• islam

     

    à propos des FAUX prophètes !

    les évangiles sont précis ! oui ? non ? 

    (Yeshuwah mashyHa nazaraya)

     

     

    ALORS suivre JESUS CHRIST ?

    ou bien suivre d'autres  prétendus prophètes  ?

    Matthieu 24

    11 beaucoup de prophètes menteurs s'établiront et TROMPERONT beaucoup

    ܘ ܣܰܓ݁ܺܝܶܐܐ ܢܒ݂ܺܝܶܐ ܕ݁ܰܓ݁ܳܠܶܐ ܢܩܽܘܡܽܘܢ ܘ ܢܰܛܥܽܘܢ ܠ'ܣܰܓ݁ܺܝܶܐܐ

     وسَجِيِاا نبِيِا دَجَلِا نقُومُون و نَطعُون ل'سَجِيِاا

    (ATTENTION) Beware of false prophets

    Matthieu 24

    24 - Car il s'élèvera des messies menteurs de faux Christs et des prophètes menteurs  de faux prophètes   *

    faux

    (ATTENTION !)  And many false prophets

    Matthieu 24:24 Car il s’élèvera de faux Christs (MashyHa) et de faux prophètes ; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de décevoir, s’il était possible, même les élus.

    For there shall arise false Christs (MashyHa) and false prophets and shall show great signs and wonders, insomuch that, if it were possible, they shall deceive the very elect.

    Marc 13:22 Car il s’élèvera de faux OINTS (faux messies faux Christs) et de faux prophètes..

    for false (MashyHa) and false prophets shall rise,

    qu'a dit l'apôtre SIMON Pierre ? 

    2 Peter 2:1 But there were false prophets also among the people, even as there shall be

    (Imams, Rabbins, faux guides)  (Imams, Rabbis, false teachers)

    qu'a dit l'apôtre Paul à propos d'un ange du ciel ?

    alors ce serait l'ange Gabriel qui à parler à Muhammed ?

    would it be the angel Gabriel who instructed Muhammed ?

    that's not true

    it is a demon lie that appeared to Muhammad

    Galatiens 1:8 Mais quand nous-mêmes (les apôtres) 

    quand un ange du ciel annoncerait un autre Evangile 

    (pas l'ange Gabri'el, pas Rapha'el, pas Mika'el)

    que celui que nous (les apôtres) avons prêché

    qu’il soit anathème > curse; cursed thing; excommunication, anathema;

    d'où vient le coran ? du CIEL ou des HOMMES ?

    ou bien des paroles d'hommes sans l'onction de l'Esprit Saint ?  

    2 Corinthiens 11:14  Et cela n’est pas étonnant puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière > prends l'apparence de Gabriel 

    le coran serait une nouvelle révélation ? un autre Evangile ? NON

    Galatians 1:8  But should we, or an angel from Heaven, preach any other gospel unto you than that which we have preached to you, let him be accursed.

    1 Timothée 4:1 Mais l’Esprit dit expressément que, dans les derniers temps, quelques-uns abandonneront la foi, pour s’attacher à des esprits séducteurs (mensonge/ tromperie) et à des doctrines de démons

    quelques-uns abandonneront la foi en JESUS CHRIST

    pour se convertir à l'ISLAM 

    pour se convertir au Judaïsme

     

  • 1) Muhammad est mort empoisonné 

    La façon dont est mort Mohammed est extrêmement bien sourcée dans les hadiths.

    Tout musulman minimalement instruit sait que Mohammed est mort des suites d’une maladie.

    Et pas de n’importe quelle maladie.En effet, selon le consensus général des hadiths, c’est Mohammed lui-même qui a témoigné avec précision de l’origine exacte de la maladie qui causa sa mort.

    Raconté par Aicha : Le prophète disait à propos de cet aliment qui causa sa mort : « O Aicha ! Je sens encore la douleur causée par la nourriture que j’ai mangée à Khaibar, et à ce moment même, il me semble comme si mon aorte eut été tranchée à cause de ce poison. – Sahih Boukhari, volume 5, livre 59, n°713

    Narrated `Aisha: The Prophet (ﷺ) in his ailment in which he died, used to say, "O `Aisha! I still feel the pain caused by the food I ate at Khaibar, and at this time, I feel as if my aorta is being cut from that poison."

    وَقَالَ يُونُسُ عَنِ الزُّهْرِيِّ، قَالَ عُرْوَةُ قَالَتْ عَائِشَةُ ـ رضى الله عنها ـ كَانَ النَّبِيُّ صلى الله عليه وسلم يَقُولُ فِي مَرَضِهِ الَّذِي مَاتَ فِيهِ ‏

    "‏ يَا عَائِشَةُ مَا أَزَالُ أَجِدُ أَلَمَ الطَّعَامِ الَّذِي أَكَلْتُ بِخَيْبَرَ، فَهَذَا أَوَانُ وَجَدْتُ انْقِطَاعَ أَبْهَرِي مِنْ ذَلِكَ السَّمِّ ‏"

    Tout ceci devrait stupéfaire tout musulman honnête

    Comment se peut-il que le prophète de l’islam meure exactement du genre de mort qui, selon la Sourate 69, devait frapper Mohammed si celui-ci « avait inventé des paroles qu’il avait attribuées » à Dieu ?

    Avant de continuer, il faut préciser le contexte général : L’empoisonnement auquel fait référence Mohammed dans ce hadith, a eu lieu au cours d’un repas de noce à Khaybar, en Arabie.

    En effet, à la suite d’une bataille dans cette ville, contre la tribu des Banu Nadir, les troupes de Mohammed ont vaincu et soumis la population locale. À cette occasion, Mohammed et ses hommes capturent un grand nombre d’individus, en particulier de belles jeunes femmes qu’ils réduisent en esclavage sexuel.

    L’une d’entre elles s’appelle Safiya Bint Huyay. Parce qu’elle est très belle et qu’elle appartient à une famille importante, Mohammed s’eprend d’elle. Après avoir tué son mari, Mohammed capture donc Safiya et la prend pour femme.

    Parmi les autres femmes captives se trouve également Zaynab Bint Hurith, originaire de Khaybar elle aussi, et dont toute la famille vient d’être tuée par les troupes de Mohammed.

    Le repas dont il est question ici est donc le repas de noces que Mohammed et les siens donnent à l’occasion de ce mariage pour le moins forcé.

