à l’unique divinité de pseudo-divinités, ce qui serait le péché propre des chrétiens (Coran 5.72-75,116 ; 6.100-102)

    le plus grand qui soit (Coran 4.48,116), en sorte qu’ils ne sont qu’impureté (Coran 9.28)

    les pires créatures (Coran 98.6)

    les plus viles des bêtes (Coran 8.55)

    et tous voués au feu de l’Enfer (Coran 9.17,113).

    Aya : Désigne un verset du Coran, synonyme de signe ou mir

    Bahã Allah : Surnom de Ali Nuri Mirzã Hoseyn (1817-1892), qui s’est prétendu le Mahdi attendu par les musulmans, les juifs, les chrétiens et les bouddhistes et fondateur en 1863 de la religion bahaïe, dont la mission est d’unir l’humanité dans un royaume religieux unique.

    Bid’ah : Se traduit par innovation, idée nouvelle, hérésie, et désigne comme péché tout ce qui s’écarte du modèle traditionnel, puisqu’Allah a dit : « Aujourd’hui, j’ai parachevé votre religion. Je vous ai accordé toute ma grâce en agréant l’islam pour vous comme religion ! (Coran 5.3) »

    Bonheur, Béatitude : À la différence du Dieu des chrétiens qui nous invite à partager Sa nature divine (2 P 1.4), et donc son bonheur même d’être Dieu, Allah étant inconnaissable (Coran 6.50,59,103 ; 7.188 ; 11.31 ; 20.110 ; 27.65 ; 42.4 ; 72.26 ; 112.2) et incommunicable, n’a à offrir au musulman dans l’au-delà point d’autre bonheur que des satisfactions sensuelles, y compris celles qui sont ici-bas des péchés.

    Califat : Le calife est le successeur ou lieutenant de Mahomet. Il est l’imam suprême, celui par qui advient l’ordre du monde. Il est donc chargé de mener le djihad afin de faire régner l’islam.

    Le califat a été aboli en 1924 par le fondateur de la République turque, Mustafa Kemal, qui tenait l’islam pour la théologie absurde d’un Bédouin immoral […] un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies (Jacques Benoist-Méchin, Mustafa Kemal ou la mort d’un empire, Albin Michel, 1954). Aujourd’hui, certains militent pour son rétablissement.

    Chahada (ou Shahada: Profession de foi musulmane qui associe Allah et Mahomet. À l’instar du Non serviam ! de Lucifer, elle est de forme négative, une négation de la foi chrétienne : J’atteste qu’il n’y a pas de divinité si ce n’est Allah [autrement dit : Non à la Sainte Trinité, à laquelle je préfère l’inconnaissable Allah (Coran 6.50,59,103 ; 7.188 ; 11.31 ; 20.110 ; 27.65 ; 42.4 ; 72.26 ; 112.2) !] et Mahomet est l’envoyé d’Allah [autrement dit : Non à Jésus-Christ, Fils de Dieu, Sauveur !]. Toute la dogmatique musulmane se résume dans l’affirmation de la foi en Mahomet et en Allah. L’islam, à la différence du christianisme, n’est pas une orthodoxie, mais une orthopraxie : vingt-cinq fois par jour la chahada est proclamée du haut des minarets et répétée par des musulmans soumis et sommés d’éradiquer l’impureté de la terre que sont tous les non-musulmans. Mais les musulmans n’ont pas réalisé que prononcer la chahada les maudit : N’invoquez personne avec Allah (Coran 72.18).

    Charia : Ensemble des lois et règlements dérivés du Coran et de la Sounna.

    Cheikh : Titre religieux signifiant ancien.

    Chiisme : Parti (chia) d’Ali, cousin et gendre de Mahomet, assassiné pour avoir disputé la succession à Muawiya, gouverneur de Syrie (premier des sunnites). Pour les chiites, le gouvernement appartient à Ali et à ses descendants : les imams. La lignée des imams septimains s’est éteinte au septième d’entre eux, et pour celle des duodécimains, au douzième, caché en 874. Il n’est plus visible, mais ses interprètes, les moujtahids, révèlent sa pensée et dirigent le peuple à sa place, grâce aux enseignements ésotériques reçus d’Ali. Le dernier imam, septième ou douzième, le Mahdi, doit revenir instaurer le règne d’Allah (Coran 9.33 ; 48.28 ; 61.9).

    Cette croyance les a conduits à accueillir celle de la métempsychose et celle de l’incarnation plus ou moins partielle de la divinité en la personne des imams descendants d’Ali. Les chiites prônent une grande rigueur dans la mise en pratique de l’islam et l’assimilation des populations conquises. Ils représentent environ 10 % des musulmans. Malgré les rivalités, chiisme et sunnisme siègent ensemble au sein de l’Organisation de la Coopération Islamique, tandis que les ayatollahs iraniens ont toujours soutenu les organisations terroristes telles que le Hamas, les Taliban, les Frères Musulmans … L’imam Ali Khamenei a lui-même traduit en perse l’idéologue des Frères Musulmans, Sayed Qotb.

    Coran : L’étymologie du mot Coran est encore incertaine.

    En arabe il signifie lecture ou récitation.

    En hébreu qara signifie appel (Coran 10.57 ; 13.18,41 ; 14.44).

    En syriaque qer’yana signifie récitation des Écritures, ou le lectionnaire utilisé pour cela.

    Les chrétiens d’Orient nomment leur lectionnaire en syro-araméen : qor’ôno ou qer’yana.

    Peut-être désignait-il le recueil de textes des nazaréens venus endoctriner les Bédouins

    Dawa : Devoir de répandre l’islam.

    Dhimmi : Statut réservé aux juifs et aux chrétiens ayant dû conclure en échange de leurs vies sauves un pacte de reddition (dhimma) les soumettant à un régime insupportable d’humiliation. Le mot dhimma (ou dhimma, néologisme judicieux forgé par Béchir Gémayel en 1982 pour désigner la soumission des chrétiens aux musulmans) signifie protection. Mais protection contre quoi ou contre qui ? Contre le droit de tout musulman à tuer librement un non-musulman. En échange de leurs vies sauves, chrétiens et juifs doivent endosser une condition sociale, juridique, culturelle, politique et religieuse avilie, rackettés par des impôts spéciaux : la jizyia et le kharaj (taxe foncière), payés dans l’humiliation (Coran 9.29).

    La dhimma est une condition de non-droit inséparable du djihad dont elle constitue à terme le soubassement économique et la fin : l’élimination plus rentable, parce que progressive, des non-musulmans. S’autorisant du Coran (9.29), elle est une réalité aussi sacrée qu’intangible. Elle fait l’objet, en Occident, d’une ignorance aussi vaste qu’incompréhensible, car elle a accompagné la présence de l’islam durant plus d’un millénaire partout où il s’est implanté.

    Diyya : Prix du sang payé en compensation d’un meurtre, dont le montant varie selon qu’il s’agit d’un homme, d’une femme, d’un esclave, d’un musulman ou d’un non-musulman.

