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    Saint Paul parlant de sa propre sortie hors du corps : « Je connais un homme chrétien qui, il y a quatorze ans, a été emporté au troisième ciel. Je ne sais pas si c'était hors du corps, ou avec le corps, peu importe, Dieu seul le sait. Mais je sais que cet homme s'est retrouvé au paradis où il a vu et entendu des choses extraoordinaires qu'il ne lui est pas permis de répéter  Épître de Saint Paul aux Corinthiens (12:2)

     

    le Christ était totalement imprégné des textes d'Enoch

    que c'était son livre de chevet et qu'il en connaissait le contenu par coeur

    vu le nombre de phrases « enokiennes » qu'on retrouve dans sa bouche, telles que rapportées dans les Évangiles

     


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  • mots en araméen 

    le 1 er avertissements 

    > tu ne versera pas le sang de l’homme l'Aram / anasha

    car il est écrit 

    Genèse 9

    5  Sachez-le aussi

    je redemanderai le sang de vos âmes 

    je le redemanderai à tout animal et

    je redemanderai l’âme  de l’homme à l’homme

    à l’homme qui est son frère.

    Si quelqu’un verse (répends) le sang de l’homme, par l’homme son sang sera versé ; car Dieu a fait l’homme à son image.

    Exode 21:12 Celui  qui frappera  (ôtera la vie / répandra le sang) un homme mortellement sera puni de mort.

    Psaumes 9:12 Car il venge le sang et se souvient des malheureux, Il n’oublie pas leurs cris.

    le 2 em  avertissements 

    Matthieu 26-52  Alors Jésus lui dit (à Simon)

    Put up again thy sword into his place for all they that take the sword shall perish with the sword.

    Remets ton épée (machaira) à sa place

    car tous ceux qui prendront l’épée périront par l’épée.

    Rengaine ton glaive car tous ceux qui prennent le glaive périront par le glaive.

    le 3 em  avertissements  

    Apocalypse 13:10 

    Si quelqu’un mène en captivité il ira en captivité

    si quelqu’un tue par l’épée, il faut qu’il soit tué par l’épée

    C’est ici la persévérance et la foi des saints.

    10  Si quelqu’un doit être prisonnier,(enchainer) il sera fait prisonnier 

     

    Romains 12:19 

    Ne vous vengez point vous-mêmes, bien-aimés,

    mais laissez agir la colère

    car il est écrit : A moi la vengeance, à moi la rétribution, dit le Seigneur.

    Hébreux 10:30 Car nous connaissons celui qui a dit: A moi la vengeance, à moi la rétribution ! et encore : Le Seigneur jugera son peuple.

    2 Corinthiens 5:10  Car il nous faut tous comparaître devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu’il aura fait ..... 

    1 Thessalonic 5:15  Veillez à ce que personne :  nul / aucun / quiconque

    ne rende le mal pour le mal

     

    Jésus à TOUT dit d'avance

    libre à vous de prendre les armes ...

    révoltes, guerres, vengeance 

     

     

     

     


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  • JERUSALEM JERUSALEM (2 fois)

    Jésus n'a jamais dit : Rome Rome qui tue les prophètes

    le Vatican n'a rien à voir avec les avertissements de Jésus

     

    JERUSALEM JERUSALEM

    JERUSALEM JERUSALEM (2 fois) 

    qui d'autre que Jésus ? répète 2 fois 

    Matthieu 23:37 Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois je voulais rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l’avez pas voulu !38  Voici, votre maison vous sera laissée déserte 

    Luc 19:41 Comme il approchait de la ville Jésus en la voyant, pleura sur elle, et dit Si toi aussi, Jérusalem au moins en ce jour qui t’est donné, tu connaissais les choses qui appartiennent à ta paix ! Mais maintenant elles sont cachées à tes yeux

     

     

    Prophétie de Jérémie qui a vu sa ruine

    Jérémie 50:29 Appelez contre Babylone les archers, (les légions Romaines  de TITUS) vous tous qui maniez l’arc ! Campez autour d’elle (le siège de Jérsualem) que personne n’échappe,

    Rendez-lui selon ses œuvres

    Faites-lui entièrement comme elle a fait !

    Car elle s’est élevée avec fierté contre l’Eternel Contre le Saint d’Israël. (contre Jésus)

    Jérémie 51:7 Babylone était dans la main de l’Eternel une coupe d’or, Qui enivrait toute la terre ; Les nations ont bu de son vin : C’est pourquoi les nations ont été comme en délire

     

    JERUSALEM JERUSALEM

    Esaïe 21:9 Et voici il vient de la cavalerie les armées célestes des cavaliers deux à deux ! Elle prit encore la parole, et dit Elle est tombée naphal elle est tombée naphal Babylone > "la grande ville" Jérusalem Jérusalem

     

    jean l'à vu sa ruine, sa fin

    Apocalypse 14:8 Et un autre, un second ange suivit, en disant : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone "la grande", qui a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité !

     

    Apocalypse 18:2 Il cria d’une voix forte, disant : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux,

     

    Apocalypse 18:10 Se tenant éloignés, dans la crainte de son tourment, ils diront : Malheur ! malheur ! La grande ville, Babylone, la ville puissante ! En une seule heure est venu ton jugement !

    apocalypse 17 (péchés) 

    Cette femme "JERUSALEM" était vêtue de pourpre (ses péchés) et d’écarlate (ses péchés), et parée d’or, de pierres précieuses et de perles.

    Elle tenait dans sa main une coupe d’or, remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution. (infidélité)

    5  Sur son front (ses pensées) était écrit un nom, un mystère

    Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre.

    6  Et je vis cette femme JERUSALEM ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. Et, en la voyant, je fus saisi d’un grand étonnement.

    7  Et l’ange me dit : Pourquoi t’étonnes-tu ? Je te dirai le mystère de la femme 'JERUSALEM' et de la bête 'ISRAEL' qui la porte, qui a les sept têtes (7 monts) et les dix cornes. (10 rois)

    La bête  'ISRAEL' que tu as vue était, et elle n’est plus. Elle doit monter de l’abîme, et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n’a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s’étonneront en voyant la bête, 'ISRAEL' parce qu’elle était, et qu’elle n’est plus, et qu’elle reparaîtra.  en 1948 

    SI ! étudie et TU VERRA ! que Jésus EST bien le Messie (l'oint) 

     

    JERUSALEM JERUSALEM

     Ils ont Moïse et les prophètes

    JERUSALEM JERUSALEM

     

    Jean 5:39 Vous sondez les Ecritures 

    parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle

    ce sont elles qui rendent témoignage de moi

    (de Yeshua / de Jésus)

    JERUSALEM JERUSALEM

     ne m'embêtez pas avec votre talmud ! gardez le !

    ne m'embêtez pas avec votre coran ! gardez le !

     


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  •  révélations 22

    10  Et il me dit : Ne scelle point les paroles de la prophétie de ce livre. Car le temps est proche. 

    le temps APPROCHE ! (le jour et l'heure ... de comparaitre

    11  Que celui qui est injuste soit encore injuste, que celui qui est souillé se souille encore ; et que le juste pratique encore la justice, et que celui qui est saint se sanctifie encore.

    16  Moi Jésus, j’ai envoyé mon ange malak (mon messager) pour vous attester ces choses dans les Eglises. Je suis le rejeton et la postérité de David, l’étoile brillante du matin.

     

    7 FOIS ! l'Esprit atteste Que celui qui a des oreilles (écoute) ܶܫܡܰܥ ne-shama

    Apocalypse 2:7  Que celui qui a des oreilles (écoute) ܶܫܡܰܥ ne-shama ce que l’Esprit dit aux Eglises : A celui qui vaincra je donnerai à manger de l’arbre de vie, qui est dans le paradis de Dieu.

    Apocalypse 2:11  Que celui qui a des oreilles (écoute) ܶܫܡܰܥ ne-shama ce que l’Esprit dit aux Eglises: Celui qui vaincra n’aura pas à souffrir la seconde mort.

     

    Apocalypse 2:17  Que celui qui a des oreilles (écoute) ܶܫܡܰܥ ne-shama ce que l’Esprit dit aux Eglises : A celui qui vaincra je donnerai de la manne cachée, et je lui donnerai un caillou blanc et sur ce caillou est écrit un nom nouveau, que personne ne connaît, si ce n’est celui qui le reçoit.

    Apocalypse 2

    26 - A celui qui vaincra, et qui gardera jusqu'à la fin mes oeuvres, je donnerai autorité sur les nations 

    28 - Et je lui donnerai l'étoile du matin

    29  Que celui qui a des oreilles (écoute) ܶܫܡܰܥ ne-shama ce que l’Esprit dit aux Eglises !

    Apocalypse 3

    5 - Celui qui vaincra sera revêtu ainsi de vêtements blancs; je n'effacerai point son nom du livre de vie, et je confesserai son nom devant mon Père et devant ses anges.

    Que celui qui a des oreilles (écoute) ܶܫܡܰܥ ne-shama ce que l’Esprit dit aux Eglises !

     

    Apocalypse 3

    12 - Celui qui vaincra, je ferai de lui une colonne dans le temple de mon Dieu, et il n'en sortira plus; j'écrirai sur lui le nom de mon Dieu, et le nom de la ville de mon Dieu, de la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel d'auprès de mon Dieu, et mon nom nouveau.