    Mohammed empoisonné lors d’un repas à Khaybar

    Nous avons vu que Mohammed lui-même témoigne que la maladie qui le tua fut causée par l’ingurgitation d’un poison au cours de ce repas de noces et que l’absorbtion de ce plat empoisonné, toujours selon ses propres mots, provoqua en lui un tel sentiment que ce fut « comme si mon aorte eut été tranchée ».

    Ce ne fut pas là qu’une simple impression, ni une figure de style employée par Mohammed.

    Dans de nombreux autres hadiths, Mohammed est formel : c’est bien l’ingurgitation de ce plat qui causa directement la rupture de son aorte.

    Oum Bishr dit au prophète durant la maladie de laquelle il mourut : Que penses-tu de ta maladie, apôtre d’Allah ? Je ne pense jamais à la maladie de mon fils, sinon pour me souvenir du mouton empoisonné qu’il mangea avec toi à Khaybar. Le prophète répondit : Et je ne pense pas à ma maladie, sinon à cause de cet événement. Ce fut à cette occasion que mon aorte fut coupée. – Sunan Abou Dawoud, n°4449

    Mohammed lui-même confirme donc une nouvelle fois que la cause de sa mort fût que son aorte fût littéralement coupée à la suite de cet empoisonnement. Il ne parlait donc pas en utilisant une figure de style.

    On peut même être extrêmement surpris de voir Mohammed insister à ce point sur la rupture de son aôrte.

    En effet, ni lui, ni les gens de son entourage, ne devaient ignorer que la sourate 69 annonçait précisément que les faux prophètes devaient mourir de cette maladie en particulier.

    Rappellons encore une fois que les versets de Coran 69 ; 38-47 sont extrêmement précis en ce qui concerne la façon dont Mohammed serait tué s’il « inventait des paroles qu’il aurait attribuées à Dieu ».

    On lit effectivement dans ces versets : « nous l’aurions saisi de la main droite, ensuite, Nous lui aurions tranché l’aorte ».

    Ce détail, « nous l’aurions saisi de la main droite » a une grande importance dans la mesure où Mohammed, selon son propre témoignage, a eu l’aorte tranchée en mangeant un plat empoisonné. Ou du moins, c’est en mangeant ce plat empoisonné qu’il a contracté une maladie qui causa ensuite une rupture de l’aorte.

    Or, il faut savoir que Mohammed enseignait qu’il n’était pas bon de manger de la main gauche, sous prétexte que c’était la façon de manger du diable. (quelle fable !) 

    D’après ‘Abdallah Ibn ‘Omar (qu’Allah les agrée), le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Qu’aucun d’entre vous ne mange ni ne boive avec sa main gauche car certes Chaytan (satan) mange et boit avec sa main gauche. – Sahih Muslim, n°2020  sunnah 2020 a

    Ibn 'Umar reported Allah's Messenger (ﷺ) as saying: When any one of you intends to eat (meal), he should eat with his right hand. and when he (intends) to drink he should drink with his right hand, for the Satan eats with his left hand and drinks with his left hand.

    Ibn 'Umar reported Allah's Messenger (ﷺ) as saying: When any one of you intends to eat (meal), he should eat with his right hand. and when he (intends) to drink he should drink with his right hand, for the Satan eats with his left hand and drinks with his left hand.

    On peut donc avoir la certitude que Mohammed mangeait avec la main droite lorsqu’il se tenait au repas de Khaybar.

    Un grand nombre d’autres hadiths authentiques confirment que Mohammed considérait que sa mort fut causée par le poison ingéré à Khaybar et que ce poison lui causa une rupture de l’aorte.

    Dans le hadith d’Ibn Sa’d, on découvre comment Bishr Ibn Al Bara (le fils d’Oum Bishr dont il a été question plus haut dans la Sunnan Abou Dawoud) mourrut à l’occasion de ce repas.

    Ayant pleine confiance dans les supposées vertus surnaturelles de Mohammed, Bishr Ibn Al Bara n’avait pas hésité à manger du plat en question.

    Ce n’est que parce qu’il vit Mohammed manger de ce plat qu’il se figurât qu’il n’y avait aucun risque.

    On lit son témoignage chez Ibn Sa’d : L’apôtre d’Allah prit la cuisse, qu’il porta dans sa bouche. Bishr Ibn al Bara pris une autre partie et la mit dans sa bouche. Au moment où le prophète d’Allah mangea un morceau, Bishr mangea le sien et les autres personnes en prirent aussi. C’est à ce moment que l’apôtre d’Allah dit : Retirez vos mains! Car j’ai senti dans cette cuisse que (la nourriture) est empoisonnée. Sur ceci, Bishr dit : Par celui qui t’a fait grand ! Je l’avais senti par le morceau que j’ai pris. Rien ne m’empêchait de le recracher, sauf l’idée de croire que je n’eus pas aimé la saveur de ta nourriture. Lorsque tu mangeas ce qui était dans ta bouche, je n’aimais pas le fait de sauver ma vie après la tienne et je pensais d’ailleurs que tu n’en aurais pas mangé, s’il y avait eu quelque problème. Bishr ne se leva pas de son siège, mais la couleur (de son visage) changea à la manière de celle d’un taylsan (un vêtement vert). – Hadith Ibn Sa’d, volume 2, p. 253

    Voir aussi Tabari, page 124, qui confirme encore la même tradition.

    Maintenant, voyons qui est responsable de l’empoisonnement de Mohammed.

    Qui a empoisonné le plat de Mohammed et pour quelle raison ?

    Les hadiths nous rapportent clairement et de façon concordante que la personne qui a empoisonné le plat de Mohammed fut une jeune femme du nom de Zaynab Bint Hurith.

    Comme nous l’avons mentionné précédemment, Zaynab, tout comme Safiya, est une jeune femme juive originaire de Khaybar.

    Après l’attaque de la ville par les troupes de Mohammed, les deux jeunes femmes n’ont plus de famille : tous leurs parents, en particulier les hommes, ont été tués ou réduits à l’esclavage. Zaynab a donc été capturée comme esclave.

    Peut-être à cause d’un excès de confiance ou d’un sentiment de toute-puissance, Mohamed et ses lieutenants ne semblent pas s’imaginer que cette jeune femme, Zaynab, qui vient de voir toute sa famille se faire massacrer quelques heures auparavant, puisse entretenir quelque compréhensible ressentiment à l’égard de ses bourreaux.

    C’est donc sans se méfier qu’ils acceptent la nourriture qu’elle vient leur apporter. Toutefois, comme nous allons le voir, le mobile de Zaynab n’est pas seulement motivé par un pur désir de vengeance.

    De façon presque providentielle, elle cherche également à montrer à tous que Mohammed est un faux prophète et qu’il n’est rien d’autre que le chef d’une bande de pillards.