    Djin(n)/ jin : Les jins, ou djins, sont des créatures invisibles, mi-mons/mi-génies, créées d’un feu sans fumée, prenant différentes formes et capables d’influencer le genre humain. Ils habitent les déserts, les points d’eau, les cimetières, les forêts, mais aussi parmi les hommes. Comme ces derniers, ils se reproduisent, sont organisés en royaumes, tribus, peuples, ayant lois et religions (Coran 51.56), mais contrairement aux anges ils peuvent désobéir à Dieu et pécher. La force surhumaine du djin donne un pouvoir immense à qui, par la magie, pactise avec lui. Des mariages entre humains et djins sont conclus. La Tradition chrétienne ne reconnaît pas l’existence de ces créatures mentionnées dans le Coran. La mythologie musulmane elle-même ne sait pas très bien les définir (Coran 2.32-34 ; 15:30-31 // 18.50)

    Émir : Désigne le potentat d’un territoire, ou le général d’une armée.

    Eschatologie : Doctrine des choses qui doivent advenir à la fin du monde et ensuite.

    Évangile : Se traduit littéralement du grec par Bonne Nouvelle. C’est la Bonne Nouvelle de la promesse faite jadis aux Pères enfin réalisée, celle du salut accordé par miséricorde à l’humanité en Jésus mort et ressuscité.*

    Fatalisme : Attitude résignée face au sort dépendant uniquement de la volonté d’Allah, reflétée par l’obéissance mécanique aux prescriptions coraniques.

    Fatiha C’est la première sourate du Coran (Coran 1.1-7), récitée au minimum dix-sept fois par jour. Elle ouvre toutes les prières rituelles (Salat). A la suite de la Birkat ha-minim, remontant à la charnière du 1er et du IIe siècle, qui est une formule rabbinique de malédiction demandant que « les nostrim [chrétiens] et les minim [hérétiques] soient détruits sur-le-champ, effacés du livre de vie », la Fatiha désigne comme objets de la colère d’Allah les juifs (Coran 2.61), et les égarés que sont les chrétiens (Coran 4.44). Elle est l’unique prière de supplication des musulmans … La prière du vendredi est encore plus vindicative : non seulement la Fatiha est récitée plusieurs fois, mais aussi les sourates 62 et 63, qui sont remplies de haine à l’égard des juifs et des chrétiens, et le prêche se conclut par une litanie de malédictions contre eux. Comment prétendre que l’islam est une religion de paix et d’amour ?

    Fatwa : Décision islamique d’ordre juridique en réponse à un problème donné, applicable à tous les cas analogues. Par exemple : celui qui apostasie l’islam sera nécessairement l’objet d’une fatwa le condamnant à mort, qui devra être exécutée par n’importe qui et n’importe où. Celui qui ne veut pas l’exécuter ira en enfer, mais celui qui l’exécutera ira au paradis jouir des soixante-douze vierges à lui promises en récompense (des fa&bles.

    Fiqh Droit musulman. Il régente sans distinction les ordres juridique, religieux, culturel et cultuel. Tous les faits et gestes humains doivent correspondre aux modèles de comportements préétablis. La singularité des personnes et des situations en est donc nécessairement absente et pourchassée. C’est la négation même de l’interprétation de la Loi apportée par le Christ (Jn 8.1-11).

    Le sunnisme a quatre écoles juridiques 

    le hanbalisme (la plus rigoriste)

    le malikisme

    le hanafisme

    le chaféisme.

    Le chiisme en a trois

    le jafarisme

    le zaydisme

    l’ismaélisme

    le kharidjisme en a quatre : l’ibadisme, l’azraqisme, le soufrisme, le nekkarisme.

    Foi : Mouvement de confiance par lequel est accueilli pour vrai ce qui est dit en raison de la véracité de celui qui le dit. Dieu ne peut ni Se tromper ni nous tromper, c’est la raison pour laquelle nous devons avoir foi en Sa parole.

    Géhenne Autre terme pour désigner l’Enfer.

    Gnose : Du grec gnôsis, connaissance. 1- Terme utilisé par les Pères de l’Église pour désigner la connaissance de Dieu et des mystères de la foi nécessaire au salut et obtenue par la prière, l’étude et l’ascèse. 2- Système philosophico-religieux prétendant donner une connaissance complète de Dieu et du monde, concilier toutes les religions en expliquant leur sens profond et commun, au moyen d’une initiation secrète, ésotérique. Pour la gnose devenue gnosticisme, la matière est mauvaise et il s’agit de s’en abstraire. Ainsi le catharisme enseignait-il à renoncer au mariage, à la famille, à la propriété privée, et à considérer le suicide, l’endura, comme libération. Puisque la matière est mauvaise, le Dieu créateur l’est aussi et l’Incarnation pas plus que la Rédemption n’ont de sens. La Franc-maçonnerie ou le Nouvel Âge sont des gnoses.

    Grâce : Don immérité, par excellence la vie de communion avec le Dieu de Jésus-Christ, donnée dans le baptême et renouvelée ou accrue par excellence dans la célébration des sacrements et la pratique des commandements divins.

    Hadith : Recueil de paroles, faits et gestes attribués à Mahomet et censément rapportés par des chaînes de transmetteurs : un tel a dit à un tel qu’un tel avait dit à un tel que Mahomet avait dit... Les hadiths n’ont pas cessé, au long des siècles, d’augmenter en nombre (plus d’un million et demi rien qu’en Iran) et en détails parfois nombreux.

    Les principaux recueils sont ceux de Al-Boukhari (810-870) et de Al-Mouslim ibn al-Hajjaj (821-875), réputés authentiques, sachant que le plus ancien recueil attribué à Boukhari remonte à plus deux cents ans après sa mort et que celle-ci est survenue plus de deux siècles après celle de Mahomet… Certains hadiths sont tellement absurdes ou grotesques que même les musulmans arrivent à douter de leur authenticité… Les hadiths saints sont par contre reçus comme étant de réelles paroles d’Allah, bien qu’absentes du Coran. Le hadith n’est pas sans rappeler le Talmud, qui est une continuelle racionisation de commentaires de commentaires.

    Hadj ou hajj : Le mot arabe est issu d’une racine sémitique signifiant tourner autour, que l’on retrouve en hébreu et en araméen : hag (fête). Pèlerinage au sanctuaire de La Mecque, interdit à tout mécréant sous peine de mort, suite à une révélation (Coran 9.1,28).

    On y retrouve tous les rituels d’un précédent pèlerinage païen, justifiés par des légendes nommant des personnages bibliques. Maints usages sont juifs : l’importance du pèlerinage, le rôle des pierres sacrées (Gen 28,18-22 ; 31.45 ; Josué 24.26-27 ; 1 Samuel 7.12)

    l’obligation d’être en état de pureté rituelle, la frontière spéciale délimitant le pur du profane, l’interdit des relations sexuelles, le sacrifice d’animaux…

    Au cours de leur pèlerinage les pèlerins tournent sept fois autour de la Kaaba, l’édifice censé avoir contenu autrefois quantité d’idoles et contenant aujourd’hui encore la fameuse Pierre Noire, une météorite autrefois divinisée.

    Le trajet de Safaa à Marwa (environ 400 m) que les pèlerins font sept fois de suite en souvenir d’Agar cherchant de l’eau, est la reprise d’un rite des païens du lieu vénérant la source de Zamzam. Aussi le Coran a t-il cru devoir rassurer la conscience de ceux à qui l’on avait d’abord enseigné que pratiquer la religion traditionnelle était péché : Safaa et Merwa sont des monuments d’Allah ; celui qui fait le pèlerinage de La Mecque ou qui visitera la maison sainte ne commet aucun péché (Coran 2.153).