    13  Que celui qui a des oreilles (écoute) ܶܫܡܰܥ ne-shama ce que l’Esprit dit aux Eglises !

     

    Apocalypse 3

    21 - Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j'ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône.

    22  Que celui qui a des oreilles (écoute) ܶܫܡܰܥ ne-shama ce que l’Esprit dit aux Eglises !

     


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  • les trois particules d'  l'  b

     

    le Seigneur appelle par un NOM toujours 2 fois

    le Seigneur appelle Abraham 2 fois

    Genèse 22:11 Alors l’ange de l’Eternel l’appela des cieux, et dit : Abraham ! Abraham ! Et il dit : voici MOI

     

     

    le Seigneur appelle Shamuél  2 fois 

    1 Samuel 3:10  L’Eternel vint et se présenta, et il appela comme les autres fois : Shamuwyel, Shamuwyel ! Et Shamuwyel dit : Parle car ton serviteur écoute

     

    * le Seigneur appelle 2 fois  Marta ܡܳܪܬ݁ܳܐ Marta ܡܳܪܬ݁ܳܐ

     

    Luc 10:41  Le Seigneur dit à elle : Marthe, Marthe, tu t’inquiètes et tu t’agites pour beaucoup de choses.

     

    * le Seigneur appelle 2 fois le Simon  

    ܘܶ ܐܡܰܪ ܝܶܫܽܘܥ ܠܫܶܡܥܽܘܢ ܫܶܡܥܽܘܢ

    et dit Yeshua le Simon Simon 

    wa amar yešhūaᶜ l'šhymown šhymown

     

    Luc 22:31 Le Seigneur dit : Shymown, Shymown Satan vous a réclamés, pour vous cribler comme le froment.

     

    * le Seigneur appelle 2 fois Shauwl  (Paul) 2 fois ܫܳܐܘܳܠ shauwl ܫܳܐܘܳܠ shauwl

    Actes 9:4  Et étant tombé par terre, il entendit une voix qui lui disait : Shauwl, Shauwl, pourquoi me persécutes-tu ?

     

    Apocalypse 1:5  et par Jésus Christ le témoin fidèle le Premier-né d’entre les morts,

    apocalypse 3 : 7 .... Voici ce que dit le Saint, le Véritable celui qui a la clef de David, celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n’ouvrira

     

     

    Apocalypse 5:5  Et l’un des vieillards me dit : Ne pleure point ; voici, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu pour ouvrir le livre et ses sept sceaux.

     

    Genèse 49:9  Juda est un jeune lion. Tu reviens du carnage, mon fils ! Il ploie les genoux, il se couche comme un lion, Comme une lionne : qui le fera lever ?

     

    Genèse 49:10  Le sceptre ne s’éloignera point de Juda, Ni le bâton souverain d’entre ses pieds, Jusqu’à ce que vienne le Schilo, Et que les peuples lui obéissent.

     

    Hébreux 7:14  car il est notoire que notre Seigneur est sorti de Juda, tribu dont Moïse n’a rien dit pour ce qui concerne le sacerdoce.

     

    Apocalypse 22:16  Moi, Jésus, j’ai envoyé mon ange pour vous attester ces choses dans les Eglises. Je suis le rejeton et la postérité de David, l’étoile brillante du matin.

     

    Romains 15:12  Esaïe dit aussi : Il sortira d’Isaï un rejeton, Qui se lèvera pour régner sur les nations ; Les nations espéreront en lui.

    apocalypse 3 

    14 .... Voici ce que dit l’Amen, le témoin fidèle et véritable, l'origine de la création de Dieu

    Colossiens 1:15  Il est l’image du Dieu invisible le premier-né de toute la création.

    Apocalypse 4

     

    8 .... . Ils ne cessent de dire jour et nuit : Saint, saint, saint est le Seigneur Dieu, le Tout-Puissant, qui était, qui est, et qui vient !

     

    10  les vingt-quatre vieillards se prosternent devant celui qui est assis sur le trône, et ils adorent celui qui vit aux siècles des siècles, et ils jettent leurs couronnes devant le trône, en disant: 11  Tu es digne, notre Seigneur et notre Dieu, de recevoir la gloire et l’honneur et la puissance ; car tu as créé toutes choses, et c’est par ta volonté qu’elles existent et qu’elles ont été créées.

     

    Esaïe 6:3  Ils criaient l’un à l’autre, et disaient: Saint, saint, saint est l’Eternel des armées ! toute la terre est pleine de sa gloire !

     

    Apocalypse 5 

    14  Et les quatre êtres vivants disaient: Amen !

    Et les vieillards se prosternèrent et adorèrent

     

    Apocalypse 19

    4  Et les vingt-quatre vieillards et les quatre êtres vivants se prosternèrent et adorèrent Dieu assis sur le trône, en disant : Amen ! Alléluia !

    Apocalypse 11 

     

    17  en disant : Nous te rendons grâces, Seigneur Dieu tout-puissant, qui es, et qui étais, de ce que tu as saisi ta grande puissance et pris possession de ton règne.

     

    17  En disant : Nous te rendons grâces, Seigneur Dieu Tout-Puissant, QUI ES, et QUI ÉTAIS, et QUI SERAS, de ce que tu as pris en main ta grande puissance

    et de ce que tu es entré dans ton règne.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    d'alaha ܕܐܠܗܐ    d' > de, du > 

    l'alaha                     l' > le, la, l'

    b'alaha  b > en, dans, par, à  

    实在 shí zài  vraiment; réellement; en effet; effectivement; en réalité; réel; substantiel

    阿们 āmen amen

    amen 2 fois > véritablement, vraiment, assurément,  certainement

    Psaumes 41:13 Béni soit l’Eternel, le Dieu d’Israël, d’éternité en éternité ! Amen ! Amen !

    Psaumes 72:19 Béni soit à jamais son nom glorieux ! Que toute la terre soit remplie de sa gloire ! Amen ! Amen !

     

    Psaumes 89:52 Béni soit à jamais l’Eternel ! Amen ! Amen !

    Psaumes 106:48  Béni soit l’Eternel, le Dieu d’Israël, d’éternité en éternité !

    Et que tout le peuple dise : Amen ! Louez l’Eternel !

     

    amen 2 fois > véritablement, vraiment, assurément   

    Jean 1:51  Et il lui dit : amyn ܐܵܡܹܝܢ amyn ܐܵܡܹܝܢ vous verrez désormais le ciel ouvert et les anges de Dieu monter et descendre sur le Fils de l’homme.

    Jean 3:3  Jésus lui dit : En vérité amyn ܐܵܡܹܝܢ en vérité, amyn ܐܵܡܹܝܢ  je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu.

    Jean 3:11 ܐܵܡܹܝܢ amyn ܐܵܡܹܝܢ amyn  je te le dis, nous disons ce que nous savons, et nous rendons témoignage de ce que nous avons vu et vous ne recevez pas notre témoignage.

     

    Jean 5:19 Jésus reprit donc la parole, et leur dit  ܐܵܡܹܝܢ amyn  ܐܵܡܹܝܢ amyn  je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu’il voit faire au Père ; et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement.

    Jean 5:24  ܐܵܡܹܝܢ amyn  ܐܵܡܹܝܢ  amyn je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie.

    Jean 5:25  ܐܵܡܹܝܢ amyn ܐܵܡܹܝܢ amyn je vous le dis, l’heure vient, et elle est déjà venue, où les morts entendront la voix du Fils de Dieu ; et ceux qui l’auront entendue vivront.

    Jean 6:32 Jésus leur dit : amyn ܐܵܡܹܝܢ amyn ܐܵܡܹܝܢ  je vous le dis, je dis moi à vous  Moïse ne vous a pas donné le pain du ciel, mais mon Père vous donne le vrai pain du ciel ;

    Jean 6:47 En vérité, en vérité, je vous le dis, je dis moi à vous  celui qui croit en moi a la vie éternelle.

    Jean 6:53 Jésus leur dit :amyn ܐܵܡܹܝܢ amyn ܐܵܡܹܝܢ  je vous le dis, je dis moi à vous  si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez son sang, vous n’avez point la vie en vous-mêmes.

    Jean 8:34  amyn ܐܵܡܹܝܢ amyn ܐܵܡܹܝܢ je vous le disje dis moi à vous leur répliqua Jésus, quiconque se livre au péché est esclave du péché.

     

    Jean 8:51 amyn ܐܵܡܹܝܢ amyn ܐܵܡܹܝܢ   je vous le dis, je dis moi à vous si quelqu’un garde ma parole, il ne verra jamais la mort.

    Jean 8:58 Jésus leur dit : amyn ܐܵܡܹܝܢ amyn ܐܵܡܹܝܢ  je vous le dis, je dis moi à vous avant que soit ’Abraham   je suis  moi j'étais

    Jean 10:1 amyn ܐܵܡܹܝܢ amyn ܐܵܡܹܝܢ  je vous le dis,  je dis moi à vous celui qui n’entre pas par la porte dans la bergerie, mais qui y monte par ailleurs, est un voleur et un brigand.

    Jean 10:7 Jésus leur dit encore : amyn ܐܵܡܹܝܢ   je vous le dis   je dis moi à vous je suis la porte des brebis.