    Tel est son témoignage dans la Sunan d’Abou Dawoud : À Khaybar une juive [Zaynab Bint Hurith] présenta à Muhammed un mouton rôti qu’elle avait empoisonné. L’apôtre de Dieu mangea, ainsi que les autres personnes. Puis il dit : retirez vos mains, car j’ai senti que cette nourriture est empoisonnée. Bishr bin al Bara bin Ma’rur al Ansari mourut (immédiatement). Ainsi, le prophète envoya chercher la juive et lui dit : « Qu’est ce qui t’a incité à faire cela ? Elle répondit : « Si tu étais un prophète, cela ne te ferait aucun mal ; mais si tu n’étais qu’un roi, je débarrasserais ainsi le peuple de toi. » L’apôtre d’Allah donna alors des ordres la concernant et elle fut tuée. Il parlait (par la suite) de la douleur de laquelle il mourut de la façon suivante  : J’ai continué de sentir la douleur de ce morceau de viande que j’ai mangé à Khaybar. C’est de là que vint que mon aôrte fut coupée. – Sunan Abou Dawoud, n°4498

    Narrated AbuHurayrah: A man was killed in the lifetime of the Prophet (ﷺ). The matter was brought to the Prophet (ﷺ). He entrusted him to the legal guardian of the slain. The slayer said: Messenger of Allah, I swear by Allah, I did not intend to kill him. The Messenger of Allah (ﷺ) said to the legal guardian: Now if he is true and you kill him, you will enter Hell-fire. So he let him go. His hands were tied with a strap. He came out pulling his strap. Hence he was called Dhu an-Nis'ah (possessor of strap).

    Nous lisons donc ici un remarquable témoignage de l’acte de Zaynab, mais aussi une nouvelle confirmation de l’origine de la maladie qui causa la mort de Mohammed.

    L’acte de Zaynab révèle providentiellement l’imposture de Mohammed

    Ainsi donc, de manière providentielle et tout à fait extraordinaire, l’acte de Zaynab a révélé aux yeux de tous, du moins à ceux qui avaient des yeux pour voir, que Mohammed était un faux prophète.

    Enivré peut-être par ses victoires, il n’a pas été capable de comprendre que le plat était empoisonné.

    De même, lui qui était coutumier des révélations soudaines et opportunes, Mohammed n’a reçu ici aucune révélation divine qui aurait pu l’avertir de la menace.

    Cet épisode de la vie de Mohammed est copieusement attesté dans les traditions les plus antiques et les plus authentiques de l’islam :

    Le Messager d’Allah fit amener Zaynab Bint Al Harith (celle qui l’empoisonna) et lui dit : « Qu’est ce qui t’a incité à faire ce que tu as fait? » Elle répondit : « Tu as fait à mon peuple ce que tu as fait. Tu as tué mon père, mon oncle et mon mari, et donc je me suis dit en moi-même ‘Si tu es un prophète, tu l’aurais su (l’empoisonnement)’ et d’autres rapportèrent : ‘Si tu n’es qu’un roi, nous nous débarrasserons de toi. – Ibn Sa’d, page 252

    «L’Apôtre d’Allah fit venir Zainab Bint al-Harith et lui dit: Qu’est-ce qui t’a conduit à faire ce que tu as fait? Elle répondit: Tu as fait à mon peuple ce que tu as fait. Tu as tué mon père, mon oncle et mon mari, alors je me suis dit: Si tu es un prophète, le morceau de viande va t’informer; et d’autres ont dit: Si tu es un roi, nous nous débarrasserons de toi.» ( Ibn Sa’d p. 252)

    Il est donc vraiment stupéfiant de voir que le Coran 69 ; 38-47 décrive avec une pareille précision la façon exacte dont est mort Mohammed.

    Mohammed piégé par le Coran

    En effet, nous voyons ici une annulation mutuelle des prétentions du Coran à être une révélation divine, ainsi qu’une annulation des prétentions prophétiques de Mohammed.

    si le Coran est la révélation divine et si Mohammed est le prophète de Dieu, comment se fait-il qu’il soit mort exactement de la façon dont meurent les faux prophètes selon le même Coran ?

    Or, si Mohammed est un faux prophète, il faut donc nécessairement conclure que le Coran lui-même est une fausse révélation.

    Dans de précédentes études, nous avons clairement pu vérifier que, toujours selon les mêmes sources islamiques, antiques et orthodoxes, Mohammed était loin d’être un mystique fiable :

    Mohammed fut trompé par de fausses révélations apportées par un démon déguisé sous l’apparence de « l’ange Gabriel ». 

    C’est le cas notoire du contexte de la révélation des « versets sataniques » de la Sourate 53 que nous allons examiner plus loin.

    À d’autres occasions, Mohammed reçut des révélations soudaines qui lui permettaient opportunément de justifier ou de débloquer une situation à l’instant T.

    C’est un peu ce qu’on observe dans l’étrange histoire du divorce de Zaynab et Zayd dans la Sourate 33 ou encore dans le contexte de la révélation des versets sur le voile islamique, dans la même sourate.

    2) Les Versets Sataniques

    Le cas des fameux versets sataniques, à savoir les versets 19 à 23 de la sourate 53, apportent la preuve définitive, à la fois contre le Coran, ainsi que contre Mohammed.

    Dans ces versets, on lit la chose suivante : Que vous en semble [des divinités], Lât et Uuzzâ ainsi que Manât, cette troisième autre ? Sera-ce à vous le garçon et à Lui la fille ? Que voilà donc un partage injuste ! Ce ne sont que des noms que vous avez inventés, vous et vos ancêtres. Allah n’a fait descendre aucune preuve à leur sujet. Ils ne suivent que la conjecture et les passions de leurs âmes, alors que la guidée leur est venue de leur Seigneur. – Coran 53 ; 19-2

    Lus ainsi, on pourrait croire que ces versets sont une condamnation ferme des divinités païennes bien connues dans l’Arabie du temps de Mohammed.

    En réalité, on consultant les sources les plus authentiques de la Tradition islamique, on apprend que ces versets ne sont pas les versets originaux du Coran. Ils sont venus en remplacer d’autres, à savoir les fameux versets sataniques.