    Les pèlerins doivent lapider Satan représenté par trois stèles en béton 

    Par ce rituel typique des sacrifices antiques où une personne déclarée coupable servait de bouc émissaire et était lapidée, non seulement les musulmans sont invités à poser un geste aussi absurde qu’inefficace, mais sont encore entretenus dans l’extériorisation de la haine comme devoir sacré.

    Halal : Qualité de ce qui est permis par la loi islamique. Accepter le halal implique : de graves risques sanitaires à la consommation (vigilancehallal.com), le non-respect de la législation interdisant la souffrance animale lors de l’abattage, le non-respect de la législation du travail interdisant la discrimination à l’embauche (seuls des musulmans sont habilités), le financement de l’islamisation par le versement de la taxe de certification halal…

    Harki : Militaire indigène d’Afrique du Nord ayant servi dans l’Armée française durant la guerre d’Algérie de 1957 à 1962. Par extension, le terme désigne tous les Algériens musulmans ayant soutenu le rattachement de l’Algérie à la République française, laquelle les abandonna à la haine sans nom de leurs compatriotes ennemis de la France, et relégua dans une honteuse situation de parias ceux qui purent franchir la Méditerranée.

    Hégire : Début de l’ère islamique marquée par la fuite (hijra : immigration) de Mahomet à Yathrib devenue Médine.

    Houris : Jeunes et belles filles à la virginité sans cesse reconstituée, préposées à l’assouvissement des désirs sexuels du musulman au paradis d’Allah, à raison de soixante-douze pour chacun.

    N. B. : Pour les musulmans, rien n’est prévu. des fables et des mensonges

    Ijaz : Prétendue inimitabilité du Coran présentée comme preuve de son origine divine.

    Ijma : Consensus des savants musulmans sur une question n’ayant pas trouvé de réponse dans le Coran ou les hadiths. C’est la règle de l’unanimité des croyants fondée sur un hadith faisant dire à Mahomet : Ma communauté ne se réunira pas sur une erreur. (Celle du Diable non plus !)

    Ijtihâd : Effort d’interprétation des textes fondateurs de l’islam. Pour les uns, c’est le calife Al-Moutawakkil qui interdit définitivement en 847 toute discussion sur la nature du Coran, pour les autres, c’est le calife Hakim en 1029. Toujours est-il que les portes de l’ijtihâd ont été fermées et qu’aucune interprétation des prescriptions coraniques ne peut aujourd’hui s’écarter de la jurisprudence d’alors (maddhab). Toute interprétation non conforme à celle-ci est une innovation illégitime (bid’ah). C’est pourquoi, ceux qui rêvent de moderniser ou d’adapter l’islam, que ce soit à l’aune de valeurs maçonniques et républicaines ou d’intérêts nationaux et particuliers, fussent-ils ceux de l’Arabie saoudite, sont soit de dangereux ignorants, soit des maîtres es-taqiya.

    Imam : Les sunnites désignent ainsi celui qui, placé devant la communauté réunie, dirige sa prière rituelle, tandis que les chiites donnent ce titre aux califes, successeurs d’Ali, incarnations de l’esprit d’Allah et donc responsables de l’interprétation de la révélation.

    Injil : Traduction en arabe du mot Évangile. L’islam ignore les Évangiles.

    Islam : Signifie soumission, à Allah et à Mahomet.

    Ismaélisme : La scission entre chiites duodécimains et chiites ismaéliens a lieu à la mort de Jafar as-Sâdiq en l’an 765, lequel laisse son fils aîné, Ismaël, comme son successeur.

    Isnad : Chaîne de transmetteurs de gestes et paroles de Mahomet.

    Issa : Nom donné à Jésus dans le Coran, n’ayant aucune signification en arabe, alors que le nom de Jésus en hébreu (Yéshoua) et en arabe (Yasoua) signifie Dieu sauve ! L’islam ne veut pas que Jésus soit le Sauveur des hommes

    Jahiliyya : Littéralement, état d’ignorance caractérisant toute société non-musulmane.

    Jihad ou Djihad : Principe de destruction de tout ce qui n’est pas musulman. Guerre perpétuelle et universelle, jamais déclarée ni achevée, pour imposer l’islam. Dans le djihad, tout est butin : pas seulement les biens de toute nature, mais aussi les personnes, réduites en esclavage lorsqu’elles ne sont pas tuées.

    Janissaire : Pour se doter d’un redoutable corps d’infanterie, l’Empire ottoman institua sur les populations vaincues la terrible loi du Devchirmé (du turc : récolte, ramassage) : prélèvement quinquennal de garçons sélectionnés et arrachés à leurs familles chrétiennes pour être islamisés et cyniquement formés à combattre, y compris leurs parents et anciens concitoyens. Si le quota officiel était d’un enfant sur cinq par famille (jusqu’à 10 000 par an dans les Balkans), les agents recruteurs ne se privaient pas toujours de prendre davantage d’enfants pour les revendre à leur profit. Entièrement consacrés à la vie militaire, soumis à une discipline de fer, apostats sans racine, n’ayant pas le droit de se marier, ils avaient le statut d’esclaves et point d’autre choix que celui de rester attachés à la Sublime Porte. Ils constituèrent le terrible corps d’armée des Janissaires, utilisé jusqu’au XIXe siècle, qui permit à l’Empire ottoman de s’étendre jusqu’à Vienne. La conversion à l’islam de nombreuses familles du Proche-Orient, des Balkans, d’Égypte ou d’Anatolie, a-t-elle vraiment quelque chose d’étonnant ?

    Jizyia : Racket institutionnalisé des dhimmis (Coran 9.29).

    Kaaba Cube en arabe. D’anciens chroniqueurs rapportent qu’avant l’avènement de l’islam, il y avait dans la péninsule arabique vingt-quatre kaabas, consacrées chacune à une divinité, auxquelles les fidèles se rendaient certains jours déterminés pour procéder à des rites comprenant entre autres une déambulation circulaire et des sacrifices. Les plus importantes semblent avoir été les kaabas des déesses 1 Allât à Taif, 2 Uzza à Nakhlah 3 Manat près de Qoudayd.

    À La Mecque, il s’agit du sanctuaire principal de la religion musulmane. Cubique comme le Saint des saints du Temple de Jérusalem, il renferme la fameuse Pierre Noire à l’angle irakien. Recouvert d’un voile noir, le kiswa, il rappelle la tente sous laquelle était abritée l’Arche de l’Alliance (Ex 26.7-36). Orienté sur l’axe des points cardinaux vers Jérusalem, il est pareillement flanqué d’un parvis rectangulaire bordé de galeries. Non loin se situe la source sacrée de Zamzam, avec une zone sacrée (le haram) et un déambulatoire (le matâf).

    Kâfir (pluriel : Koufar: Tout non-musulman, réputé de ce fait mécréant, impie et maudit.

    Kharaj Impôt foncier dont sont redevables les seuls non-musulmans.

    Kharidjisme : Mouvement politico-religieux s’opposant aussi bien au sunnisme qu’au chiisme au sujet du calife, que les kharidjites considèrent devoir être élu démocratiquement. Les kharidjites sont réputés pour leur lecture littérale du Coran, leur puritanisme et leur fanatisme..