    Jean 12:24 En vérité, en vérité, je vous le disje dis moi à vous si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul ; mais, s’il meurt, il porte beaucoup de fruit.

    Jean 13:16 amyn ܐܵܡܹܝܢ amyn ܐܵܡܹܝܢ je vous le dis,   le serviteur n’est pas plus grand que son seigneur, ni l’apôtre plus grand que celui qui l’a envoyé.

     

    Jean 13:20 amyn ܐܵܡܹܝܢ amyn ܐܵܡܹܝܢ  je vous le dis, je dis moi à vous  celui qui reçoit celui que j’aurai envoyé me reçoit, et celui qui me reçoit, reçoit celui qui m’a envoyé.

    Jean 13:38 Jésus répondit : Tu donneras ta vie pour moi ! amyn ܐܵܡܹܝܢ amyn ܐܵܡܹܝܢ  je te le dis, le coq ne chantera pas que tu ne m’aies renié trois fois.

    Jean 14:12 amyn ܐܵܡܹܝܢ amyn ܐܵܡܹܝܢ  je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père ;

    Jean 16:20 amyn ܐܵܡܹܝܢ amyn ܐܵܡܹܝܢ  je vous le dis, vous pleurerez et vous vous lamenterez, et le monde se réjouira: vous serez dans la tristesse, mais votre tristesse se changera en joie.

    Jean 16:23 En ce jour-là, vous ne m’interrogerez plus sur rien

    amyn ܐܵܡܹܝܢ amyn ܐܵܡܹܝܢ  je vous le dis, ce que vous demanderez au Père, il vous le donnera en mon nom.

     

    Jean 21:18 amyn ܐܵܡܹܝܢ amyn ܐܵܡܹܝܢ  je te le dis, quand tu étais plus jeune, tu te ceignais toi-même, et tu allais où tu voulais ; mais quand tu seras vieux, tu étendras tes mains, et un autre te ceindra, et te mènera où tu ne voudras pas.


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  • des Signes étranges à Jérusalem durant 40 ans avant la destruction du Temple!

    Jésus avait prévenu: … il y aura des phénomènes terribles et de grands signes dans le ciel (Luc.21 :11)

    La ville et le Temple de Jérusalem furent le théâtre d’une série de phénomènes étranges, à partir de l’an 30, notamment à l’occasion de chaque fête de Yom Kippour.

    Ces phénomènes qui ont débuté une quarantaine d’années avant la destruction du Temple en l’an 70 ap. J.-C, ont été observés par de nombreux Juifs ayant vécu à cette époque-là.

    On peut trouver des rapports de ces signes dans les deux versions du Talmud (de Jérusalem et de Babylone).

    Quoique le Talmud ne soit pas un livre inspiré par Dieu, il contient cependant des précisions historiques et des détails intéressants concernant les traditions juives par les rabbins dès le troisième siècle de notre ère.

    Ils ont été aussi consigné par :

    - Flavius Josephe (37-100) historien juif dans son ouvrage « La guerre des juifs »

    - Eusèbe de Césarée (265 – 339) dans son « Histoire Ecclésiastique »,

    - Tacite (58-120) historien et sénateur romain dans son ouvrage Historiae (Histoires) en 109 apr.JC

    - le Sepher Yosippon (histoire du peuple juif pendant la période du Second Temple (vie siècle av.JC – 70 apr.JC), composée en hébreu par un Juif d’Italie du sud vers le milieu du xe siècle.)

    Ces événements sont autant d’indices qui prouve que Jésus aurait bien été crucifié en l’an 30 et que Dieu ne fait jamais rien sans prévenir les hommes.

    Tous ces phénomènes, qui se sont déroulés pendant 40 ans jusqu’à la destruction du Temple, étaient autant de signaux qui annonçaient aux juifs de l’époque  l’imminence de la catastrophe de l’an 70 et auraient dut lui faire prendre conscience que quelque chose avait fondamentalement changé sur le plan religieux depuis cette année 30.

    Les nouveaux cieux étaient là, on ne s’approchait plus de Dieu de la même façon.

    Quels étaient ces signes étranges?

    Les gens pressés ou qui veulent une synthèse passez directement à la fin de ce billet au niveau des paroles en rouge.

    Pour les autres, accrochez vos ceintures et profitez du voyage.

    Concernant les premiers voici ce que rapporte le Talmud de Babylone

    Nos rabbins enseignaient : Au cours des quarante dernières années avant la destruction du Temple le tirage au sort ['Pour le Seigneur'] n’est pas venu dans la main droite, ni le ruban de couleur rouge n’est devenu blanc, et la lumière occidentale (de la Ménorah) n’a plus brillé et les portes du Hekel [du Temple] s’ouvraient d’elles-mêmes, jusqu’à ce que Rabban Yohanan Ben Zakkai les réprimanda, disant : Hekel, Hekel, pourquoi veux-tu nous alarmer ? Je sais que tu seras détruit, car Zacharie fils d’Ido avait déjà prophétisé à ton sujet (Zach. 11 : 1) :

    « dit au Temple : ‘Ouvrez vos portes, ô Liban, et que le feu dévore tes cèdres’ »

    (version Soncino, extrait de Yoma 39b)

    Passage similaire dans le Talmud de Jérusalem

    Ce passage du Talmud nous parle de quatre phénomènes inhabituels, dont les deux premiers qui avaient lieu à l’occasion de chaque fête des Expiations durant les quarante années qui précédèrent l’an 70.

    Les deux autres signes concernaient plus précisément le service quotidien du Temple.

    Concernant Yom kippour, Lévitique 16 nous parle du Jour du Grand Pardon (Yom Kippour) qui est aussi le jour le plus saint du calendrier hébreu.

    A cette occasion, de nombreux Juifs venaient de tout le pays et de l’étranger à Jérusalem pour participer à la cérémonie qui était le rendez-vous religieux, l’évènement de l’année.

    C’était, en effet, lors de cette fête que les péchés du peuple étaient pardonnés par le Seigneur grâce au rituel des sacrifices qui se déroulait au Temple de Jérusalem

    Ce chapitre nous présente une liturgie pour le moins étrange. Les versets 7 et 8 ordonnent au Grand Prêtre de prendre 2 boucs puis de les tirer au sort afin de déterminer lequel serait offert en sacrifice à l’Éternel et lequel était pour Azazel. L’un des boucs était « pour Yahweh » et devait lui être offert en sacrifice pour le péché du peuple. Son sang devait être aspergé sur le propitiatoire.

    L’autre bouc était « pour Azazel ».

    Après que le premier bouc soit sacrifié, le Grand Prêtre avait l’instruction de poser ses deux mains sur ce bouc émissaire, vivant, et de confesser le péché des Israélites et ainsi le « mettre sur la tête du bouc

    Il était ensuite conduit dans le désert sous la responsabilité d’un homme qui était désigné pour accomplir cette tâche. C’est ainsi que les Écritures décrivent ce rituel.

    Les deux premiers signes concernent ce passage sur les deux boucs.

    1er signe Le tirage au sort On apportait au Grand Prêtre deux boucs identiques qu’il devait tirer au sort pour désigner lequel était « pour le Seigneur » et lequel était « pour Azazel ».

    Le Grand prêtre plongeait alors ses deux mains dans une urne pour en retirer les deux lots représentant les deux boucs.

    Soit le lot « pour Yahweh » et celui « pour Azazel ».

    Quand le lot « pour Yahweh »

    représenté à un certain moment par une pierre blanche) venait dans la main droite, c’était un bon présage

    mais si ce lot arrivait dans la main gauche, c’était un mauvais signe.

    Avant cette année 30, cette loterie était aléatoire

    (la pierre blanche tombait aussi bien dans la main droite que dans la gauche).

    Mais durant les quarante années qui précédèrent la destruction du Temple, la cérémonie ne s’est plus passée comme auparavant.

    Chaque fois que le Grand prêtre effectuait le tirage au sort pour départager les boucs, il sortait la pierre noire hors de la boîte dans la main droite.

    C’est arrivé chaque année lors de la fête, depuis l’an 30 jusqu’à la disparition du Temple en 70 !

    Les Juifs ont remarqué ce phénomène qu’ils ont interprété comme étant de mauvais augure.

    En effet, c’était le fait de voir arriver la pierre blanche dans la main droite du Grand prêtre qui était considéré comme un bon signe et non l’inverse.

    2ème signe Le ruban de couleur rouge ne devenait pas blanc

    La littérature rabbinique, la Mishnah en particulier (Yoma 39a)  ajoute certains détails.

    Le Grand Prêtre attachait ensuite un fil de laine écarlate à la tête du bouc « pour Azazel » et un ruban autour du cou du bouc pour l’éternel  

    il posait ensuite ses deux mains dessus, confessait ses péchés, ceux de sa famille et ceux d’Israël, puis demandait à ce qu’ils soient pardonnés. Un homme devait conduire le bouc jusqu’à une falaise dans le désert et l’y précipiter (Yoma 6. 1-8).

    Il existe encore aujourd’hui, dans le désert de Judée, un lieu que l’on appelle le « Mont Azazel » où ce terrible rituel est supposé s’être produit. Mais comment se fait-il que Lévitique 16 ordonne seulement de laisser le bouc émissaire dans le désert et ne mentionne rien au sujet de cette pratique barbare consistant à pousser le bouc du haut d’une falaise?