    Tout ceci est confirmé par une chaîne de transmission tout à fait authentique, puisqu’elle remonte à Ibn Abbas, qui était l’un des plus proches fidèles de Mohammed : Ibn Abbas a dit : Un diable nommé « le blanc » (Al Abiyad) vint auprès du messager d’Allah (Mohammed) sous l’apparence de Gabriel et il plaça dans sa récitation (c’est-à-dire sa récitation du Coran) : « En effet, ces idoles sont d’illustres divinités, dont l’intercession doit être espérée » et le prophète les récita. – Al-Qurtubi, Shams al-Din, al-Jami‘ li-Ahkam al-Qur’an, Le Caire, Dar al-Kutab al-Misriyya, 1964, Volume 12, p.84

    Ainsi donc, selon Ibn Abbas, en au moins une occasion, Mohammed fut trompé par un démon qui lui affirma qu’il était bon de prier et d’espérer en l’intercession de divinités païennes.

    (in his recitation (of the revelation).) "When he spoke, the Shaytan threw (some falsehood) into his speech, but Allah abolished that which the Shaytan threw in.''

    ثُمَّ يُحْكِمُ اللَّهُ ءَايَـتِ

     

    L’authenticité de cet évènement de fait aucun doute, puisqu’il est rapporté par les plus grands biographes de Mohammed, à savoir Ibn Hisham, Ibn Ishaq, Ibn Sa’d, Al-Waqidi, Al-Tabari. (5 sources fiables)

    Pire encore, après avoir reçu cette révélation, Mohammed la récita et se prosterna, juste après avoir affirmé qu’on pouvait espérer dans l’intercession de ces idoles païennes :

    Satan lui fit répéter ces deux phrases : « ces idoles sont d’illustres divinités, dont l’intercession doit être espérée ».

    L’apôtre d’Allah les répéta, puis il récita la sourate complète et se prosterna, et les gens qui étaient là se prosternèrent avec lui. – Ibn Sa’d’s « Kitab al Tabaqat al Kabir » (Book of the Major Classes), Volume 1, parts 1 and 2, pp. 236 – 239, translated by S. Moinul Haq, published by the Pakistan Historical Society

    Il faut savoir qu’à cette occasion, se prostèrent aussi bien des partisans de Mohammed que des païens qui étaient présents et qui se rejouirent d’ailleurs de la proposition syncrétiste que Mohammed venait de leur faire, par les paroles et par les actes.

    https://quranx.com/Tafsir/Kathir/22.52

    Cependant, une fois rentré chez lui, Mohammed reçut la visite de « l’ange Gabriel ».

    On lit ainsi, toujours chez Ibn Sa’d : Il était assis dans sa maison et, au soir, Gabriel vint à lui et révisa la sourate.

    C’est alors que Gabriel lui dit : « Ai-je apporté ces deux versets ? »

    L’apôtre d’Allah dit : « J’ai attribué à Allah, ce qu’il n’a pas dit ». C’est alors qu’Allah lui révéla les versets suivants (Sourate 17, versets 73 à 75) :  Ils ont failli te détourner de ce que Nous t’avions révélé, [dans l’espoir] qu’à la place de ceci, tu inventes quelque chose d’autre et (l’imputes) à Nous. Et alors, ils t’auraient pris pour ami intime. Et si Nous ne t’avions pas raffermi, tu aurais bien failli t’incliner quelque peu vers eux. Alors, Nous t’aurions certes fait goûter le double [supplice] de la vie et le double [supplice] de la mort; et ensuite tu n’aurais pas trouvé de secoureur contre Nous. – Ibid

     

    TEACHING: The Prophet Possessed by A Jinn "Al Abyad" (The White One) -  YouTube

     

    Le démon al'-malik al'abyad « le roi blanc » associé au lundi, à la Lune, et à l'argent.

    قال ابن عباس رضي الله عنهما في رواية عطاء إن شيطانا يقال له الأبيض أتاه على صورة جبريل عليه السلام وألقى عليه هذه الكلمة فقرأها فلما سمع المشركون ذلك أعجبهم فجاء جبريل عليه السلام فاستعرضه فقرأها فلما بلغ إلى تلك الكلمة قال جبريل عليه السلام أنا ما جئتك بهذه قال رسول الله صلى الله عليه وسلم إنه أتاني آت على صورتك فألقاها على لساني

     

    It is reported from ‘Ata’ that Ibn ‘Abbas said: A devil called al-Abyad came to the Prophet (ﷺ) in the form of Jibril (Gabriel) and cast these words (i.e. the Satanic verses) upon him, and the Prophet recited them.

    When the pagans heard that it pleased them. Thereupon,

    Jibril came and asked him to rehears the revelation to him.

    When he reached those words Jibril said: I did not bring you these words.

    Someone came to me in your form and cast these words on my tongue.

    Mehmed ibn Emir Hasan al-Su’ûdî, Matâli’ al-su‘âda wa yanâbi‘ al-siyâda, Istanbul (Turquie), 1582. Bn

    Lorsqu’on lit ces versets tout en ayant connaissance de tout ce qui s’est passé auparavant, il me semble qu’on peut affirmer avec certitude que le prétendu ange Gabriel et le démon Al-Abiyad ne sont qu’une seule et même entité démoniaque. (un djinn)  

    https://sunnah.com/bukhari:4862

    Narrated Ibn `Abbas : The Prophet (ﷺ) performed a prostration when he finished reciting Surat-an-Najm, and all the Muslims and pagans and Jinns and human beings prostrated along with him.

    Chez Boukhari, par exemple, on lit le rapport suivant : Rapporté par Ibn Abbas : Le Prophète se prosterna après avoir fini de réciter la sourate An-Najm (Sourate 53) et tous les musulmans et les Mushrikun (polythéistes, païens, idolâtres et mécréants) ainsi que les djinns (des démons ! )  et les êtres humains se prosternèrent avec lui. – Sahih Boukhari, n°4862

    liens : 

    Translation of Sahih Bukhari
    Translation of Sahih Muslim
    Translation of Malik's Muwatta
    Partial Translation of Sunan Abu Dawood Under Construction for completion!
    Translation of Hadith Qudsi
    Translation of Al Nawawi's Forty Hadith

     

    Je m’étonne que si vite vous vous laissiez détourner de celui qui vous a appelés en la grâce de Jésus-Christ, pour passer à un autre Evangile : non pas qu’il y ait un autre Evangile ; mais il y a des gens qui vous troublent et qui veulent changer l’Evangile du Christ. Mais si nous-mêmes, si un ange venu du ciel vous annoncerait un autre Evangile que celui que nous vous avons annoncé, qu’il soit anathème  ! – Galates 1 ; 8

    Mohammed fut la victime d’un démon qui se présenta à lui comme étant l’ange Gabriel. 

    Si Mohammed avait eu l’occasion de lire la Sainte Bible en son temps, il aurait médité sur les fameuses paroles de Saint Paul dans 2 Corinthiens 11.