    Mahdi : De nombreux hadiths parlent du Mahdi, attendu pour la fin des temps

    Le Mahdi est un de mes descendants, il a le front large et le nez aquilin. Il emplira la terre d’équité et de justice après que la tyrannie et l’injustice auront régné sur elle. Il règnera sept ans (Rapporté par Abou Sa‘id al-Khudri, cité par Abou Dawoud).

    Les chrétiens qui se seront repentis et auront accepté l’islam, seront épargnés des persécutions et des massacres. Les autres, qui auront choisi la mécréance (qui seront restés fidèles au Christ), seront mis à mort. Après cet événement, le monde entier sera gouverné par les musulmans.

    Mahr : Prix payé par un homme pour l’usage du corps de celle qui devient ainsi épouse légitime.

    Messie (hébreu le mashyHa) ou Christ (grec) : Le mot Massih dans le Coran reproduit l’hébreu Machiah qui littéralement signifie 

    Celui qui est oint, en tant que roi, prêtre,prophète.

    L’Oint par excellence est le Sauveur Yeshua > JESUS (que les juifs attendent toujours).

    Dans le Coran, le mot Massih n’a pas de sens, mais la tradition islamique lui donne celui de : essuyé du péché. Le Coran ne parle jamais du Sauveur. Accoler Christ au nom de Jésus est un acte de foi reconnaissant Jésus comme le Messie promis.

    Mihrab : Niche dans une mosquée indiquant la direction de La Mecque.

    Minbar : Chaire de la mosquée où se fait le sermon.

    Miséricorde Du latin misereri (avoir pitié) et cor (cœur)Attribut de Dieu expliquant Son dessein de salut pour l’humanité. On nomme ainsi l’attitude profonde de l’être caractérisée par la disposition au pardon, la sensibilité à la misère et à la souffrance d’autrui.

    Morale : En islam, est bien ou mal ce que la norme coranique dit être tel. La raison n’est nullement sollicitée dans l’acte moral : il s’agit seulement que la volonté humaine se soumette totalement à l’impératif de la charia.

    Moudjahidplmoudjahidîn : Combattant du djihad.

    Mozarabe : Chrétiens d’Espagne arabisés lors de la domination de celle-ci par les musulmans.

    Muezzin : Celui qui appelle à la prière musulmane du haut d’un minaret, aujourd’hui à l’aide de puissants haut-parleurs.

    Mufti : Magistrat qui émet une fatwa.

    Musulman : Signifie Soumis.

    Mutazilisme : Mouvement théologique né au VIIIsiècle qui, en considérant la raison comme une source de connaissance religieuse, s’opposait aux fondamentalistes, majoritaires.

    Nazir Nazaréen  : Personne qui dans l’Ancienne Alliance se consacre à Dieu pendant une période de temps déterminée, s’engageant à rester en état de pureté, ne buvant pas de vin ni ne se coupant les cheveux. La période de vœu accomplie, le nazir le nazaréen  devait apporter une brebis en offrande au Temple, se raser le crâne et brûler ses cheveux sur l’autel ; il peut alors boire du vin et retourner à la vie normale (Nombres 6,2-21 ; Juges 13,5-7 ; 16,17 ; Amos 2,11-12).

    Nazaréen le surnom donné à Jésus-Christ (Mat 2.23 ; Jean 18.5,7)

    Nikah  Un même mot pour nommer l’acte sexuel et le mariage en islam.

    Omeyyades Cf. Abbassides.

    Ontologie : Étude de l’être en tant qu’être, sans tenir compte de ses déterminations particulières.

    Ouléma : Savant musulman chargé de dire la charia.

    Oumma (encore appelée jamaa sous un aspect juridique) : La communauté formée par l’ensemble des musulmans indépendamment de leurs nationalités et appartenances diverses. Ainsi l’article 34 du Code de Droit algérien relatif à la bi-nationalité stipule : Les Arabes, qu’ils revendiquent ou non leur appartenance à la race arabe, avant toute autre nationalité, doivent faire allégeance à l’islam. L’islam ignore les nations

    Paraclet : Mot grec signifiant avocat, dérivant d’un verbe signifiant : demander, prier, encourager, consoler, exhorter, défendre. Toutes choses que l’Esprit-Saint a mission de réaliser pour les chrétiens après le retour du Christ au Ciel.

    Polythéisme : Croyance en l’existence de plusieurs dieux.

    Qibla : Nom donné à la direction de La Mecque, indiquée dans les mosquées par le mihrab.

    Razzia (pl. rezzou) : Attaque surprise en territoire étranger pour en rapporter biens, esclaves, otages … Le vol n’est infâme que contre un membre de l’Oumma.

    Râwî Le rapporteur d’un hadith.

    Salat : Prière rituelle de l’islam, communautaire ou individuelle, pratiquée cinq fois par jour (aube, midi, après-midi, crépuscule, nuit avancée), en état de pureté légale.

    Shahîd (ou Shahid) : Assassin musulman auréolé de la gloire des martyrs pour s’être suicidé dans le meurtre d’un maximum de personnes

    Salafisme : De Salaf, Ancien. Mouvement sunnite préconisant par l’abandon des innovations (voir Bid’ah) le retour à l’islam des origines.

    Seldjoukides : Dynastie turque qui domina l’Orient musulman du xiau xiiie s.

    Shirk : Mot se traduisant par associationnisme et désignant le péché des chrétiens, le seul impardonnable aux yeux d’Allah (Coran 4.48,116), les vouant tous à l’Enfer, et qui consisterait à associer à l’unique divinité de pseudo-divinités que seraient Jésus et Marie (Coran 5.116 ; 6.100-102).

    Sira : Biographie de Mahomet, écrite par Ibn Ishâq (mort vers 768) et remaniée ensuite par Ibn Hicham (mort en 833). Son but est de donner une cohérence narrative au Coran. Ainsi, alors que la Sira d’Ibn Ishâq ne fait qu’évoquer une des nombreuses razzias de Mahomet, celle d’Al-Waqidi (mort en 823) mentionne, cinquante ans plus tard, la date exacte, l’endroit, les personnes impliquées, le montant du butin récolté, et les raisons pour lesquelles Mahomet l’a ordonnée. Mais il n’est pas toujours facile de faire coïncider les différents récits, comme le montre, par exemple, le fait que les rédacteurs de la Sira n’ont pas trouvé de meilleur moyen d’accorder leurs dates relatives à la naissance de Mahomet que de le faire demeurer quatre ans dans le sein de sa mère, Âmina, avant de naître… car « le fœtus s’était endormi pour une longue période dans la matrice de sa mère. (Al-Tabari, Târîkh, vol. II, p. 253 ; Ibn Kathir, Al-Târîkh al-kâmil, vol. II, p. 13) » C’est ainsi que la très savante université d’Al-Azar enseigne aujourd’hui que « la femme ne peut maintenir sa grossesse que quatre ans seulement. (Mansour Al-Bahouri, Le pré carré dans l’explication de la nourriture du marécage, Le Caire 2008, p.389 ; Voir également sur ce sujet : Joël Colin, L’enfant endormi dans le ventre de sa mère ; étude ethnologique et juridique d’une croyance au Maghreb, Presses Universitaires de Perpignan, 1998).

    Soufisme : Mouvement spirituel et ascétique de l’islam né au contact de la mystique et du monachisme chrétiens au VIIIe siècle en Irak. Sa doctrine est à la fois exotérique, celle de tous les musulmans, et ésotérique, reçue seulement par ses initiés, dans une relation de maître à disciple censée remonter à Mahomet. Elle se résume en neuf points

    1) Allah seul existe. Il est dans tout, tout est en lui et tout est lui-même.