    Un jour, le bouc émissaire est revenu du désert où il avait été laissé et il est entré à Jérusalem, ce qui a été considéré comme un signe terrible de malédiction. C’est à partir de ce moment-là qu’ils adoptèrent cette méthode consistant à jeter le bouc du haut de la falaise, qui respectait tout de même l’instruction biblique de Lévitique 16 de le « laisser au désert », sauf qu’il ne pourrait plus jamais en revenir.

    On attachait aussi un ruban rouge sur la porte du Temple.

    Quand le bouc pour azazel avait été précipité, Au bout d’un certain temps ce morceau de tissu devenait blanc, ou il restait parfois rouge, ce qui n’était pas un bon présage.

    Ésaïe 1 : 18 faisait symboliquement référence à ce fil de laine écarlate.

    Un signe surnaturel attestant que le péché du peuple avait été ôté.

    3ème signe La lumière occidentale n’a plus brillé La lampe à sept branches (Ménorah) se trouvait dans le lieu saint sur le côté sud (Ex. 25 : 31-40 et 26 : 35).

    On appelait la lampe du milieu La lumière occidentale, le « ner ma’aravi« , elle avait une particularité. Alors qu’on mettait dans les sept lampes la même quantité d’huile, les six qui se trouvaient de part et d’autre de la lumière centrale ne brûlaient que du soir au matin. La septième, celle du milieu, continuait de brûler jusqu’au soir. (C’est en souvenir de cette lumière constamment allumée que, dans toutes les synagogues, brûle, un « ner tamid« , une lumière éternelle, qui ne s’éteint jamais).

    Le « ner ma’aravi » du Temple était donc, avec les six autres, allumé et entretenu par les cohanim (les prêtres). Au cours du service quotidien dans le Sanctuaire, toutes les mèches de la lampe étaient rallumées le soir avec la flamme de la branche centrale. Cette mèche centrale appelée « la flamme occidentale » était la plus importante des sept, puisque c’est avec cette mèche qu’on rallumait les autres flammes éteintes (Ex. 27 : 21).

    Elle devait donc rester toujours allumée, même si parfois il arrivait qu’elle s’éteigne par accident.

    Mais de nouveau, au cours des quarante années qui précédèrent la disparition du Temple, la « flamme occidentale » s’éteignit d’elle-même durant la nuit, malgré le soin particulier apporté par les lévites pour que cette flamme reste constamment allumée (on y mettait plus d’huile et elle était mieux surveillée).

    Si on ne connaît pas la cause de ce phénomène mystérieux, on peut néanmoins en deviner la raison : il était manifeste que la présence de Dieu avait quitté le lieu saint et que ce signe, comme tous les autres d’ailleurs, aurait dû alerter le Grand prêtre et lui indiquer que quelque chose avait changé depuis l’apparition de ces phénomènes dès l’an 30.

    Ces signes étaient d’autant plus de mauvais augures que des phénomènes inverses (et donc de bon présage) se sont passés lors de la prêtrise d’un certain Simon le Juste qui fut Grand prêtre au 3e siècle avant notre ère : Nos rabbins enseignaient : Pendant les quarante ans du ministère de Simon le Juste, le lot ['Pour le Seigneur'] est toujours venu dans la main droite.

    Puis après son ministère, il est venu tantôt dans la main droite, tantôt dans la main gauche. Et [pendant ce même temps] le tissu de couleur pourpre devenait blanc. Mais après, il est devenu parfois blanc ou pas.

    Pendant ces quarante ans également, la flamme occidentale restait allumée, puis après, elle restait allumée ou s’éteignait. » (Talmud, version Soncino, extrait de Yoma 39a)

    Autre fait rapporté par le Talmud

    Le Sanhédrin a changé de place.

    Un autre événement rapporté par le Talmud s’est aussi déroulé à partir de l’an 30.

    Il concernait le lieu où siégeait le Sanhédrin. Avant cette année 30, le Sanhédrin tenait habituellement ses audiences et ses délibérations dans un local attenant au Temple appelée Lishkath ha-Gazith « la Chambre des Pierres Taillées ».

    Or, dès cette année-là (en 30), le Sanhédrin a décidé de quitter ce lieu superbe pour siéger dans un local moins prestigieux situé en dehors du Temple appelé Hanuth  » salle du commerce, bazar

    Quarante ans avant la destruction du Temple, le Sanhédrin quitta le Gazith  pour siéger dans le hanuth. (Talmud de Babylone, version Soncino, extrait de Shabbat 15a).

    Quarante ans avant que le Temple ne soit détruit, le Sanhédrin l’avait abandonné le Temple pour tenir ses séances dans le « Hanuth » (Talmud de Babylone, version Soncino, extrait de Abodah Zara 8b).

    Quarante ans avant la destruction du temple, les juges furent chassés du consistoire Gazith et que lorsqu’on les chassa du consistoire, on leur ôta  le pouvoir de juger à mort; qu’alors ils se couvrirent de cilices, s’arrachèrent les cheveux, pleurant et disant: malheur à nous, parce que le sceptre a cessé dans Juda, et que le fils de David, c’est à dire le Messie, n’est pas encore venue (Talmud de Jérusalem, traité Sanhédrin, chap.24)

    Pourquoi tant de lamentations?

    Parce les juifs croyait que le sanhédrin, siégeant dans le consistoire de Gazith, pour porter des peines capitales resterait jusqu’à ce que vienne Siloh qui est le messie (Rabbi Moïse Hadarsan- commentaire sur la Genèse, paroles: et le scribe de sa postérité).

    Pourquoi un tel changement de lieu de réunion et quelle en était la raison ?

    On ne sait pas exactement, le traité sanhédrin dit que les membres du sanhédrin ont été chassé.

    Par qui? Comment?

    La question reste ouverte.

    Nous avons dans la Bible  un indice qui pourrait expliquer  ce changement de lieu.

    Matthieu affirme qu’il y eut un tremblement de terre au moment de la mort de Jésus. «A ce moment, le rideau suspendu dans le Temple se déchira depuis le haut jusqu’en bas. La terre trembla, les rochers se fendirent,» (Matt. 27 : 51).

    Il est donc tout à fait possible que le Temple ait subi quelques dommages suite à ce séisme et que le local où se réunissait le Sanhédrin soit devenu de ce fait hors d’usage.

    L’épisode du voile déchiré qui fut également un signe significatif, n’a cependant pas été repris dans le Talmud en raison, probablement, du lien de proximité trop évident avec la mort du Messie.

    Une foule d’autres signes surnaturels

    Flavius Joseph guerre des juifs Livre 6, Chapitre 5, paragraphe 3

    Ces trompeurs, ces gens qui se prétendaient envoyés de Dieu abusaient ainsi le misérable peuple, qui n’accordait ni attention ni créance aux clairs présages annonçant la désolation déjà menaçante : comme si la foudre fût tombée sur eux, comme s’ils n’avaient ni des yeux ni une âme, ces gens ne surent pas entendre les avertissements de Dieu.

    Ce fut d’abord quand apparut au-dessus de la ville un astre semblable à une épée, une comète qui persista pendant une année. Avant la révolte et la prise d’armes, le peuple s’était rassemblé pour la fête des azymes, le 8e jour du mois de Xanthicos,

    Quand, à la neuvième heure de la nuit, une lumière éclaira l’autel et le Temple, assez brillante pour faire croire que c’était le jour, et ce phénomène dura une demi-heure. Les ignorants y virent un bon signe, mais les interprètes des choses saintes jugèrent qu’il annonçait les événements survenus bientôt après.

    Dans la même fête, une vache amenée par quelqu’un pour le sacrifice mit bas un agneau dans la cour du Temple, et l’on vit la porte du Temple intérieur, tournée vers l’Orient, – bien qu’elle fût en airain et si massive que vingt hommes ne la fermaient pas sans effort au crépuscule, qu’elle fût fixée par des verrous munis de chaînes de fer et par des barres qui s’enfonçaient très profondément dans le seuil formé d’une seule pierre, s’ouvrir d’elle-même à la sixième heure de la nuit.

    Les gardiens du Temple coururent annoncer cette nouvelle au capitaine, qui monta au Temple et fit fermer la porte à grand peine.

    Ce présage aussi parut encore très favorable aux ignorants : ils disaient que Dieu leur avait ouvert la porte du bonheur mais les gens instruits pensaient que la sécurité du Temple s’abolissait d’elle-même, que la porte s’ouvrait et s’offrait aux ennemis.

    Ils estimaient entre eux que c’était le signe visible de la ruine.

    Peu de jours après la fête, le vingt-et-un du mois d’Artemisios, on vit une apparition surhumaine, dépassant toute créance.

    Ce que je vais raconter paraîtrait même une fable, si des témoins ne m’en avaient informé : du reste, les malheurs qui survinrent ensuite n’ont que trop répondu à ces présages. 

    On vit donc dans tout le pays, avant le coucher du soleil, des chars et des bataillons armés répandus dans les airs, s’élançant à travers les nuages et entourant les villes.