    Cela lui aurait peut-être évité de devenir un ministre de l’erreur : Ces gens-là sont de faux apôtres, des ouvriers astucieux, qui se déguisent en apôtres du Christ. Et ne vous en étonnez pas; car Satan lui-même se déguise en ange de lumière. Il n’est donc pas étrange que ses ministres aussi se déguisent en ministres de justice. Leur fin sera selon leurs œuvres. – 2 Corinthiens 11 ; 13-15

    Le grand érudit shiite médiéval Ibn Al Nadim, dans son Kitab Al Fihrust mentionne un livre (il s’agit en l’occurrence du livre kabbalistique pseudobiblique dit « Testament de Salomon », daté du 1e siècle de notre ère) dans lequel apparaissent 70 jinns, dont « sept rois jinns » qui sont chacun attachés à un jour de la semaine.

    *Or, le démon « Al Abiyad », celui qui aurait trompé Mohammed, est le jinn associé au lundi.*

    L’érudit soufi Mohammed Al Tabasi, par exemple, a rédigé au 11e siècle un traité sur les méthodes pour contrôler ces démons au moyen d’incantations, de charmes, de combinaisons de lettres et de formules, en vue d’obtenir des pouvoirs surnaturels.

    Comme nous l’avons dit, il apparaît, selon la démonologie islamique, que le démon « Al Abiyad » est constamment associé avec le lundi.

    Or, selon le très éminent savant sunnite contemporain Ar-Raheeq Al-Makhtum, dans sa célèbre biographie de Mohammed, c’est précisément un lundi que Mohammed reçut la première révélation coranique de « l’ange Gabriel ». 

    Au mois de Ramadan, au cours de sa troisième année de solitude dans la grotte de Hira, la volonté d’Allah a désiré que sa miséricorde abonde sur terre et Mohammed fut honoré en tant que prophète, et c’est ainsi que la lumière de la révélation éclata sur lui par quelques verses du noble Coran.

    En ce qui concerne la date exacte de cet événement, un examen attentif des circonstances et des indices pertinents indique le lundi, 21e jour du mois de Ramadan, pendant la nuit, c’est-à-dire le 10 aout de l’année 610, c’est-à-dire au moment où Mohammed était exactement âgé de 40 ans, 6 mois et 12 jours, c’est-à-dire 39 ans, 3 mois et 22 jours selon le calendrier grégorien. – Ar Raheeq Al Makhtum, The Seal of Nectar, p. 68  PDF 

    Pour finir, laissons encore parler Mohammed, puisqu’il a lui-même explicitement admis avoir inventé ou du moins relayé des fausses révélations 

    *J’ai fabriqué des paroles contre Dieu et je lui ai prêté des paroles qu’il n’a pas prononcées. – Al Tabari, Histoire, Volume 6, p.111

     


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  • Thanks for checking out our YouTube channel. https://www.youtube.com/c/CIRAInternational

    Rob partage 5 noms d'Allah qui le révèlent en fait être le diable déguisé, se faisant passer pour Dieu.

    Le Coran lui-même décrit Allah comme arrogant, trompeur et humiliant.

    Comment sont-ils des qualités et des identifiants d'un Dieu vrai et pur?

    Regardez cet épisode captivant démasquant Allah comme Satan lui-même.

    sous titres Fr / Eng / ++++ paramêtres 

    Rob Christian  

    L'Islam n'est qu'un MENSONGE

    https://www.facebook.com/cirainternational

    Al Fadi and his guest, a Christian Apologist

    Rob Christian are starting off a new series spanning from Allah to Muhammed to the Qur'an itself. In this episode,

    Brother Rob shares 5 names of Allah that actually reveal him to be the devil in disguise, masquerading as God.

    The Qur'an itself describes Allah as arrogant, deceiving, and a humiliator.

    How can these be qualities and identifiers of a true and pure God? Watch this gripping episode unmasking Allah as Satan himself.

     


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  • conclusion 1 

    le coran n'a rien de neuf à annoncer

    des fables talmudiques, des légendes, des histoires 

    conclusion 2

    mieux vaut mille fois la bible (le texte seul)

     

     


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  • Les sources les plus fiables de l'islam affirment qu'Aisha n'avait en effet que 9 ans lorsque son mariage a été consommé avec Muhammad.

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    Certains musulmans  menteurs et disent qu'Aisha était vraiment plus âgée que cela lorsque le mariage était consommé pour mettre à l'aise les esprits musulmans modernes

    mais les sources musulmanes la déclarent à plusieurs reprises à l'âge de 9 ans, juste une petite fille.

    Même les érudits musulmans modernes affirment ces faits.

    Muhammed is an Idolater

    Regardez Al Fadi et le Dr David Wood examinent plusieurs sources islamiques qui détaillent les circonstances et le moment du mariage d'Aisha avec Muhammad.

    Muhammed is an Idolater

    https://sunnah.com/nasai:3380

    It was narrated that 'Aishah said: "The Messenger of Allah married me when I was six, and consummated the marriage with me when I was nine."

    Grade:  Hasan (Darussalam)    

     

    Reference  : Sunan an-Nasa'i 3379
    In-book reference  : Book 26, Hadith 184
    English translation  : Vol. 4, Book 26, Hadith 3381

     

     

     

    Mahomet a épousé une enfant de six ans

    Aisha, fille d'Abu-Bakr était une belle petite fille.

    Muhammad l'a épousée quand il avait cinquante-trois ans

    elle n'avait que six ans.

    Il a eu des relations sexuelles avec elle quand elle avait neuf ans.

    Épouses du Prophète, pages 57-61 ) Sunan an-Nasa'i 3378

    It was narrated that 'Aishah said: "The Messenger of Allah married me when I was six, and consummated the marriage with me when I was nine, and I used to play with dolls.

    Il s’agit d’un cas flagrant de maltraitance d’enfants par le prophète de l’Islam.

    Lorsque Mahomet épousa Aïcha, il donna l’exemple aux musulmans.

    Aujourd’hui encore, des hommes musulmans plus âgés épousent des filles beaucoup plus jeunes, suivant l’exemple de Mahomet.

    L'hebdomadaire égyptien Almussawar a publié une lettre envoyée à Ameenah Al-Saaeed, l'une de ses rédactrices, par une femme qui était professeur de langues en Égypte.

    La lettre a été publiée dans le numéro du 6 septembre 1991.