    2) Tous les êtres en sont donc une émanation.

    3) Les soufis ne sont pas assujettis à la loi extérieure. Tous les dogmes sont des allégories.

    4) Les religions sont indifférentes, mais la religion musulmane est la plus avantageuse pour arriver à la réalité.

    5) Il n’y a pas de différence entre le bien et le mal.

    6) C’est Allah qui détermine la volonté de l’homme, lequel n’est donc pas libre.

    7) L’âme préexiste au corps et y est enfermée comme dans une prison.

    8) La mort est le vœu des soufis, puisqu’elle permet de rentrer dans le sein de la divinité.

    9) C’est par la réincarnation que les âmes sont purifiées. Les soufis souhaitent s’unir à Dieu, ce dont auraient le pouvoir la position accroupie, la rotation sur place ou les hurlements inhumains des derviches tourneurs. Attitudes qui n’ont rien à voir avec la spiritualisation du corps et la prière chrétiennes, mais en sont une contrefaçon diabolique.

    Sourate : Chapitre du Coran

    Sultan : Titre donné au souverain de l’ancien Empire turc et à certains souverains musulmans.

    Sounna : Désigne la Tradition constituée des siyar (pluriel de sira) et des hadiths (les plus célèbres sont ceux de Mouslim et de Boukhari). Les faits et gestes de Mahomet étant, d’après le Coran, pratiques normatives et sources d’imitation pour les musulmans. Vous avez dans l’Apôtre d’Allah un bon exemple, pour celui qui espère en Allah et croit au Jour dernier et qui se souvient souvent d’Allah (Coran 33.21). La Sounna est devenue aussi sacrée que le Coran lui-même, au point que la parole d’Allah peut être invalidée par un hadith. Dans la terminologie du fiqh, Sounna désigne tout ce qui est établi et recommandé sur la base d’une preuve légale et dont l’abandon constitue un péché méritant châtiment.

    Sunnisme (vient de Sounna) : Mouvement des partisans de Muawiya, gouverneur de Damas et successeur du quatrième calife, Ali, qu’il fit assassiner. Le sunnisme se divise en quatre écoles : les hanafites, les malékites, les shaféites et les hanbalites.

    Tafsir : Terme arabe désignant une interprétation du Coran, à l’aide des hadiths, par un moufassir. Le principal tafsir est celui d’Al Tabarî.

    Tâghoût : Le Tâghoût est tout ce qui est adoré en dehors d’Allah (Imam Malik, 711-795). Désigne donc une transgression absolument haïssable, mais jamais vraiment définie… en sorte que tout et tous peuvent être réputés Tâghoût !

    Taqiya : Art de mentir au profit de l’islam. La taqiya permet aux musulmans de dissimuler jusqu’à leur croyance, voire de la renier et d’en pratiquer même publiquement une autre, s’ils estiment la chose nécessaire à la sauvegarde de leurs intérêts (Coran 3.28,54 ; 16.106).

    Elle est la tactique infaillible permettant d’instaurer le califat sur la terre entière. Elle est donc plus importante que la pratique des cinq piliers de l’islam. Sa connaissance est par définition insaisissable. C’est en soi une religion impliquant une pratique dans tous les domaines de la vie. Cet art du mensonge procède par étapes en vue d’infiltrer les esprits progressivement et de les soumettre en douceur, en s’adaptant à chaque situation. Il existe essentiellement deux formes de taqiya, défensive et offensive

    L’origine de la taqiya remonte au projet d’Allah de démasquer Satan, qui était si expert en taqiya qu’Allah lui-même ne pouvait le distinguer des anges fidèles… Allah résolut alors de créer Adam pour tendre un piège à Satan, celui de devenir le calife de la Création (Coran 2.30).

    Et pour qu’Adam pût rivaliser avec Satan, il fallut qu’Allah lui enseignât la taqiya (qu’Allah ne possédait cependant pas, puisque c’est justement son défaut qui l’empêchait de reconnaître les agissements de Satan…). C’est là une contradiction qui a manifestement échappé à l’auteur du mythe. Adam transmit ensuite cette technique, qui est aujourd’hui enseignée chez les musulmans et les juifs. Sauf que les juifs la pratiquent au service de Satan, et les musulmans au service d’Allah. Ce qui évidemment change tout ! Pour en revenir à l’histoire : Adam n’a pas mangé du fruit défendu, mais, selon le plan convenu avec Allah, il a fait semblant, et cela afin de montrer aux anges fidèles la nature perverse de Satan l’ayant invité à pécher… Certes, la pauvre Ève, innocente et ignorante, a été impliquée dans cette comédie, mais elle a précisément été créée faible pour remplir cet office. Et voici la première règle de la taqiya : profiter de la faiblesse et de l’ignorance d’autrui. La Bible est réinterprétée selon cette loi du mensonge : l’histoire de Joseph (Gn 37-50) est une application de la taqiya par Jacob et son fils préféré pour entrer en Égypte et y conquérir le pouvoir (Coran 12.4-10) ; la tante maternelle de Moïse put le sauver de la mort décrétée par Pharaon pour tous les nouveau-nés mâles hébreux, parce qu’elle était devenue son épouse en vue de faciliter le départ d’Égypte des Hébreux devenus nombreux et riches. Etc.

    Le même principe a présidé à la Shoah pour la création de l’État d’Israël.

    Mahomet a pratiqué la taqiya jusque dans le Coran, par les versets dits tolérants et le principe de l’abrogation (Coran 2.106 ; 5.15 ; 16.101).

    Ce devoir du mensonge, pratiqué aussi bien par les chiites que par les sunnites, se décline sous quatre formes : la taqiya, qui est la plus connue, la tawriya, le kitman le mourouna.

    La tawriya peut être définie comme l’inventivité dans l’art du mensonge

    le kitman consiste à ne dire qu’une partie de la vérité afin de la déformer entièrement

    le mourouna signifie faire preuve de souplesse, savoir s’adapter, c’est l’arme suprême pour s’infiltrer chez l’ennemi.

    Takfir : Terme signifiant excommunication et justifiant la mise à mort.

    Les takfiri sont les adeptes de l’islam radical pour qui tout musulman ne partageant pas leur point de vue, déclaré apostat, mérite la mort. Ils sont nés d’une scission des Frères musulmans.

    Talmud : Ensemble de commentaires juifs des Écritures remontant pour le plus ancien, la Mishna, à la fin du IIe ou au début du IIIe siècle.

    Tawil : Interprétation du Coran donnée par les chiites.

    Tawhid : Unicité divine, confession de celle-ci (Coran 14.52 ; 23.32).

    Torah Les musulmans ne savent pas si ce terme désigne les cinq premiers livres de la Bible ou tout l’Ancien Testament.

    Wahhabisme Mouvement musulman fondamentaliste saoudien fondé au xviiie siècle, visant au rétablissement de l’islam originel, en s’opposant notamment à toute forme populaire de religiosité et à tous les autres courants de l’islam. Il prône une pratique religieuse purement ritualiste.

    Zakat : Aumône légale, un des cinq piliers de l’islam, destinée à l’aide des seuls nécessiteux musulmans (Coran 16.71).