    En outre, à la fête dite de la Pentecôte, les prêtres qui, suivant leur coutume, étaient entrés la nuit dans le Temple intérieur pour le service du culte, dirent qu’ils avaient perçu une secousse et du bruit, et entendu ensuite ces mots comme proférés par plusieurs voix : « Nous partons d’ici. »

    Mais voici de tous ces présages le plus terrible : un certain Jésus, fils d’Ananias, de condition humble et habitant la campagne, se rendit, quatre ans avant la guerre, quand la ville jouissait d’une paix et d’une prospérité très grandes, à la fête où il est d’usage que tous dressent des tentes en l’honneur de Dieu, et se mit soudain à crier dans le Temple: «Voix de l’Orient, voix de l’Occident, voix des quatre vents, voix contre Jérusalem et contre le Temple, voix contre les nouveaux époux et les nouvelles épouses, voix contre tout le peuple!»

    Et il marchait, criant jour et nuit ces paroles, dans toutes les rues. Quelques citoyens notables, irrités de ces dires de mauvais augure, saisirent l’homme, le maltraitèrent et le rouèrent de coups. Mais lui, sans un mot de défense, sans une prière adressée à ceux qui le frappaient, continuait à jeter les mêmes cris qu’auparavant. Les magistrats, croyant avec raison, que l’agitation de cet homme avait quelque chose de surnaturel, le menèrent devant le gouverneur romain. Là, déchiré à coups de fouet jusqu’aux os, il ne supplia pas, il ne pleura pas mais il répondait à chaque coup, en donnant à sa voix l’inflexion la plus lamentable qu’il pouvait : « Malheur à Jérusalem ! »

    Le gouverneur Albinus lui demanda qui il était, d’où il venait, pourquoi il prononçait ces paroles ; l’homme ne fit absolument aucune réponse, mais il ne cessa pas de réitérer cette lamentation sur la ville, tant qu’enfin Albinus, le jugeant fou, le mit en liberté. Jusqu’au début de la guerre, il n’entretint de rapport avec aucun de ses concitoyens ; on ne le vit jamais parler à aucun d’eux, mais tous les jours, comme une prière apprise, il répétait sa plainte : « Malheur à Jérusalem ! »

    Il ne maudissait pas ceux qui le frappaient quotidiennement, il ne remerciait pas ceux qui lui donnaient quelque nourriture. Sa seule réponse à tous était ce présage funeste. C’était surtout lors des fêtes qu’il criait ainsi. Durant sept ans et cinq mois, il persévéra dans son dire, et sa voix n’éprouvait ni faiblesse ni fatigue ; enfin, pendant le siège, voyant se vérifier son présage, il se tut. Car tandis que, faisant le tour du rempart, il criait d’une voix aiguë : « Malheur encore à la ville, au peuple et au Temple », il ajouta à la fin : « Malheur à moi-même », et aussitôt une pierre lancée par un onagre le frappa à mort. Il rendit l’âme en répétant les mêmes mots.

    Tacite Histoires livre 5 chapitre XIII Il était survenu des prodiges dont cette nation, aussi ennemie de tout culte religieux qu’adonnée aux superstitions, aurait craint de conjurer la menace par des vœux ou des victimes expiatoires. 

    On vit des bataillons s’entrechoquer dans les airs, des armes étinceler, et des feux, s’échappant des nues, éclairer soudainement le temple. Les portes du sanctuaire s’ouvrirent d’elles-mêmes, et une voix plus forte que la voix humaine annonça que les dieux en sortaient ; en même temps fut entendu un grand mouvement de départ.

    Eusèbe Histoire Ecclésiaistique Livre 3, Chap.8, Sections 1-6 « Les séducteurs égaraient alors ce malheureux peuple et le trompaient au sujet de Dieu, en sorte qu’il ne donnait point d’attention, et ne croyait pas aux présages qui annonçaient si clairement la dévastation future. Ainsi que des gens étourdis par la foudre qui n’ont plus l’usage de leurs yeux ni de leur esprit, les Juifs n’attachaient aucune importance aux avertissements de Dieu. Ce fut d’abord un astre qui parut sur la ville sous la forme d’un glaive et une comète qui resta suspendue pendant une année. Ensuite, avant la défection et le soulèvement pour la guerre, au moment où le peuple était réuni pour la fête des azymes, le huit du mois Xantique, à la neuvième heure de la nuit, une telle lumière environna l’autel et le temple qu’on crut être en plein jour, et cela dura une demi-heure : les ignorants y virent un bon présage, mais les scribes comprirent tout de suite avant que les choses ne fussent arrivées.

    Au temps de la même fête, une vache, amenée par le grand prêtre pour le sacrifice, mit bas un agneau au milieu du temple.

    La porte orientale de l’intérieur du temple était d’airain et si lourde que vingt hommes avaient grand’ peine à la fermer le soir ; elle était close par des verrous en fer et munie de targettes très profondes : à la sixième heure de la nuit, on la-vit s’ouvrir d’elle- même. Peu de jours après la fête, le vingt et unième du mois Artémisios, on vit le spectre d’un démon plus grand qu’on ne peut croire.

    Ce que je dois raconter semblerait fabuleux, si le récit n’en était pris de témoins oculaires et si les maux qui suivirent n’avaient été dignes des présages eux-mêmes.

    Avant le coucher du soleil, on aperçut sur tout le pays des chars aériens et des phalanges armées qui s’élançaient des nuages et entouraient les villes.

    Lors de la fête appelée Pentecôte, pendant la nuit, les prêtres venus au temple selon leur coutume, pour leur office, déclarèrent avoir entendu d’abord des bruits de pas, un tumulte, puis des voix nombreuses qui disaient : « Sortons d’ici. 

    Le Sepher Yosippon (histoire du peuple juif pendant la période du Second Temple (v ie siècle av.JC- 70 apr.JC), composée en hébreu par un Juif d’Italie du sud vers le milieu du x e siècle.) (A Medieval History of Ancient Israel) translated from the Hebrew by Steven B. Bowman. Excerpts from Chapter 87 « Burning of the Temple »

    Durant une année, avant que Vespasien vienne, on a vu une grande étoile brillant comme des épées non dégainées sur le Temple. Et à cette époque quand on a vu le signe c’était la fête de Paque et pendant cette nuit entière le Temple a été éclairé et illuminé durant toute la nuit comme la lumière du jour et ça été ainsi tous les sept jours de la Pâque juive.

    Tous les sages de Jérusalem savaient que c’était un signe malveillant

    mais le reste du peuple ignorant a dit que c’était un signe bienveillant. …Après qu’on est vu ceci on a vu haut au-dessus du Saint des Saints durant la nuit entière le contour du VISAGE D’UN HOMME tel que sa beauté n’avait jamais été vu dans tout le pays et son apparence était TOUT À FAIT STUPÉFIANTE.

    De plus, des chars de feu et des cavaliers ont été vu à cette époque, une grande force volant à travers le ciel près de la terre venant contre Jérusalem et tout la terre de Judas, tous des chevaux de feu et des cavaliers de feu.

    Quand la fête de Shavu’oth est venu à cette époque, pendant la nuit les prêtres ont entendus dans le Temple quelque chose comme le son d’hommes allant et le son d’hommes marchant sans le temple puis une puissante et terrible voix a été entendue disant: « allons et quittons cette Maison ».

    A noter, pour ce qui concerne les armées célestes vues de la ville, nous avons un précédent : 2 Maccabées 5 :1-4 Vers ce temps-là Antiochus préparait sa seconde attaque contre l’Egypte. Il arriva que dans toute la ville, pendant près de 40 jours, apparurent, courant dans les airs, des cavaliers, vêtus de robes brodées d’or, des troupes armées disposées en cohortes, des escadrons de cavalerie rangés en ordre de bataille, des attaques et des charges conduites de part et d’autre, des boucliers agités, des forêts de piques, des épées tirées hors du fourreau, des traits volants, un éclat fulgurant d’armures d’or et des cuirasses de tout modèle.

    des SIGNES

    Aussi tous priaient pour que cette apparition fût de bon augure.

    Historiquement, ce ne fut pas d’un bon augure, cette apparition présageait un massacre à Jérusalem et un pillage du temple par Antiochus IV Epiphane.

    Des faits étranges survenus à Jérusalem entre 30 et 70 apr.JC

    - Pendant 40 ans, durant Yom Kippour, le sort pour L’éternel n’est plus monté.

    - Pendant 40 ans, durant Yom Kippour, le ruban rouge n’est plus devenu blanc.

    – Pendant 40 ans durant le service quotidien, la lumière principale de la ménorah s’éteignait

    - Pendant 40 ans le sanhédrin n’a plus siégé dans le temple

    - Des faux prophètes et un peuple insensible et endurcit

    - Un astre brillant semblable à une épée au-dessus de Jérusalem durant une année

    - Une lumière en pleine nuit qui éclaire l’autel et le temple comme en plein jour durant ½ heure.

    - Une vache qui met bas un agneau dans la cour du temple.

    - La porte du temple intérieur qui s’ouvre d’elle-même.

    - Une apparition surhumaie, le spectre d’un démon plus grand qu’on ne puit croire.

    - Apparition haut au-dessus du Saint des Saints durant toute la nuit le contour du visage d’un homme, d’une beauté jamais été vu dans tout le pays et d’une apparence stupéfiante.

    - Des armées célestes dans les airs, avec des chevaux de feu, des cavaliers de feu, des chars de feu

    - Voix audible dans le temple disant « nous partons d’ici ».