    Voici une partie de cette lettre : Chère mère Ameenah Al-Saaeed : Mon problème est. . . mon mari est rentré à la maison avec un ami qui a à peu près son âge. Il a demandé que notre fille « Marwa », âgée de neuf ans, apporte du thé à son ami. Le soir, il m'a dit avec une grande joie que son ami avait accepté d'épouser « Marwa ». Son ami a cinquante ans, "Marwa" a neuf ans. Lorsque je me suis opposé, il m'a dit qu'il suivait l'exemple du prophète Mahomet lorsqu'il avait engagé Aïcha lorsqu'elle avait six ans et avait eu des relations sexuelles avec elle lorsqu'elle avait neuf ans, comme il est écrit dans Sahih Al-Bukhary.

    Muhammad Sobhi Alantabli, un officier de police de haut rang, a envoyé une lettre au même rédacteur en chef, qui a été publiée dans le magazine Almussawar dans le numéro du 20 décembre 1991.

    Voici une partie de cette lettre : Le chef d'une tribu m'a invité à assister à son mariage. Il avait huit quatre ans et son épouse quatorze ans. "Pourquoi épouses-tu une fille beaucoup plus jeune que toi?" J'ai demandé. "Parce que mes trois autres femmes sont devenues vieilles, et quand la femme vieillira, elle sera comme une voiture rouillée. Je veux dire une voiture couverte de rouille", a-t-il répondu. Le père de la jeune mariée était très heureux de ce mariage.

     

     

     


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  • https://cirainternational.com/

    À propos de CIRA International

    La mission et l'objectif de CIRA sont les suivants : sensibiliser à l'Islam en tant que religion et mouvement politique ; informer et défier l'Église en matière de sensibilisation et d'évangélisation auprès des musulmans, équiper les croyants d'outils de sensibilisation efficaces et faire progresser le message de l'Évangile parmi nos voisins et communautés musulmans afin que la grande majorité des musulmans entament une conversation évangélique avec un disciple du Christ.

    CIRA existe pour mobiliser le Corps du Christ à travers l'Amérique du Nord et dans le monde, afin d'atteindre plus efficacement les musulmans avec l'Évangile, en formant des disciples et en équipant les croyants, et en donnant aux dirigeants d'églises et de communautés les moyens d'influencer le monde musulman pour le Christ.

     

     

    Действительно ли ислам является мирной религией или чем-то совершенно другим ?

    Является ли Коран книгой ужаса или книгой мира ?

    Как мы можем обратиться к мусульманам в нашей общине с посланием Иисуса Христа ?

    Is Islam really a peaceful religion or something entirely different?

    Is the Quran a book of terror or a book of peace?

    How can we reach Muslims in our community with the message of Jesus Christ?

    Al Fadi, former Wahabbi Muslim from Saudi Arabia and the founder of CIRA International

    L’Islam est-il vraiment une religion pacifique ou quelque chose de complètement différent ?

    Le Coran est-il un livre de terreur ou un livre de paix ?

    Comment pouvons-nous atteindre les musulmans de notre communauté avec le message de Jésus-Christ ?

    https://cirainternational.com/podcast/

    The Center for Islamic Research and Awareness, is on a mission to introduce Muslims to the Gospel of Jesus Christ.

    https://www.youtube.com/c/CIRAInternational

    Did Muhammad Even Exist

    ... the origins of Muhammad

    …what modern and traditional Muslim teachings and beliefs say about Muhammad’s life writings, and travels

    ... where, when, and how traditional beliefs and teachings about Muhammad came into existence, and...*

    ...how new historical insights reveal not everything is as it would seem.

      https://youtu.be/cD178PXa68M

     

     


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  • Muhammad is trying to make himself equal to Allah by claiming this title.

    Muhammad’s real name was Qutham, ibn, Abd Al-LAT (Qutham - son of the slave and pagan Al-LAT).

    Muslims were embarrassed about these humble origins so fixed and polished their prophet into a new, respectable person with a different name.

    Watch as Al Fadi and Brother Rob reveal the truth about Muhammad from reliable Islamic source

    Le vrai nom de Muhammad était Qutham, Ibn, Abd al-Lat (Qutham fils de l'esclave et païen al-lat).

    Les musulmans ont été gênés par ces humbles origines si fixées et polis leur prophète en une nouvelle personne respectable avec un nom différent.

    Regardez Al Fadi et son frère Rob révéle

    la vérité sur Muhammad à partir de sources islamiques fiables.

    c'est clair une fois pour toute 


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  • Ils disent: "la burqa est un vêtement" tout au plus un déguisement on ne va pas légiférer sur les vêtements et les déguisements"... Erreur. La burqa n'est pas un vêtement, c'est un message. Et

    c'est un message qui dit l'assujettissement, l'asservissement, l'écrasement, la défaite des femmes.

    Ils disent: "c'est peut-être un assujettissement, mais c'est consensuel; sortez de votre tête l'idée d'une burqa imposée par des maris méchants, des pères abusifs, des caïds, à des femmes qui n'en voudraient pas"…

    Soit. Sauf que la servitude volontaire n'a jamais été un argument!

    on ne le dira jamais assez. >> Le port de la burqa n'est pas une prescription coranique!.

    Il n'y a aucun verset, ni aucun texte de la sunna, obligeant les femmes à vivre dans cette prison de ferraille et de tissu qu'est un voile intégral.

    They say: "the burqa is a garment "at most a disguise we are not going to legislate on clothes and disguises"... Mistake. The burqa is not a garment, it is a message. And

    it is a message that says the subjugation, enslavement, crushing, defeat of women.

    They say: "it may be subjugation, but it is consensual; get out of your head the idea of a burqa imposed by evil husbands, abusive fathers, bigots, on women who would not want it"…

    Either. Except that voluntary servitude has never been an argument!

    we can never say it enough.

    > > Wearing the burqa is not a Quranic prescription!.

    There is no verse, nor any text of the sunnah, forcing women to live in this prison of scrap metal and fabric that is a full veil.

     

     

     

     


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    MUSULMAN, IL VOIT JÉSUS ET SE CONVERTIT

    Musulman irakien, descendant direct de Mahomet par ses origines, il voit Jésus en songe et se convertit…

    Par la suite, il va connaître de nombreuses persécutions (emprisonnement, blessé par balle, etc) mais Jésus le sauvera miraculeusement !