     


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  • https://cirainternational.com/

    À propos de CIRA International

    La mission et l'objectif de CIRA sont les suivants : sensibiliser à l'Islam en tant que religion et mouvement politique ; informer et défier l'Église en matière de sensibilisation et d'évangélisation auprès des musulmans, équiper les croyants d'outils de sensibilisation efficaces et faire progresser le message de l'Évangile parmi nos voisins et communautés musulmans afin que la grande majorité des musulmans entament une conversation évangélique avec un disciple du Christ.

    CIRA existe pour mobiliser le Corps du Christ à travers l'Amérique du Nord et dans le monde, afin d'atteindre plus efficacement les musulmans avec l'Évangile, en formant des disciples et en équipant les croyants, et en donnant aux dirigeants d'églises et de communautés les moyens d'influencer le monde musulman pour le Christ.

     

     

    Действительно ли ислам является мирной религией или чем-то совершенно другим ?

    Является ли Коран книгой ужаса или книгой мира ?

    Как мы можем обратиться к мусульманам в нашей общине с посланием Иисуса Христа ?

    Is Islam really a peaceful religion or something entirely different?

    Is the Quran a book of terror or a book of peace?

    How can we reach Muslims in our community with the message of Jesus Christ?

    Al Fadi, former Wahabbi Muslim from Saudi Arabia and the founder of CIRA International

    L’Islam est-il vraiment une religion pacifique ou quelque chose de complètement différent ?

    Le Coran est-il un livre de terreur ou un livre de paix ?

    Comment pouvons-nous atteindre les musulmans de notre communauté avec le message de Jésus-Christ ?

    https://cirainternational.com/podcast/

    The Center for Islamic Research and Awareness, is on a mission to introduce Muslims to the Gospel of Jesus Christ.

    https://www.youtube.com/c/CIRAInternational

    Did Muhammad Even Exist

    ... the origins of Muhammad

    …what modern and traditional Muslim teachings and beliefs say about Muhammad’s life writings, and travels

    ... where, when, and how traditional beliefs and teachings about Muhammad came into existence, and...*

    ...how new historical insights reveal not everything is as it would seem.

      https://youtu.be/cD178PXa68M

     

     


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  • Muhammad is trying to make himself equal to Allah by claiming this title.

    Muhammad’s real name was Qutham, ibn, Abd Al-LAT (Qutham - son of the slave and pagan Al-LAT).

    Muslims were embarrassed about these humble origins so fixed and polished their prophet into a new, respectable person with a different name.

    Watch as Al Fadi and Brother Rob reveal the truth about Muhammad from reliable Islamic source

    Le vrai nom de Muhammad était Qutham, Ibn, Abd al-Lat (Qutham fils de l'esclave et païen al-lat).

    Les musulmans ont été gênés par ces humbles origines si fixées et polis leur prophète en une nouvelle personne respectable avec un nom différent.

    Regardez Al Fadi et son frère Rob révéle

    la vérité sur Muhammad à partir de sources islamiques fiables.

    c'est clair une fois pour toute 


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  • Ils disent: "la burqa est un vêtement" tout au plus un déguisement on ne va pas légiférer sur les vêtements et les déguisements"... Erreur. La burqa n'est pas un vêtement, c'est un message. Et

    c'est un message qui dit l'assujettissement, l'asservissement, l'écrasement, la défaite des femmes.

    Ils disent: "c'est peut-être un assujettissement, mais c'est consensuel; sortez de votre tête l'idée d'une burqa imposée par des maris méchants, des pères abusifs, des caïds, à des femmes qui n'en voudraient pas"…

    Soit. Sauf que la servitude volontaire n'a jamais été un argument!

    on ne le dira jamais assez. >> Le port de la burqa n'est pas une prescription coranique!.

    Il n'y a aucun verset, ni aucun texte de la sunna, obligeant les femmes à vivre dans cette prison de ferraille et de tissu qu'est un voile intégral.

    They say: "the burqa is a garment "at most a disguise we are not going to legislate on clothes and disguises"... Mistake. The burqa is not a garment, it is a message. And

    it is a message that says the subjugation, enslavement, crushing, defeat of women.

    They say: "it may be subjugation, but it is consensual; get out of your head the idea of a burqa imposed by evil husbands, abusive fathers, bigots, on women who would not want it"…

    Either. Except that voluntary servitude has never been an argument!

    we can never say it enough.

    > > Wearing the burqa is not a Quranic prescription!.

    There is no verse, nor any text of the sunnah, forcing women to live in this prison of scrap metal and fabric that is a full veil.

     

     

     

     


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    MUSULMAN, IL VOIT JÉSUS ET SE CONVERTIT

    Musulman irakien, descendant direct de Mahomet par ses origines, il voit Jésus en songe et se convertit…

    Par la suite, il va connaître de nombreuses persécutions (emprisonnement, blessé par balle, etc) mais Jésus le sauvera miraculeusement !

     

     

    Al Fadi, former Salafi Muslim from Saudi Arabia and the founder of CIRA International: The Center for Islamic Research and Awareness. He is the researcher, editor, writer, and translator for numerous ministries, including "Answering Islam" and runs an outreach ministry designed for non-Muslim and Christians.

    https://www.youtube.com/c/CIRAInternational

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    le coran démasqué

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    l'origine TALMUDIQUE DU CORAN

     

     

     


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  • La sourate 4, au verset 171, rejette expressément l’Incarnation et la Divinité du Messie en affirmant que « Dieu est trop glorieux pour avoir un fils »

    Or, cette affirmation est clairement contredite par le Psaume 2, verset 7, qui enseigne :Yahweh m’a dit : Tu es Mon Fils, Je T’ai engendré aujourd’hui. Demande, et Je Te donnerai les nations pour héritage, pour domaine les extrémités de la terre. Tu les briseras avec un sceptre de fer, Tu les mettras en pièces comme le vase du potier.

    Les musulmans rejettent souvent la divinité du Christ au motif que Celui-ci serait une simple créature.

    Mais ceci est faux.

    Le Christ n’est pas juste une simple créature ..

    il est selon l'apôtre Paul (le nouvel ADAM)

    1 Corinthiens 15:47 Le premier homme tiré de la terre, est terrestre

    le second homme est du ciel (célèste)

    48  Tel est le terrestre, tels sont aussi les terrestres 

    et tel est le céleste, tels sont aussi les célestes. (les anges malak's)

     

    Parmi eux, le prophète Michée annonce la naissance et l’incarnation du Messie à Bethléhem :

    Et toi, Bethléem Ephrata, petite pour être entre les milliers de Juda, de toi sortira pour moi celui qui doit être dominateur en Israël, et ses origines dateront des temps anciens, des jours de l’éternité Michée 5:2

    Ici, non seulement le saint prophète Michée annonce l’incarnation du Messie, mais témoigne en outre du fait qu’il existe de toute éternité. Là encore, c’est une preuve éclatante que le Messie est Dieu incarné. D’ailleurs, cette prophétie est explicitement confirmée par le texte de l’Evangile, dans Matthieu 2, versets 5 et 6, où nous lisons :

    A Bethléem de Judée, car ainsi a-t-il été écrit par le prophète : Et toi, Bethléem, terre de Juda, tu n’es pas la moindre parmi les principales villes de Juda, car de toi sortira un chef qui paîtra Israël, mon peuple.

    au Psaume 44, l’éternité du règne du Christ.

    Or, si Son règne est éternel, c’est que le Christ Lui-même, est éternel.