    - Jésus fils d’Anania qui crie pendant 7 ans et 5 mois la même prophétie de malheur sur Jérusalem, le temple et les habitants de la ville.

    Le fait que ces phénomènes hors du commun aient été consignés par écrit par les autorités religieuses juives constitue une preuve évidente de l’authenticité des faits rapportés.

    En effet, qu’elle aurait été l’intérêt pour les juifs de l’époque

    de rapporter ces événements étranges

    qui auraient pu indiquer que Jésus était bien le Messie annoncé par l’Écriture.

    des SIGNES

    Tous ces signes, qui ne sont pas gratuits, signalent de manière très claire des choses spécifiques.

    https://www.bible-center.ru/fr/bibletext/jerusalem_fr/2ma/5

    références 

    2 Maccabées, Chapitre 5

    1  Vers ce temps-là Antiochus préparait sa seconde attaque contre l'Egypte.

    Il arriva que dans toute la ville, pendant près de 40 jours, apparurent, courant dans les airs, des cavaliers, vêtus de robes brodées d'or, des troupes armées disposées en cohortes,

    des escadrons de cavalerie rangés en ordre de bataille, des attaques et des charges conduites de part et d'autre, des boucliers agités, des forêts de piques, des épées tirées hors du fourreau, des traits volants, un éclat fulgurant d'armures d'or et des cuirasses de tout modèle.

    Aussi tous priaient pour que cette apparition fût de bon augure.

    5  Or, sur un faux bruit de la mort d'Antiochus, Jason, ne prenant avec lui pas moins d'un millier d'hommes, dirigea à l'improviste une attaque contre la ville. La muraille forcée et la ville finalement prise, Ménélas se réfugia dans l'acropole.

    Jason se livra sans pitié au massacre de ses propres concitoyens, sans penser qu'un succès remporté sur ses frères de race était le plus grand des insuccès, croyant remporter des trophées sur des ennemis et non sur des compatriotes.

    7  D'un côté, il ne réussit pas à s'emparer du pouvoir et, de l'autre, ses machinations ayant tourné à sa honte, il s'en alla chercher de nouveau un refuge en Ammanitide.

    8  Sa conduite perverse trouva donc un terme : enfermé chez Arétas, tyran des Arabes, puis s'enfuyant de sa ville, poursuivi par tous, détesté parce qu'il reniait les lois, exécré comme le bourreau de sa patrie et de ses concitoyens, il échoua en Egypte.

    9  Lui qui avait banni un grand nombre de personnes de leur patrie, il périt sur la terre étrangère, étant parti pour Lacédémone dans l'espoir d'y trouver un refuge en considération d'une commune origine.

    10  Lui qui avait jeté tant d'hommes sur le sol sans sépulture, nul ne le pleura et ne lui rendit les derniers devoirs; il n'eut aucune place dans le tombeau de ses pères.

    11  Lorsque ces faits furent arrivés à la connaissance du roi, celui-ci en conclut que la Judée faisait défection. Il quitta donc l'Egypte, furieux comme une bête sauvage, et prit la ville à main armée.

    12  Il ordonna ensuite aux soldats d'abattre sans pitié ceux qu'ils rencontreraient et d'égorger ceux qui monteraient dans leurs maisons.

    13  On extermina jeunes et vieux, on supprima femmes et enfants, on égorgea jeunes filles et nourrissons.

    14  Il y eut 80.000 victimes en ces trois jours, dont 40.000 tombèrent sous les coups et autant furent vendus comme esclaves.

    15  Non content de cela, il osa pénétrer dans le sanctuaire le plus saint de toute la terre, avec pour guide Ménélas, qui en était venu à trahir les lois et la patrie.

    16  Il prit de ses mains impures les vases sacrés et rafla de ses mains profanes les offrandes que les autres rois y avaient déposées pour l'accroissement, la gloire et la dignité du saint lieu.

    17  Antiochus s'exaltait en pensée, ne voyant pas que le Seigneur était irrité pour peu de temps à cause des péchés des habitants de la ville d'où venait cette indifférence envers le lieu saint.

    18  En tout cas, s'ils n'avaient pas été plongés dans une multitude de péchés, lui aussi, à l'instar d'Héliodore envoyé par le roi Séleucus pour inspecter le trésor, il aurait été, dès son arrivée, flagellé et détourné de sa témérité.

    19  Mais le Seigneur a choisi non pas le peuple à cause du lieu saint, mais le lieu à cause du peuple.

    20  C'est pourquoi le lieu lui-même, après avoir participé aux malheurs du peuple, a eu part ensuite aux bienfaits; délaissé au moment de la colère du Tout-Puissant, il a été de nouveau, en vertu de sa réconciliation avec le grand Souverain, restauré dans toute sa gloire.

    21  Antiochus, après avoir enlevé au Temple 1.800 talents, se hâta de retourner à Antioche, croyant, dans sa superbe, à cause de l'exaltation de son cœur, rendre navigable la terre ferme et rendre la mer praticable à la marche.

    22  Mais il laissa des préposés pour faire du mal à la nation; à Jérusalem, Philippe, Phrygien de race, de caractère plus barbare encore que celui qui l'avait institué;

    23  sur le mont Garizim, Andronique; et en plus de ceux-ci, Ménélas qui plus méchamment que les autres dominait sur ses concitoyens. Nourrissant à l'égard des Juifs une hostilité foncière,

    24  le roi envoya le mysarque Apollonius à la tête d'une armée, soit 22.000 hommes, avec ordre d'égorger tous ceux qui étaient dans la force de l'âge et de vendre les femmes et les enfants.

    25  Arrivé en conséquence à Jérusalem, et jouant le personnage pacifique, il attendit jusqu'au saint jour du sabbat où, profitant du repos des Juifs, il commanda à ses subordonnés une prise d'armes.

    26  Tous ceux qui étaient sortis pour assister au spectacle, il les fit massacrer et, envahissant la ville avec ses soldats en armes, il mit à mort une multitude de gens.

     

    27  Or Judas, appelé aussi Maccabée, se trouvant avec une dizaine d'autres, se retira dans le désert, vivant à la manière des bêtes sauvages sur les montagnes avec ses compagnons, ne mangeant jamais que des herbes pour ne pas contracter de souillures.

     

     

     

     


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  •  

    Genèse 22

    11 Alors l’ange de l’Eternel l’appela des cieux

    Et dit : Abraham ! Abraham !

    Et il dit voici MOI

     

    jésus était (existait) avant abraham

    TOI seigneur à l'origine (en tête / en premier) tu à créer ...

    Hebrews 1:2  .. il a aussi créé le monde

    Hebrews 2

    12 lorsqu'il dit J'annoncerai ton nom Ab'rah-am à mes frères

    16 .. mais c'est à la postérité d'Abrah-am

     

    Hebrews 6

    ne pouvant jurer par un plus grand que lui

    il jura par lui-même

    et dit Certainement je te bénirai et je multiplierai ta postérité

     

    Jean 8

    58  il dit à eux léhown Jésus (yeshua) 

    En vérité en vérité je dis moi à vous lékown avant que de pas pas être Ab'rah-am moi je étais

    John 8

    58 ܐܳܡܰܪ ܠܗܽܘܢ ܝܶܫܽܘܥ ܐܰܡܺܝܢ ܐܰܡܺܝܢ ܐܳܡܰܪ ܐ݈ܢܳܐ ܠܟ݂ܽܘܢ ܕ݁ܥܰܕ݂ܠܳܐ ܢܶܗܘܶܐ ܐܰܒ݂ܪܳܗܳܡ ܐܶܢܳܐ ܐܺܝܬ݂ܰܝ

    58 āmar léhown yešhūaᶜ ᵓamyn ᵓamyn ᵓāmar anā lékown d'ad'lā né-hawa ᵓaḇrāhām ᵓanā ayt'ay  j'était 

     

    Abraham ! Abraham !

     

    compte les étoiles du ciel ! 


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  • le Seigneur JESUS EST LE MÊME

    dans tous les âges

     

    * Genèse 22

    11 Alors l’ange de l’Eternel l’appela des cieux

    Et dit : Abraham ! Abraham !

    Et il dit voici MOI

     

    * Exode 3

    4 Et L’Eternel vit qu’il se détournait pour voir

    Et Dieu l’appela du milieu du buisson

    Et dit : Moïse ! Moïse !

    Et il répondit : voici MOI

     

    * Samuel 3

    10 L’Eternel vint et se présenta

    Et il appela comme les autres fois

    Samuel, Samuel !

    Et Samuel répondit Parle car ton serviteur écoute.

     

    Actes 9:4

    Et Il tomba par terre

    Et il entendit une voix qui lui disait

    Saul, Saul pourquoi me persécutes-tu ?

    6 Et lui tout tremblant et tout effrayé dit

    Seigneur que veux-tu que je fasse?

    Et le Seigneur lui dit: lève-toi 

    Et entre dans la ville

    Et là on te dira ce que tu dois faire

    10 Or il y avait à Damas un disciple nommé Ananias

    Le Seigneur lui dit dans une vision

    Ananias Il dit Seigneur voici MOI

     

     

     Jean 1:51

    Et il lui dit am-yn am-yn 

    Et il lui dit En vérité en vérité, vous verrez désormais le ciel ouvert et les anges de Dieu monter et descendre sur le Fils de l’homme.