     

     

    Al Fadi, former Salafi Muslim from Saudi Arabia and the founder of CIRA International: The Center for Islamic Research and Awareness. He is the researcher, editor, writer, and translator for numerous ministries, including "Answering Islam" and runs an outreach ministry designed for non-Muslim and Christians.

    https://www.youtube.com/c/CIRAInternational

    liens : 

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    le coran démasqué

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    l'origine TALMUDIQUE DU CORAN

     

     

     


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  • talmud > coran même sources et fables

    le talmud aux juifs talmudistes et kabbalistes

    le coran aux islamistes

    la bible aux Christians 

     

    Dans la Vie d’Adam et Eve, un apocryphe Juif daté entre le 1er et le 3e siècle de notre ère, on lit la chose suivante. Notez bien que l’auteur de ce texte fait ici parler le diable : Lorsque Dieu souffla en toi le souffle de vie et que ton enveloppe et ton apparence fût faite à l’image de Dieu, l’ange Michel te fit venir et nous fit (nous, les anges) t’adorer devant Dieu. – in Life of Adam and Eve, 13 ; 3

    Plus loin, toujours dans le même texte, c’est encore une fois le diable qui s’exprime :

    Et Michel vint et appela tous les anges en disant : « Adorez l’image de Dieu comme le Seigneur Dieu l’a ordonné ». Et Michel lui-même adora en premier, puis il m’appela et dit : « Adore l’image de Dieu ». Et parce que Michel me pressait d’adorer, je lui dis ceci : « Pourquoi me presses-tu ? Je n’adorerais pas un être inférieur et plus jeune que moi. Je suis son aîné dans la Création, j’étais déjà créé avant qu’il ne soit créé. C’est à lui de m’adorer ». – in Life Of Adam and Eve, 14 ; 1-3

    On retrouve également le même récit dans le texte pseudo-biblique connu sous le titre de La Caverne des Trésors, un apocryphe écrit en Syriaque au cours du 6e siècle par un auteur inconnu, mais vraisemblablement d’origine mésopotamienne.

    Ce texte était très répandu en Orient, aussi bien en Ethiopie qu’en Arabie. Il était particulièrement diffusé dans les sectes nestoriennes, ce qui n’est pas surprenant si l’on considère que plusieurs individus issus de ces milieux hérétiques ont clairement eu une influence sur Mohammed et les premiers musulmans.

    On retrouve enfin une autre source du récit coranique dans le pseudo-évangile de Bartholomé, un apocryphe condamné par le pape Gélase Ier dans son Decretum Gelasianum au 5e siècle

    On lit dans le 4e chapitre de ce pseudo-évangile de Bartholomé : Et lorsque je vins depuis les confins de la terre, Michel dit : Adore l’image de Dieu, qu’Il a créé selon Sa ressemblance. Mais je répondis : Je suis feu issu du feu, j’ai été le premier ange à être formé, et je devrais adorer de la boue et de la matière ? – Pseudo-évangile de Bartholomé, 4 ; 54

    On retrouve dans le Coran essentiellement le même discours que dans cet apocryphe, à savoir que Satan affirme être créé à partir du feu et qu’il refuse de se prosterner devant Adam car ce dernier est inférieur et il a été créé à partir de l’argile. On lit par exemple dans le verset 76 de la sourate 38 : «Je suis meilleur que lui, dit [Iblîs,] Tu m’as créé de feu et tu l’as créé d’argile». Coran 38 ; 76

    Nous voyons donc ici qu’il est absolument évident que le récit coranique prend source dans ces récits pseudo-bibliques datés entre le 3e et le 6e siècle de notre ère.

    Dans le Coran, comme dans ces apocryphes, on retrouve le même schéma narratif, à savoir la rébellion du diable motivée par un refus d’adorer ou de se prosterner devant Adam.

    Dans les deux cas, on constate aussi que le diable est donc précipité dans les enfers à cause de ce refus.

    On ne trouve rien de tel dans la Sainte Bible.

    Il faut donc conclure que le Coran prend directement source dans des récits non-révélés.

    Abraham et la fournaise

    L’histoire d’Abraham sauvé de la fournaise est un récit pseudo-biblique dont les origines ne se trouvent nulle part ailleurs que dans le Talmud.

    Or, tandis que cette légende est totalement absente de la Sainte Bible

    on la retrouve à de très nombreuses reprises dans le Coran, ainsi que dans les Hadiths.

    Dans ce récit, Abraham s’oppose à son entourage païen. Après avoir brisé des idoles païennes, Abraham se voit condamné par les idolâtres à être jeté dans une fournaise. Cependant, Abraham est miraculeusement sauvé par la providence divine qui refroidit le feu ardent, ce qui lui permet de survivre aux flammes.

    On retrouve cette légende dans différents livres du Talmud de Babylone, en particulier dans les Pesachim (Pesah 10 ; 7,  II. 14.C), ainsi que dans le midrash talmudique qu’on appelle le Bereshit Rabbah qui est un commentaire talmudique sur le Livre de la Genèse.

    Or, comme nous le savons, les textes du Talmud ne sont évidemment pas d’origine révélée et leur composition remonte aux alentours du 4e siècle de notre ère comme l’admettent les historiens Juifs.

    Le célèbre historien Juif Jacob Neusner affirme ainsi  Le Bereshit Rabbah dans sa forme finale se diffuse au moment où l’empire romain passe de la domination païenne à la domination chrétienne, vers l’an 360. – Jacob Neusner, Introduction to Rabbinic Literature, Yale University Press, 1994, p. 357

    Généralement considéré comme ayant été clos (ou rédigé) entre l’an 400 et l’an 450 de notre ère, peu de temps après la rédaction du Talmud de Jérusalem, le Bereshit Rabbah transforme le Livre de la Genèse en le faisant passer d’une généalogie de la famille d’Abraham, d’Isaac, de Jacob et de Joseph, en un livre de lois historiques et de règles pour le salut d’Israel. – Ibid, p. 356

    Ainsi, on retrouve la légende de la fournaise d’Abraham en de très nombreux endroits du Coran, en particulier dans les versets 51 à 71 de la sourate 21. On y retrouve donc Abraham défiant le paganisme de ses compatriotes.

    En effet, Nous avons mis auparavant Abraham sur le droit chemin. Et Nous en avions bonne connaissance. Quand il dit à son père et à son peuple: «Que sont ces statues auxquelles vous vous attachez?» ils dirent: «Nous avons trouvé nos ancêtres les adorant». – Coran 21 ; 51-53

    Dans la même sourate, au verset 58, on retrouve Abraham brisant les idoles païennes, à l’exception de la plus grande d’entre elles.

    Il (Abraham) les mit en pièces, hormis [la statue] la plus grande. Peut-être qu’ils reviendraient vers elle

    Dans les versets suivants, les païens demandent qui est le responsable de la destruction des idoles.