    Or, qu’est-ce qui peut être éternel, sinon Dieu Lui-même ?

    Dans Esaïe 48, Dieu déclare la chose suivante :

    « C’est Moi, Moi qui suis le Premier, C’est aussi Moi Qui suis le Dernier ».

    Or, voici ce que déclare Jésus-Christ dans Apocalypse 22 :

    « Je suis l’Alpha et l’Omega, le Premier et le Dernier, le commencement et la fin ».

    Face aux pharisiens de plus en plus incrédules et agressifs, Notre Seigneur Jésus-Christ affirma Sa divinité de la façon la plus définitive, lorsqu’Il leur déclara la chose suivante :

    « En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fut, je suis ». – Jean 8 ; 58

    En parlant ainsi, Jésus-Christ témoignait doublement.

    Il affirmait Son existence éternelle, et il affirmait également Sa divinité en utilisant l’un des Noms de Dieu dans l’Ancien Testament, à savoir le Nom par lequel Dieu S’est révélé à Moïse dans Exode 3 ; 14 : « Je suis celui qui est ».

    C’est encore de cette manière que Jésus-Christ se présenta à l’apôtre Jean dans le Livre de l’Apocalypse Je suis l’alpha et l’oméga, le commencement et la fin, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était et qui vient, le Tout-Puissant. –$Apocalypse 1 ; 8

    D’ailleurs, la réaction violente des pharisiens face aux proclamations de Jésus-Christ prouve qu’Il se présenta bel et bien comme Dieu incarné.

    Conformément aux prophéties du Psaume 109, les ennemis de Jésus-Christ ont été un marchepied servant à exalter Sa gloire

    c’est-à-dire à prouver aux siècles que le Messie Jésus-Christ est bel et bien Dieu incarné.

     


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  • talmud > coran même sources et fables

    le talmud aux juifs talmudistes et kabbalistes

    le coran aux islamistes

    la bible aux Christians 

     

    Dans la Vie d’Adam et Eve, un apocryphe Juif daté entre le 1er et le 3e siècle de notre ère, on lit la chose suivante. Notez bien que l’auteur de ce texte fait ici parler le diable : Lorsque Dieu souffla en toi le souffle de vie et que ton enveloppe et ton apparence fût faite à l’image de Dieu, l’ange Michel te fit venir et nous fit (nous, les anges) t’adorer devant Dieu. – in Life of Adam and Eve, 13 ; 3

    Plus loin, toujours dans le même texte, c’est encore une fois le diable qui s’exprime :

    Et Michel vint et appela tous les anges en disant : « Adorez l’image de Dieu comme le Seigneur Dieu l’a ordonné ». Et Michel lui-même adora en premier, puis il m’appela et dit : « Adore l’image de Dieu ». Et parce que Michel me pressait d’adorer, je lui dis ceci : « Pourquoi me presses-tu ? Je n’adorerais pas un être inférieur et plus jeune que moi. Je suis son aîné dans la Création, j’étais déjà créé avant qu’il ne soit créé. C’est à lui de m’adorer ». – in Life Of Adam and Eve, 14 ; 1-3

    On retrouve également le même récit dans le texte pseudo-biblique connu sous le titre de La Caverne des Trésors, un apocryphe écrit en Syriaque au cours du 6e siècle par un auteur inconnu, mais vraisemblablement d’origine mésopotamienne.

    Ce texte était très répandu en Orient, aussi bien en Ethiopie qu’en Arabie. Il était particulièrement diffusé dans les sectes nestoriennes, ce qui n’est pas surprenant si l’on considère que plusieurs individus issus de ces milieux hérétiques ont clairement eu une influence sur Mohammed et les premiers musulmans.

    On retrouve enfin une autre source du récit coranique dans le pseudo-évangile de Bartholomé, un apocryphe condamné par le pape Gélase Ier dans son Decretum Gelasianum au 5e siècle

    On lit dans le 4e chapitre de ce pseudo-évangile de Bartholomé : Et lorsque je vins depuis les confins de la terre, Michel dit : Adore l’image de Dieu, qu’Il a créé selon Sa ressemblance. Mais je répondis : Je suis feu issu du feu, j’ai été le premier ange à être formé, et je devrais adorer de la boue et de la matière ? – Pseudo-évangile de Bartholomé, 4 ; 54

    On retrouve dans le Coran essentiellement le même discours que dans cet apocryphe, à savoir que Satan affirme être créé à partir du feu et qu’il refuse de se prosterner devant Adam car ce dernier est inférieur et il a été créé à partir de l’argile. On lit par exemple dans le verset 76 de la sourate 38 : «Je suis meilleur que lui, dit [Iblîs,] Tu m’as créé de feu et tu l’as créé d’argile». Coran 38 ; 76

    Nous voyons donc ici qu’il est absolument évident que le récit coranique prend source dans ces récits pseudo-bibliques datés entre le 3e et le 6e siècle de notre ère.

    Dans le Coran, comme dans ces apocryphes, on retrouve le même schéma narratif, à savoir la rébellion du diable motivée par un refus d’adorer ou de se prosterner devant Adam.

    Dans les deux cas, on constate aussi que le diable est donc précipité dans les enfers à cause de ce refus.

    On ne trouve rien de tel dans la Sainte Bible.

    Il faut donc conclure que le Coran prend directement source dans des récits non-révélés.

    Abraham et la fournaise

    L’histoire d’Abraham sauvé de la fournaise est un récit pseudo-biblique dont les origines ne se trouvent nulle part ailleurs que dans le Talmud.

    Or, tandis que cette légende est totalement absente de la Sainte Bible

    on la retrouve à de très nombreuses reprises dans le Coran, ainsi que dans les Hadiths.

    Dans ce récit, Abraham s’oppose à son entourage païen. Après avoir brisé des idoles païennes, Abraham se voit condamné par les idolâtres à être jeté dans une fournaise. Cependant, Abraham est miraculeusement sauvé par la providence divine qui refroidit le feu ardent, ce qui lui permet de survivre aux flammes.

    On retrouve cette légende dans différents livres du Talmud de Babylone, en particulier dans les Pesachim (Pesah 10 ; 7,  II. 14.C), ainsi que dans le midrash talmudique qu’on appelle le Bereshit Rabbah qui est un commentaire talmudique sur le Livre de la Genèse.

    Or, comme nous le savons, les textes du Talmud ne sont évidemment pas d’origine révélée et leur composition remonte aux alentours du 4e siècle de notre ère comme l’admettent les historiens Juifs.

    Le célèbre historien Juif Jacob Neusner affirme ainsi  Le Bereshit Rabbah dans sa forme finale se diffuse au moment où l’empire romain passe de la domination païenne à la domination chrétienne, vers l’an 360. – Jacob Neusner, Introduction to Rabbinic Literature, Yale University Press, 1994, p. 357

    Généralement considéré comme ayant été clos (ou rédigé) entre l’an 400 et l’an 450 de notre ère, peu de temps après la rédaction du Talmud de Jérusalem, le Bereshit Rabbah transforme le Livre de la Genèse en le faisant passer d’une généalogie de la famille d’Abraham, d’Isaac, de Jacob et de Joseph, en un livre de lois historiques et de règles pour le salut d’Israel. – Ibid, p. 356

    Ainsi, on retrouve la légende de la fournaise d’Abraham en de très nombreux endroits du Coran, en particulier dans les versets 51 à 71 de la sourate 21. On y retrouve donc Abraham défiant le paganisme de ses compatriotes.