    51 -āmar lēh ᵓamyn ᵓamyn ᵓāmar anā lékown d'men hāšhā teHazown šhamayā d'paṯyHayan wa malalaḵaw d'ălāhā kad sālaqayan wa nāhata'yan léwāṯ bérēh d'nāšhā 

     

    51 ܐܳܡܰܪ ܠܶܗ ܐܰܡܺܝܢ ܐܰܡܺܝܢ ܐܳܡܰܪ ܐ݈ܢܳܐ ܠܟ݂ܽܘܢ ܕ݁ܡܶܢ ܗܳܫܳܐ ܬ݁ܶܚܙܽܘܢ ܫܡܰܝܳܐ ܕ݁ܰܦ݂ܬ݂ܺܝܚܺܝܢ ܘ ܡܰܠܰܐܟ݂ܰܘܗ݈ܝ ܕ݁ܰܐܠܳܗܳܐ ܟ݁ܰܕ݂ ܣܳܠܩܺܝܢ ܘ ܢܳܚܬ݁ܺܝܢ ܠܘܳܬ݂ ܒ݁ܪܶܗ ܕ݁ܐ݈ܢܳܫܳܐ 

    Jean 3

    3  Jésus lui répondit am-yn am-yn  en vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau

    il ne peut voir le royaume malakuwtéh d'alaha 

    3 ܥܢܳܐ ܝܶܫܽܘܥ ܘܶ ܐܡܰܪ ܠܶܗ ܐܰܡܺܝܢ ܐܰܡܺܝܢ ܐܳܡܰܪ ܐ݈ܢܳܐ ܠܳܟ݂ ܕ݁ܶܐܢ ܐ݈ܢܳܫ ܠܳܐ ܡܶܬ݂ܺܝܠܶܕ݂ ܡܶܢ ܕ݁ܪܺܝܫ ܠܳܐ ܡܶܫܟ݁ܰܚ ܕ݁ܢܶܚܙܶܐ ܡܰܠܟ݁ܽܘܬ݂ܶܗ ܕ݁ܰܐܠܳܗܳܐ 

    Jean 3

    5  Jésus répondit :am-yn am-yn En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d’eau maya et d’Esprit d'RuwHa

    il ne peut entrer dans le royaume malakuwta de Dieu

    5 ܥܢܳܐ ܝܶܫܽܘܥ ܘܶ ܐܡܰܪ ܠܶܗ ܐܰܡܺܝܢ ܐܰܡܺܝܢ ܐܳܡܰܪ ܐ݈ܢܳܐ ܠܳܟ݂ ܕ݁ܶܐܢ ܐ݈ܢܳܫ ܠܳܐ ܡܶܬ݂ܺܝܠܶܕ݂ ܡܶܢ ܡܰܝܳܐ ܘ ܪܽܘܚܳܐ ܠܳܐ ܡܶܫܟ݁ܰܚ ܕ݁ܢܶܥܽܘܠ ܠ'ܡܰܠܟ݁ܽܘܬ݂ܳܐ ܕ݁ܰܐܠܳܗܳܐ

    Jean 3

    11 am-yn am-yn En vérité en vérité je te le dis nous disons ce que nous savons

    Et nous rendons témoignage de ce que nous avons vu

    Et vous ne recevez pas notre témoignage.

     

    Jean 5:19 Jésus reprit donc la parole

    Et leur dit :am-yn am-yn En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu’il voit faire au Père et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement.

    Jean 5:24 am-yn am-yn En vérité, en vérité, je vous le dis celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie.

    Jean 5:25 am-yn am-yn En vérité, en vérité, je vous le dis, l’heure vient

    Et elle est déjà venue, où les morts entendront la voix du Fils de Dieu ; et ceux qui l’auront entendue vivront.

    Jean 6:26  Jésus leur répondit :am-yn am-yn En vérité, en vérité, je vous le dis, vous me cherchez, non parce que vous avez vu des miracles, mais parce que vous avez mangé des pains et que vous avez été rassasiés.

    Jean 6:32  Jésus leur dit :am-yn am-yn En vérité, en vérité, je vous le dis, Moïse ne vous a pas donné le pain du ciel, mais mon Père vous donne le vrai pain du ciel ;

    Jean 6:47 am-yn am-yn En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi a la vie éternelle.

    Jean 6:53  Jésus leur dit :am-yn am-yn En vérité en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme

    Et si vous ne buvez son sang vous n’avez point la vie en vous-mêmes.

    Jean 8:34 am-yn am-yn En vérité, en vérité, je vous le dis, leur répliqua Jésus, quiconque se livre au péché est esclave du péché.

    Jean 8:51 am-yn am-yn En vérité, en vérité je vous le dis, si quelqu’un garde ma parole il ne verra jamais la mort.

    Jean 8:58  Jésus leur dit : am-yn am-yn En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fût, je suis. j'étais 

    Jean 10:1 am-yn am-yn  En vérité, en vérité, je vous le dis celui qui n’entre pas par la porte dans la bergerie mais qui y monte par ailleurs, est un voleur et un brigand.

    Jean 10:7  Jésus leur dit encore :am-yn am-yn  En vérité en vérité, je vous le dis MOI je suis la porte des brebis.

    Jean 12:24 am-yn am-yn En vérité, en vérité, je vous le dis si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul ; mais, s’il meurt, il porte beaucoup de fruit.

    Jean 13:16 am-yn am-yn En vérité, en vérité je vous le dis, le serviteur n’est pas plus grand que son seigneurni l’apôtre plus grand que celui qui l’a envoyé.

    Jean 13:20 am-yn am-yn  En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui reçoit celui que j’aurai envoyé me reçoit, et celui qui me reçoit, reçoit celui qui m’a envoyé.

    Jean 13:21  Ayant ainsi parlé, Jésus fut troublé en son esprit, et il dit expressément :am-yn am-yn En vérité, en vérité, je vous le dis, l’un de vous me livrera.

    Jean 13:38  Jésus répondit : Tu donneras ta vie pour moi ! am-yn am-yn  En vérité, en vérité, je te le dis le coq ne chantera pas que tu ne m’aies renié trois fois.

    Jean 14:12 am-yn am-yn En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais

    Et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père 

    Jean 16:20 am-yn am-yn En vérité, en vérité, je vous le dis, vous pleurerez

    Et vous vous lamenterez

    Et le monde se réjouira: vous serez dans la tristesse mais votre tristesse se changera en joie.

    Jean 16:23  En ce jour-là, vous ne m’interrogerez plus sur rien.am-yn am-yn En vérité, en vérité je vous le dis, ce que vous demanderez au Père, il vous le donnera en mon nom.

    Jean 21:18 am-yn am-yn En vérité, en vérité, je te le dis, quand tu étais plus jeune tu te ceignais toi-même

    Et tu allais où tu voulais mais quand tu seras vieux tu étendras tes mains

    Et un autre te ceindra

    Et te mènera où tu ne voudras pas.

     


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    Mythe muthos voilà un mot de la Bible à un double titre

    ce mot apparaît bien dans la Bible plutôt rarement et toujours de façon péjorative

    D'autre part ce terme de mythe est souvent appliqué aujourd'hui à certains de ses épisodes et ceci avec des connotations très opposées !

    le mot muthos “mythe” signifie simplement une “parole exprimée”.

    On le trouve d'abord chez Homère et chez Hésiode dans ce sens de  “parole", "discours", “discours public”.

    Chez un autre auteur grec Eschyle le mot muthos prend le sens de “récit" et c'est là sont sens le plus courant  le mythe est d'abord un récit.

    Chez Sophocle, le mot mythe va renvoyer à l'idée de “dialogue”, de “conversation”, ... et parfois de “rumeur”...

    Bref le mythe c'est “ce qu'on raconte”.

    “Ce qu'on raconte”, même en français, on entend bien que cette expression “ce qu'on raconte”, peut soit avoir le sens objectif de “récit raconté”, soit, le plus souvent un sens péjoratif : «Ah ! Ça, c'est ce qu'on raconte ...»

    Sous-entendu, «C'est des histoires tout ça !»

    Là encore dans un sens péjoratif d'histoires non fondées, de racontars ...

    Si bien que l'historien grec Hérodote va utiliser le mot muthos , “mythe”, pour désigner un “récit non historique”

    De même chez le philosophe Platon, où le mot muthos renvoie à l'idée de “récit fabuleux”, de “conte”

    exemple dans le Timée de Platon qui met en scène un dialogue entre Socrate et Cristias, et où il est question 

    non pas une fiction (muthos) composée,

    mais une histoire (logos) vraie...” 

    Le mythe est donc ici opposé à l'histoire vraie.

     

    Venons-en à la Bible...

    Dans la Bible grecque

    On ne trouve évidemment pas le mot muthos dans la Bible hébraïque

    l'Ancien Testament des chrétiens, puisque muthos est un mot grec.

    En hébreu le mot qui serait le plus proche est le mot MaShaL 

    qui désigne une histoire imagée, une parabole, une fable 

    Au contraire le MaShaL est respecté et c'est un mode de communication tenu en haute estime au sein du judaïsme.

    En fait, le mot muthos fait son apparition dans la Bible à deux reprises dans des livres deutérocanoniques.