    Ils dirent: «Qui a fait cela à nos divinités? Il est certes parmi les injustes». – Coran 21 ; 59

    Abraham est accusé, il se défend d’abord par un mensonge.

    (Certains) dirent: «Nous avons entendu un jeune homme médire d’elles; il s’appelle Abraham». 

    Ils dirent : «Amenez-le sous les yeux des gens afin qu’ils puissent témoigner. (Alors) ils dirent: «Est-ce toi qui as fait cela à nos divinités, Abraham?» Il dit: «C’est la plus grande d’entre elles que voici, qui l’a fait. Demandez-leur donc, si elles peuvent parler». – Coran 21 ; 60-63

    Après s’être accusés mutuellement, les païens accusent à nouveau Abraham et celui-ci est livré aux flammes.

    Se ravisant alors, ils se dirent entre eux: «C’est vous qui êtes les vrais injustes».

    Puis ils firent volte-face et dirent : «Tu sais bien que celles-ci ne parlent pas». Il dit: «Adorez-vous donc, en dehors d’Allah, ce qui ne saurait en rien vous être utile ni vous nuire non plus. Fi de vous et de ce que vous adorez en dehors d’Allah! Ne raisonnez-vous pas ?»  Ils dirent : «Brûlez-le. Secourez vos divinités si vous voulez faire quelque chose (pour elles)». – Coran 21 ; 64-68

    Dans les versets 69 et 71, Abraham est alors protégé du feu par une intervention divine, puis il est récompensé de son zèle et de sa foi, lui et ses descendants :

    Nous dîmes: « O feu, sois pour Abraham une fraîcheur salutaire». Ils voulaient ruser contre lui, mais ce sont eux que Nous rendîmes les plus grands perdants. Et Nous le sauvâmes, ainsi que Lot, vers une terre que Nous avions bénie pour tout l’univers. Et Nous lui donnâmes Isaac et, de surcroît Jacob, desquels Nous fîmes des gens de bien. – Coran 21 ; 69-71

    Nous retrouvons exactement la même histoire dans les légendes talmudiques.

    Nous lisons ainsi dans le 38e chapitre de Bereishit Rabbah le récit d’Abraham brisant les idoles, à l’exception de la plus grande :

    Abraham prit un gourdin dans ses mains et brisa toutes les idoles, puis plaça le gourdin dans les mains de la plus grande des idoles. – Bereshit Rabbah, 38

    Toujours dans le chapitre 38 de Bereshit Rabbah, on retrouve le mensonge d’Abraham, affirmant que c’est la plus grande idole qui a brisé les autres : Lorsque son père fut de retour, il demanda : Qui a fait tout cela ? Abraham répondit : Je ne peux te le cacher. La plus grande des idoles se leva, prit un gourdin et brisa les autres idoles. Terah (le père d’Abraham) dit : Penses-tu pouvoir te jouer de moi ? Ces idoles ne peuvent se mouvoir. – Bereshit Rabbah, ibid.

    Dans les Pesachim, on retrouve le récit du sauvetage miraculeux d’Abraham par un refroidissement des flammes : Laissez-moi (Gabriel) descendre et refroidir ce feu, afin de sauver cet homme juste de la fournaise ardente. – Pesahim 10 ; 7, II. 14.C, in Jacob Neusner, The Babylonian Talmud : A Translation and Commentary, Peabody, 2011, Volume 4, p. 547

    Toujours dans les Pesachim, on voit également Abraham être récompensé de son zèle et de sa foi, lui, ainsi que ses descendants :

    Et puisque le Très Saint, béni soit-Il, ne retient pas la récompense d’une créature, Il lui dit (à Abraham) : Tu auras le mérite de sauver trois de tes descendants (Isaac, Jacob, Joseph). – Ibid

    Nous voyons donc de façon très nette que le récit coranique s’est directement inspiré des légendes talmudiques.

    La Fortune de Koré

    On retrouve dans le Coran une allusion curieuse à ce personnage biblique.

    On lit en effet dans le verset 76 de la sourate 28 

    En vérité, Coré [Karoûn] était du peuple de Moïse mais il était empli de violence envers eux. Nous lui avions donné des trésors dont les clefs pesaient lourd à toute une bande de gens forts. Son peuple lui dit: «Ne te réjouis point. Car Allah n’aime pas les arrogants. – Coran 28 ; 76

    Le Coran présente ici Koré comme un homme riche, possédant un trésor dont les clefs sont si lourdes qu’un groupe d’hommes nombreux aurait du mal à les porter.

    L’allusion au récit biblique de la rebellion de Koré est difficile à établir, bien qu’on nous le présente comme un persécuteur et un homme arrogant.

    Cependant, tout démontre que l’auteur du Coran n’est pas allé chercher cette histoire dans la Sainte Bible

    mais plutôt dans le Talmud de Babylone qui cite le rabbin Levi, qui vécut au 3e siècle de notre ère.

    On lit en effet dans le traité Sanhedrin, au chapitre 110 :

    Rabbi Elazar a dit : Ceci (Deutérome 11 ; 6) se réfère aux biens d’une personne, qui se trouvent à ses pieds. Et Rabbi Levi a dit : Les seules clefs du trésor de Koré étaient un fardeau (si lourd) qu’il fallait 300 mules blanches pour les transporter, et de plus, toutes ces clefs et toutes les serrures étaient faites de cuir. Ceci illustre l’immensité de la richesse de Koré. – Sanhédrin 110a

    nous venons donc de prouver de façon incontestable qu’une très grande quantité d’histoires apparemment bibliques présentes dans le Coran, sont en réalité des légendes pseudo-bibliques provenant de sources profanes.

    Les prétentions du Coran à être la suite et la confirmation de la Bible sont donc absolument irrecevables, puisque le Coran est rempli d’histoires qui ne se trouvent nulle part dans la Sainte Ecriture.

    D’ailleurs, tout ce que nous venons de montrer ici condamne non seulement les prétentions du Coran

    mais démontre également à quel point le Judaïsme talmudique est profondément corrompu

    Jamais aucun évangéliste ou théologien digne de ce nom n’a considéré que le Talmud ou la Kabbale pouvaient contenir des textes révélés

    Il y a 776 ans, vingt quatre charretées d’exemplaires du Talmud étaient brûlés en place de Grève à Paris.

    Cet événement tragique était la conséquence d’une hostilité croissante du christianisme envers le judaïsme qui a connu une recrudescence au 13e siècle.

    Le 20 juin 1242, 13 Tamouz, la sentence a été appliquée et les volumes de la Michna et du Midrash ont été brûlés


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