    En effet, Nous avons mis auparavant Abraham sur le droit chemin. Et Nous en avions bonne connaissance. Quand il dit à son père et à son peuple: «Que sont ces statues auxquelles vous vous attachez?» ils dirent: «Nous avons trouvé nos ancêtres les adorant». – Coran 21 ; 51-53

    Dans la même sourate, au verset 58, on retrouve Abraham brisant les idoles païennes, à l’exception de la plus grande d’entre elles.

    Il (Abraham) les mit en pièces, hormis [la statue] la plus grande. Peut-être qu’ils reviendraient vers elle

    Dans les versets suivants, les païens demandent qui est le responsable de la destruction des idoles.

    Ils dirent: «Qui a fait cela à nos divinités? Il est certes parmi les injustes». – Coran 21 ; 59

    Abraham est accusé, il se défend d’abord par un mensonge.

    (Certains) dirent: «Nous avons entendu un jeune homme médire d’elles; il s’appelle Abraham». 

    Ils dirent : «Amenez-le sous les yeux des gens afin qu’ils puissent témoigner. (Alors) ils dirent: «Est-ce toi qui as fait cela à nos divinités, Abraham?» Il dit: «C’est la plus grande d’entre elles que voici, qui l’a fait. Demandez-leur donc, si elles peuvent parler». – Coran 21 ; 60-63

    Après s’être accusés mutuellement, les païens accusent à nouveau Abraham et celui-ci est livré aux flammes.

    Se ravisant alors, ils se dirent entre eux: «C’est vous qui êtes les vrais injustes».

    Puis ils firent volte-face et dirent : «Tu sais bien que celles-ci ne parlent pas». Il dit: «Adorez-vous donc, en dehors d’Allah, ce qui ne saurait en rien vous être utile ni vous nuire non plus. Fi de vous et de ce que vous adorez en dehors d’Allah! Ne raisonnez-vous pas ?»  Ils dirent : «Brûlez-le. Secourez vos divinités si vous voulez faire quelque chose (pour elles)». – Coran 21 ; 64-68

    Dans les versets 69 et 71, Abraham est alors protégé du feu par une intervention divine, puis il est récompensé de son zèle et de sa foi, lui et ses descendants :

    Nous dîmes: « O feu, sois pour Abraham une fraîcheur salutaire». Ils voulaient ruser contre lui, mais ce sont eux que Nous rendîmes les plus grands perdants. Et Nous le sauvâmes, ainsi que Lot, vers une terre que Nous avions bénie pour tout l’univers. Et Nous lui donnâmes Isaac et, de surcroît Jacob, desquels Nous fîmes des gens de bien. – Coran 21 ; 69-71

    Nous retrouvons exactement la même histoire dans les légendes talmudiques.

    Nous lisons ainsi dans le 38e chapitre de Bereishit Rabbah le récit d’Abraham brisant les idoles, à l’exception de la plus grande :

    Abraham prit un gourdin dans ses mains et brisa toutes les idoles, puis plaça le gourdin dans les mains de la plus grande des idoles. – Bereshit Rabbah, 38

    Toujours dans le chapitre 38 de Bereshit Rabbah, on retrouve le mensonge d’Abraham, affirmant que c’est la plus grande idole qui a brisé les autres : Lorsque son père fut de retour, il demanda : Qui a fait tout cela ? Abraham répondit : Je ne peux te le cacher. La plus grande des idoles se leva, prit un gourdin et brisa les autres idoles. Terah (le père d’Abraham) dit : Penses-tu pouvoir te jouer de moi ? Ces idoles ne peuvent se mouvoir. – Bereshit Rabbah, ibid.

    Dans les Pesachim, on retrouve le récit du sauvetage miraculeux d’Abraham par un refroidissement des flammes : Laissez-moi (Gabriel) descendre et refroidir ce feu, afin de sauver cet homme juste de la fournaise ardente. – Pesahim 10 ; 7, II. 14.C, in Jacob Neusner, The Babylonian Talmud : A Translation and Commentary, Peabody, 2011, Volume 4, p. 547

    Toujours dans les Pesachim, on voit également Abraham être récompensé de son zèle et de sa foi, lui, ainsi que ses descendants :

    Et puisque le Très Saint, béni soit-Il, ne retient pas la récompense d’une créature, Il lui dit (à Abraham) : Tu auras le mérite de sauver trois de tes descendants (Isaac, Jacob, Joseph). – Ibid

    Nous voyons donc de façon très nette que le récit coranique s’est directement inspiré des légendes talmudiques.

    La Fortune de Koré

    On retrouve dans le Coran une allusion curieuse à ce personnage biblique.

    On lit en effet dans le verset 76 de la sourate 28 

    En vérité, Coré [Karoûn] était du peuple de Moïse mais il était empli de violence envers eux. Nous lui avions donné des trésors dont les clefs pesaient lourd à toute une bande de gens forts. Son peuple lui dit: «Ne te réjouis point. Car Allah n’aime pas les arrogants. – Coran 28 ; 76

    Le Coran présente ici Koré comme un homme riche, possédant un trésor dont les clefs sont si lourdes qu’un groupe d’hommes nombreux aurait du mal à les porter.

    L’allusion au récit biblique de la rebellion de Koré est difficile à établir, bien qu’on nous le présente comme un persécuteur et un homme arrogant.

    Cependant, tout démontre que l’auteur du Coran n’est pas allé chercher cette histoire dans la Sainte Bible

    mais plutôt dans le Talmud de Babylone qui cite le rabbin Levi, qui vécut au 3e siècle de notre ère.

    On lit en effet dans le traité Sanhedrin, au chapitre 110 :

    Rabbi Elazar a dit : Ceci (Deutérome 11 ; 6) se réfère aux biens d’une personne, qui se trouvent à ses pieds. Et Rabbi Levi a dit : Les seules clefs du trésor de Koré étaient un fardeau (si lourd) qu’il fallait 300 mules blanches pour les transporter, et de plus, toutes ces clefs et toutes les serrures étaient faites de cuir. Ceci illustre l’immensité de la richesse de Koré. – Sanhédrin 110a

    nous venons donc de prouver de façon incontestable qu’une très grande quantité d’histoires apparemment bibliques présentes dans le Coran, sont en réalité des légendes pseudo-bibliques provenant de sources profanes.

    Les prétentions du Coran à être la suite et la confirmation de la Bible sont donc absolument irrecevables, puisque le Coran est rempli d’histoires qui ne se trouvent nulle part dans la Sainte Ecriture.

    D’ailleurs, tout ce que nous venons de montrer ici condamne non seulement les prétentions du Coran

    mais démontre également à quel point le Judaïsme talmudique est profondément corrompu

    Jamais aucun évangéliste ou théologien digne de ce nom n’a considéré que le Talmud ou la Kabbale pouvaient contenir des textes révélés

    Il y a 776 ans, vingt quatre charretées d’exemplaires du Talmud étaient brûlés en place de Grève à Paris.

    Cet événement tragique était la conséquence d’une hostilité croissante du christianisme envers le judaïsme qui a connu une recrudescence au 13e siècle.

    Le 20 juin 1242, 13 Tamouz, la sentence a été appliquée et les volumes de la Michna et du Midrash ont été brûlés


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