    Ces livres de la Bible Grecque dite des Septante qui viennent s'ajouter à la traduction grecque de la Bible hébraïque entre le 3ème et le 1er siècle avant JC.

    —Et d'emblée, c'est dans un sens déprécié que le mot muthos y apparaît :

    —Tout d'abord dans le livre du Siracide au chapitre 20,19 (versets 18 à 23) dans une série de sentences sur l'usage avisé de la langue

    On peut lire :

    L'homme sans manières est comme une histoire hors de propos (muthos)

    qui se trouve continuellement dans la bouche des imbéciles

    Dans le livre de Baruch 3,23 (versets 22 et 23) on retrouve se mot muthos composé avec le mot logos, offrant ainsi la seule apparition biblique de ce qui donnera notre mot “mythologie” : muthologos.

    C'est dans un poème sur la Sagesse inaccessible.

    même les fils d'Agar qui recherchaient le savoir sur la terre,

    les marchands de Merrân et de Témân,

    les conteurs de fables (muthologoi)

    et les chercheurs de savoir,

    ils n'ont pas connu le chemin de la Sagesse

    et ne se sont pas souvenus de ses sentiers.”

    Autrement dit, ce n'est pas dans les fables des conteurs, ni dans les mythologies environnantes que l'on peut trouver la vraie Sagesse.

    Il va de soi que pour l'auteur du livre de Baruch les histoires racontées par la Bible Hébraïque ne sont en aucune façon des fables ou des mythes de ce genre.

    Dans le Nouveau Testament

    C'est dans ce sens toujours négatif “d'affabulations” que le mot est employé 5 fois seulement, dans le Nouveau Testament.

    Et il se trouve que c'est à chaque fois dans des écrits très tardifs, les lettres pastorales et la 2ème épître de Pierre.

     

    Lisons la 1ère lettre à Timothée chapitre 1,4 (versets 3 à 7)

    Selon ce que je t'ai recommandé

    à mon départ pour la Macédoine,

    demeure à Éphèse pour enjoindre à certains

    de ne pas enseigner une autre doctrine

    4 et de ne pas s'attacher à des légendes (muthos)

    et à des généalogies sans fin 

    6 Pour s'être écartés de cette ligne,

    certains se sont égarés en un bavardage creux

    7 ils prétendent être docteurs de la loi,

    alors qu'ils ne savent ni ce qu'ils disent,

    ni ce qu'ils affirment si fortement...”

    Le ton est donné, l'auteur invite ses destinataires à ne pas perdre leur temps avec des légendes, muthos, qui ne sont que des “bavardages creux”, des prétendus savoirs.

    Plus loin, dans la même lettre 1 Timothée 4,7 (versets 1 à 7) l'auteur poursuit :

    6 Expose tout cela aux frères

    tu seras ainsi un bon diacre du Christ Jésus,

    nourri des paroles de la foi et de la belle doctrine

    que tu as suivie avec empressement.

    7 Quant aux fables (muthos) impies,

    commérages de vieille femme,

    rejette-les. Exerce-toi plutôt à la piété.”

    Il semble que l'auteur des lettres appelées “épîtres pastorales” (Timothée 1 et 2, et à Tite) aient quelques soucis avec des fidèles qui tendent l'oreille vers les mythes non judéo-chrétiens de la culture gréco-latine.

    Il semble même selon lui que cela devait arriver

    Ainsi, dans sa 2 em lettre à Timothée 4,4 (versets 1 à 5)

    il écrit en effet  :

    3  il Viendra un temps,

    certains ne supporteront plus la saine doctrine,

    mais au gré de leurs propres désirs

    et l'oreille leur démangeant,

    s'entoureront de quantité de maîtres.

    4 Ils détourneront leurs oreilles de la vérité

    vers les fables (muthos) ils se retourneront...”

    A Tite 1,14 (lire les versets 10 à 16) le même auteur écrit dans le même sens en lui recommandant la plus grande fermeté, et même la censure s'il le faut, contre ceux qui s'intéressent aux mythes non bibliques 

    10   Nombreux sont en effet les insoumis,

    vains discoureurs et trompeurs, surtout parmi les circoncis.…

    C'est pourquoi reprends-les sévèrement,

    pour qu'ils aient une foi saine.

    14 Qu'ils ne s'attachent pas aux fables (muthos) juives

    et aux préceptes d'hommes qui se détournent de la vérité.”

    Ici, ce sont mêmes certaines légendes juives qui sont mises dans le même sac que les mythes païens.

    Il est probable que des mythes gnostiques soient aussi visés comme le laisse à penser la 2ème lettre de Pierre 1,16 (versets 12 à 16 ...) :

    “… En effet, ce n'est pas en nous mettant à la traîne de fables

    sophistiquées (muthos) que nous vous avons fait connaître

    la venue puissante de notre Seigneur Jésus Christ …”

    Des fables, littéralement, des “mythes sophistiqués”

    L'auteur désigne sans doute par cette expression les élaborations symboliques très recherchées de la gnose.

    De grands récits mythologiques complexes dont la connaissance était sensée apporter le salut.

    Avec ce dernier texte, nous avons lu toutes les apparitions du mot muthos dans la Bible

    Et il faut bien reconnaître que le bilan est sans appel pour la notion de mythe !

    C'est d'ailleurs dans ce sens très négatif que le mot mythe est souvent utilisé en français :

    Parler encore du “mythe du fer dans les épinards”

    c'est signaler que l'idée qu'il y ait plus de fer dans les épinards que dans d'autres légumes est tout simplement fausse

    De même le mythomane est quelqu'un qui ne cesse d'affabuler à son propre sujet

    Dans ce sens le mythe est proche du mensonge.

    La notion de mythe dans les sciences humaines

    A l'opposé, dans les milieux des sciences humaines, les récits mythologiques, les mythes primitifs, antiques ou contemporains sont considérés comme des objets d'études essentiels pour la compréhension des cultures qui les ont produits.

    Comment comprendre cette tension entre une compréhension très négative du mythe, et une compréhension valorisant le mythe ?

    C'est que la notion de mythe est victime d'un grand malentendu :

    En effet, la fonction des mythes dans la littérature antique, dans la Bible, comme dans les toutes les civilisations qui produisent des mythes, c'est de réfléchir sous la forme d'un récit.

    Raconter une histoire pour évoquer les grandes questions qui traversent l'humanité :

    La question de la mort et du mal, la question du rapport au frère ou à l'étranger, la question du rapport en hommes et femmes, entre humains et animaux, etc ...

    A toutes ces questions fondamentales, et à bien d'autres, les mythes tentent d'apporter une réponse sous la forme d'un récit, “une histoire à penser”.

    Et à ce titre, beaucoup d'épisodes bibliques du Premier comme du Nouveau Testament se présentent avec une forte dimension mythique.

    En entendant ou en lisant une telle affirmation, beaucoup de chrétiens réagissent fortement. Car ils entendent que cela signifie que les récits bibliques sont des fables sans vérité, des histoires sans réalité,  ... Et c'est malheureusement dans ce sens que des non-croyants utilisent parfois ce terme à propos de la Bible.

    Mais c'est précisément là que le malentendu commence, chez les uns, comme chez les autres.

    Que ce soient ceux qui veulent dénigrer les récits bibliques en les qualifiant de mythologiques, ou que ce soit ceux qui veulent défendre à tout prix la Bible en refusant d'y lire parfois des mythes, les uns et les autres se méprennent sur ce qu'est un mythe.

    —En effet, le mythe ne requiert pas une lecture rationalisante, ni une lecture objectivante, qui supposerait que les choses se sont passées exactement comme le récit mythique les racontent.

    Le mythe n'est pas à lire comme une mythologie explicative de l'Univers à un âge pré-scientifique.

    Le mythe est au contraire à lire comme l'expression de questions existentielles communes à tous les humains, de toutes les époques, et de toutes les cultures.

    Le mythe travaille des questions de vie essentielles et profondes.

    En ce sens, à l'inverse de la compréhension populaire de ce mot,

    Il n'y a parfois rien de plus vrai qu'un mythe !

     

     

     

    1 Timothée 1:4 ...  et de ne pas s’attacher à des fables et à des généalogies sans fin 

    qui produisent des discussions (des divisions) 

    plutôt qu’elles n’avancent l’œuvre de Dieu dans la foi.

     

    1 Timothée 4:7  Repousse les contes profanes et absurdes

    Exerce-toi à la piété

     

    1 Timothée 6:20 O Timothée garde le dépôt (l'onction) 

    en évitant les discours vains et profanes

    et les disputes de la fausse science

     

    1 Timothée 6:11 Pour toi homme de Dieu fuis ces choses

    et recherche la justice, la piété, la foi, la charité, la patience, la douceur.

     

    Tite 1:14  et qu’ils ne s’attachent pas à des fables judaïques

    et à des commandements d’hommes

    qui se détournent de la vérité.

     Tite 3:9 Mais évite les discussions folles, les généalogies, les querelles, les disputes relatives à la loi 

    car elles sont inutiles et vaines.  

     

    des fables judaïques !

    2 Pierre 1:16  Ce n’est pas en effet en suivant des fables habilement conçues

    que nous vous avons fait connaître la puissance et l’avènement

    de notre Seigneur Jésus-Christ

    mais c’est comme ayant vu sa majesté de nos propres yeux

     

     


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